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Le sujet qui sert à rien


Bouille

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@Bouarf !


Ferris, bien sûr que c'est moche, c'est des griboullis !


 


Je ne suis pas d'accord avec cette appréciation.


Il y a de l'idée, et on sent bien la formation prise de tête, au point qu'on s'en envoie une flèche dans la tête.


 


La tête du formateur, en bas à droite, ainsi que la pendule avec des yeux... pas mal du tout.


On note aussi la "sortie" de l'image, comme une délivrance. :wink:


 


Ok ! Le haut de l'image, c'est de l'échauffement. Comme en enfer.


Les éléments tournoient en vent de folie... jusqu'à la ligne de rupture.


 


Pas mal du tout, pour une base de "gribouillis" comme tu le dis... 


  Bernard

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Bernard il a tout compris à l'art contemporain c'est indéniable, je me suis cru à un vernissage à la maison de culture manquait plus que le petit four et un verre de vin dégueulasse et j'y étais.


 


Ok Ferris je commence  avec une mise à prix initial : un Daniel Steel :D


Modifié par Bouarf
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@Bouarf !


Pour moi, la mise à prix ce sera un Bourdin-Bourdon !  :D


Ou alors un Van Vogt : le Sorcier de Linn.


 


@Ferris


Pour ce qui est du beau ou pas, je peux te dire que ça me plaît plus que Guernica, ou d'autres tableaux de Picasso.


Les goûts et les couleurs, le sens que chacun apporte à un tableau, ça fait partie de l'oeuvre.


 


Quand tu regardes ici, en utilisant les images approchantes avec l'outil du moteur de recherches Gooogol, tu t'aperçois que dans ces images, il y a beaucoup à regarder. Pareil dans le dessin de Bouarf !


Une complexité pas désagréable.


  Bernard

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Grâce à Bernard maintenant je me la pète chez moi, je vais prendre rendez-vous chez le galeriste du coin (à plus de 150 km avec la chance que j'ai), je lui montre le bout de papier, je lui sors texto ce qu'à dit Bernard et bing. Par contre je vais peut être devoir donner l'original à Bernard, arf encore une carrière tuée dans l’œuf.


 


Mais, Ferris, tu ne connais pas Daniel Steel ? Cet auteur belge de roman d'amour de bibliothèque en bibliothèque ? Quel dommage ! Bon c'est vrai que ses livres sont durs à trouver à cause de son homonyme mais c'est du lourd, son roman Désherbage, pilonnage et trahison est un classique du genre. Ou encore Indice 176 et autres possibilités, l'histoire terrible d'un bibliothécaire qui n'ose pas garnir les étagères de sa bibliothèque de documentaires à l'indice Dewey 176. Qu'il finit immanquablement par ranger en enfer. Heureusement, une fraîche stagiaire arrive et bouleverse ses habitudes. Mais le fait-elle sans arrière-pensée, ne voudrait-elle pas prendre la direction de la bibliothèque ? L'amour s’invitera-t-il  à la bibliothèque ?


 


Et bien sûr mon préféré L'impossible retour, l'histoire d'un homme qui vient chaque semaine à la bibliothèque emprunter un livre qu'il ne lit même pas. Il vient seulement pour le sourire de la bibliothécaire. Mais un jour, de part son travail, il doit s'absenter 1 mois entier, il est en retard ! De honte il n'ose pas revenir déposer le livre. Malgré des courriers de relance de plus en plus insistants, il ne franchit plus la porte de la bibliothèque. Deux ans plus tard, il prend son courage à deux mains, enfin une main puisque l'autre tient le livre, pour déposer l'ouvrage du péché. Et, là, surprise, ce n'est plus la même bibliothécaire. Il apprend qu'elle a trouvé un autre poste à l'autre bout de Wallonie. Mais où exactement, personne ne peut lui dire. Malgré tout, il est décidé, il lui rendra coûte que  coûte cet ouvrage.  S'ensuit un long périple à travers les bibliothèques Wallone. Entre le road trip, chemin initiatique et amour impossible. Du très grand Daniel Steel.


 


Avec lui, je te le dis Ferris, tu augmentes tes stats de prêt facile de 0,02 %. A ne pas négliger à coup sûr.


Modifié par Bouarf
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Merci Marcel, que serais-je sans toi ! Moi qui ai acquis toutes ses œuvres pour notre cher public, en me demandant aujourd'hui, à cause des allusions bouarfistes,  si c'était finalement une transsexuelle belge, tu me rassures. D'autant plus que son dernier titre "Trahie", aurait pu laisser planer le doute  :)


 


En tous cas, depuis l'IFLA, on sent que ça travaille sec la-dedans !  :D 


Modifié par Ferris
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Ca laisse songeuse toutes ces interdictions....


Sachant que la plupart du temps elles sont écrites car on y a été confronté...


 


Le recoin des ouvrages de référence utilisé comme lupanar, j'ai vu!


L'ascenseur bloqué par un couple illégitime (ils laissaient leurs mouflets au rayon BD...), ça aussi j'ai constaté!


La bib centrale, comme lieu de fight entre bandes rivales, aussi


Une dame toute nue (bon elle était un peu ailleurs...), une fois


 


Mais une voiture ou une mob dans la bib!!! Pas encore!!!!


 


En fait les bib sont des lieux pleins d'aventures et de surprises!


 


Oïe! Oïe!Oïe!


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Ca laisse songeuse toutes ces interdictions....

Sachant que la plupart du temps elles sont écrites car on y a été confronté..

 

Ben justement, je ne crois pas, et c'est probablement ce qu'il y a de pire dans ces listes de détails : ils ne reflètent pas tant une réalité vécue que les angoisses du possible et cette vanité de se mettre hors de portée de ces situations invraisemblables, notamment en termes de responsabilité. Tout prévoir, tout imaginer, même l'improbable le plus total, pour s'en protéger, pour empêcher que ça arrive ? C'est concevoir un règlement intérieur comme une cérémonie vaudou. Démerdez-vous mais faut pas qu'il pleuve !

 

Or, d'une part le pire arrive et ne sera jamais prévu. Et le prévoir n'est pas pour autant l'empêcher...  Les types qui pénètrent dans des écoles aux States et défouraillent à l'arme automatique sur tout ce qui bouge, n'ont jamais été prévus au Règlement intérieur de ces établissements. Chez nous, où l'on n'a pourtant pas la possibilité, ni la culture, d'acheter une arme comme on achète une paire de chaussettes, une bibliothèque estime pourtant nécessaire de préciser que les armes et les munitions de toutes catégories sont interdites. On est rassurés.  :ermm: 

 

A l'inverse, des situations vécues ou parfaitement possibles, comme les comportements que tu décris ( la bibliothèque lupanar, actes sexuels dans l'ascenseur, dame toute nue et un peu à l'ouest, etc..., comportements qui ne sont pas propres aux bibliothèques non plus d'ailleurs mais possibles dans tout endroit public ) ne donnent bizarrement pas lieu à des articles dans les Règlements intérieurs. Hypocrisie des temps : il est nécessaire de préciser qu'il est interdit de manger, de boire, de fumer, d'amener des chiens, des armes, des trottinettes ou des poussettes trop larges, mais pas de se livrer à des actes sexuels derrière les dictionnaires ou à des combats de rue.

 

Elle est là l'étrangeté. Un collègue racontait un jour qu'il avait réellement vu quelqu'un pisser dans ses rayonnages. Je l'ai a peine cru, jusqu'au jour où j'ai vu la même chose dans les miens. Une grande chance dans une vie de bibliothécaire, en tous cas une rareté.

 

Et là tu ne te demandes pas une minute si tu vas faire une proposition de modification du Règlement intérieur aux Elus du peuple souverain, au chapitre des comportements : 

 

Parce que ça va de soi ? Non, la preuve, tu l'as vu. Parce que nous sommes dans un pays civilisé ? Le sommes-nous vraiment si avons besoin de Vigipirate ? Alors, on fait quoi ?

 

Et encore, pour pipi-caca, on peut s'en sortir en tournant la chose comme ça : Il est rappelé aux usagers qu'il est interdit d'uriner et de déféquer dans les rayonnages en dehors des endroits prévus à cet effet. Et on s'en sort dans l'honneur, tout en faisant de la pub pour nos remarquables toilettes. Bien sûr, me diras-tu, on ne peut pas exclure qu'un personnage insolite imagine que le meilleur endroit prévu à cet effet soit le bac à Bd ou une chauffeuse du coin presse. Et quand ça presse, justement, les gens sont parfois très créatifs. Mais bon, tu admettras qu'on aura quand même évité le plus gros. Enfin, si on peut dire....

 

Mais par contre, tu ne pourras jamais dire : Il est rappelé aux usagers qu'il est interdit  d'avoir des rapports sexuels en dehors des endroits prévus à cet effet. :whistle: 

 

Parce qu'il n'y en a pas des "endroits" pour ça dans une bibliothèque. Et ça, quelque part, c'est scandaleux. C'est la porte ouverte à toutes les fenêtres. Les Bibliothèques Troisième Lieu, l'Avenir du Monde,  feront des cafétérias pour bouffer, pour boire, des coins jeux videos pour jouer à la guéguerre, des garderies à poussettes, des parkings à bébés, ou le contraire, des ateliers de relaxation, des animations cuisine, un coin couture, un coin cause-mémés, un atelier CV numériques, un rayon érotisme, des marionnettes, tout ce que tu veux. :sick:

 

Sauf un coin sympa pour faire l'amour, au détour d'une rencontre entre deux rayonnages, d'une conversation littéraire, de la naturelle prolongation d'une convivialité naissante suite à la lecture de Fifty Shades, bref, la vie quoi...

 

Bon, c'est où déja le coin des ouvrages de référence chez toi, je crois que l'ascenseur est déja pris... :rolleyes:

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:)  Si tu veux vraiment faire chier le bibliothécaire, tu l'emmerdes, tu l'étrones devant sa banque d'accueil retour, non ?


Il n'y a pas de petits plaisirs.


 


Les armes à feu, j'ai vu passer le témoignage de collègue disant qu'un "lecteur" posait son flingue à côté de l'ordinateur pendant qu'il consultait ses mails. Ok, c'etait en banlieue chaude... mais quand même, ça fait drôle. Et il faudrait être un peu fou pour lui raconter le règlement à ce genre de loulou.


 


Remarque, en campagne, rien n'empêcherait un chasseur de rentrer avec son fusil, et/ou avec ses bottes boueuses d'une fraîche battue.


 


Moi, ce qui m'inquiète plus dans le règlement de la BPI, c'est la dénomination : substance explosive !


Des jeunes pubères, c'est plutôt de la substance explosive, non ?


 


N'empêche "substance explosive", ça laisse pensif sur les risques encourus par les collègues parisiens.


C'est pour s'envoyer en l'air ?


 


Avec un bibliothécaire ?  :D


Va savoir.


 


Sinon, pour ton règlement, je te conseille de faire dans le direct : Tout comportement aberrant dans la bibliothèque sera vivement réprimandé, et les fourches seront sorties des placards. Que cela soit dit !


En ville, on pourra privilégier le terme pompes à vélos, plus crédible. :thumbsup:


 


Après, je me pose la question sur la longueur excessive des règlements... conçus pour ne pas être lus ?


Fais long et tu ne seras pas lu, surtout au temps de twitter et de la capacité zap-zap-zap.


  Bernard

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Ben justement, je ne crois pas, et c'est probablement ce qu'il y a de pire dans ces listes de détails : ils ne reflètent pas tant une réalité vécue que les angoisses du possible et cette vanité de se mettre hors de portée de ces situations invraisemblables, notamment en termes de responsabilité. Tout prévoir, tout imaginer, même l'improbable le plus total, pour s'en protéger, pour empêcher que ça arrive ? C'est concevoir un règlement intérieur comme une cérémonie vaudou. Démerdez-vous mais faut pas qu'il pleuve !

 

 

Oui, oui, oui, c'est très juste tout ça. L'improbable n'est jamais prévisible. Selon les lieux on ajoute une ligne au fameux règlement quand on se retrouve confronté à une situation extraordinaire car on a peur qu'elle devienne ordinaire. En fait c'est parce que le bon sens nous fait parfois un peu défaut et qu'autocentré on oublie que le problème auquel on est confronté a été prévu par ailleurs: pas nécessairement dans le sacro-saint règlement de la bib mais dans la loi par exemple.

 

Pour la bib 3ème lieu, prévoir des lieux de rencontre et plus si affinités, pourquoi pas? :shifty: mais bon c'est oublier que dans les cas cités, à mon avis tout l'intérêt venait de la transgression!

 

Quant au rayon értotisme, alors là mon cher Ferris, tu me surprends! La Musardine & cie ont droit de cité dans nos bib! Il y a un lectorat pour cette littérature, non mais!

 

Et pis, sinon, les ouvrages de référence et l'ascenseur, perso, je les trouve pas sympas et confortables (chacun ses goûts! :wink: )

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(...) quand on se retrouve confronté à une situation extraordinaire car on a peur qu'elle devienne ordinaire. En fait c'est parce que le bon sens nous fait parfois un peu défaut et qu'autocentré on oublie que le problème auquel on est confronté a été prévu par ailleurs: pas nécessairement dans le sacro-saint règlement de la bib mais dans la loi par exemple.

 

Ecrire l'extraordinaire pour qu'il ne devienne ordinaire. J'aime. On est bien dans quelque chose de magique, de religieux. Le bon sens n'existe pas et la loi commune n'est pas connue. C'est marrant mais quand tu dis "le sacro-saint" règlement, je crois qu'à l'époque où la bibliothèque avait quasiment le prestige d'une église, où l'on y chuchotait en glissant silencieusement sur les parquets cirés de salles monumentales où les ouvrages reliés cuir s'étageaient jusqu'au plafond, sous le regard de magasiniers en blouse grise, on n'aurait pas eu besoin de règlements aussi longs, enfilant les possibles comme on enfile des perles. Le lieu écrasait de lui-même toute velléité transgressive. Dans les églises je n'ai jamais vu de panonceau indiquant qu'il fallait retirer son chapeau en entrant. Et pourtant tout le monde le fait. Enfin ceux qui ont encore un chapeau. Qui irait faire des horreurs dans un lieu où il a enlevé son chapeau et où le moindre toussotement fait se retourner les foules ? Il faut revenir au magique, au solennel, au prestigieux. Et donc au chapeau. Les fonctionnaires de l'Education Nationale le disent aussi : Sanctuarisons ces lieux. On ne fait pas pipi derrière les colonnades du Lycée Henri IV, sous l’œil de sa statue. Donc : chapeau, colonnes et statues du commandeur. La solution est à nos portes... :)

 

Pour la bib 3ème lieu, prévoir des lieux de rencontre et plus si affinités, pourquoi pas? :shifty: mais bon c'est oublier que dans les cas cités, à mon avis tout l'intérêt venait de la transgression!

 

Tu as raison. Donc, plus les règlement prendront en compte de possibilités, moins la transgression sera possible, du moins elle ne comportera plus grand chose d'excitant. C'est vrai que si on installe 15 cabines d'ascenseur à usage transgressif, on ira faire ça sous l'escalier. Nous avançons ma chère Louve, vers la solution ultime : Pas de Règlement intérieur du tout.

 

Reprenons l'exemple de Saint Bernard, verset 4 : qu'un "lecteur" posait son flingue à côté de l'ordinateur pendant qu'il consultait ses mails. Bon, actuellement, on ferait quoi ? Surtout pas interdire les armes, ce serait aller contre la culture locale. On ajouterait un article disant par exemple que les armes doivent être déchargées. Et la transgression arriverait vite : les balles dans une poche, le flingue dans l'autre, et ça serait à celui qui rechargerait le plus vite. Dans les westerns, on voit bien que chacun acceptait de déposer son arme au bureau du sherif en entrant en ville. Sauf le méchant évidemment. Et tous ceux qui en avait un dans leur botte. C'est à dire tout le monde. Simplement "au cas où". Et c'est pour ça qu'on réglemente : au cas où. 

 

Sans compter les incultes qui comprendraient qu'il faut les décharger...en tirant sur la foule.

 

A part ça, entre recoins inconfortables, lectures érotiques et transgressions ascensoristes , Louve, je crois que nous sommes tous aussi un peu des voyeurs dans cette profession, non ?  :D 

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Nous à la BDP du biiip, le règlement est d'une véritable simplicité : La bibliothèque est interdit n'est pas ouvert au public et les toilettes de celle-ci ne peuvent être considérées comme étant des lieux d'aisance public.


On est vraiment tranquille du coup, bon il y a toujours des rebelles réfractaires à toute interdiction règlement...


 


 


Ce message n'est pas une perche du Nil tendue à Ferris.


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  • 1 month later...
Ignatius Kaltenbrunner

Allez, je déplace ici mon message hors sujet du suivi de sujet (envoyé trop vite, pour sûr), comme on me l'a demandé ... (Bon on ne m'a pas demandé de le déplacer ici, c'est moi qui trouve le "sujet qui sert à rien" idéal pour accueillir le débat qui s'ensuivra.


 


 


Joli placard publicitaire de l'ABF dans les pages de Télérama !


 


Promotion de notre association, d'Agorabib ?


 


Quel est l'objectif de ce message à caractère publicitaire ?


 


Il est vrai que Télérama est un support régulier pour les petites annonces d'emploi en bibliothèque, d'ailleurs


en ce moment il y en a très peu ....


 


Quelle évaluation d'impact l'asso a-t-elle envisagé ?


 


Ce sont les questions je me suis posé en voyant cette "annonce"


 


Impossible de mettre une photo de l'article, je la communique en MP à Ferris

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Que de questions ! C'est si problématique qu'on parle bibliothèques et association professionnelle dans Telerama (pour une fois, dirais-je) ?

La rubrique Talent présente chaque semaine un métier, un groupement professionnel, etc. Comme Telerama était venu nous rencontrer pour nous présenter son nouveau supplément consacré à la jeunesse, on a discuté et proposé réciproquement de présenter le métier dans cette rubrique. Si cela peut aiguiller les nombreuses personnes (si si) qui rêvent d'un métier de bibliothécaire idéalisé ver l'ABF qui leur expliquera ce que c'est que d'être thecaire aujourd'hui, pourquoi pas ? Ça vaut bien un spot raté du MEDEF sur le métier de libraire...

Promotion du métier, de l'asso, on peut le voir ainsi, proposition d'information surtout ! Et peut être aussi intérêt de collègues qui lisent Telerama pour l'ABF, qui sait.

La communication, ça ne se boude jamais...

(Annonce en pièce jointe, visible aussi sur notre page Facebook)

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Ignatius Kaltenbrunner

Non la communication ne se boude pas.


Je suis personnellement ravi quand la presse locale rend compte des activités de la Médiathèque pour laquelle je travaille


et c'est très régulièrement.


 


Ce n'est pas que ce soit problématique ce sont simplement des questions que je me suis posé en la découvrant ...


 


Ca vaut mieux que n'importe lequel des spots du MEDEF ;-)


 


Et en effet si ça suscite des vocations pour les formations que nous dispensons et semblent avoir du mal à se remplir ...


Modifié par Ignatius Kaltenbrunner
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On a eu un petit débat entre nous pour savoir s'il fallait ne parler que du métier ou aussi de l'asso. Vu la faible taille de l'article, nous avons opté pour un mix, en nous disant que les personnes intéressées se tourneraient alors vers l'ABF.

Maintenant on vise Closer, mais je sens que ça va être plus dur... Quoique ?

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