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Politique d'acquisition lorsque plusieurs sites ?


Oxymore

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Bonjour,

 

j'aimerais savoir pour les thécaires qui bossent dans des communes possédant plusieurs bibs, comment vous organisez vos achats lorsqu'il y a plusieurs sites ?

 

Chez nous, une centrale et deux annexes de quartier jeunesses ...soit 3 fonds/sites jeunesses (uniquement livres)

 

Taille différente,  environ 300 m2 pour l'espace jeunesse de la centrale  et 200 mètres carrés pour deux et environ 80 M2 pour la troisième

 

Budget d'acquisition général et commun aux trois sites

 

Exemple : Vous faites attention à avoir des choses différentes sur les différents lieux et faites tourner les fonds ?  vous achetez souvent des mêmes titres  pour tous ?

 

Prenons l'art par exemple : Vous vous répartissez les documentaires de quelle façon ? Tout Picasso dans l'une , tout Renoir dans l'autre ? que du "généraliste" dans une autre ?

 

Je ne sais pas si ma question est claire mais je vous remercie d'y contribuer !

 

Belle journée !


 

Modifié par Oxymore
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  • 1 month later...

Bonjour,

 

Ici, je me mets en réseau avec la bibliothèque de la ville d'à coté, qui est plus petite. Donc il y aura une grosse médiathèque (enfin, relativement à la population) et une petite bib de proximité.

Nous bossons actuellement sur la poldoc :  charte d'acquisition, plan de développement des collections, etc. 

... Et se posent les même questions.

Ferris, j'avais trouvé et lu les documents que tu cites. des pistes de réflexions mais assez peu de concret. Bref, ma collègue et moi ne sommes pas plus avancées...

Alors pour le moment on a :

- une charte d'acquisition réseau validée par les élus

- choisi de de ne spécialiser aucune bibliothèque vu la petite taille des structures (ci ce n'est qu'il y aura la bib avec que des livres et des CD et DVD dans la médiathèque).

... et ça ne règle pas la question de qui achète quoi.

la solution que nous avons trouvé est de faire des réunions d'acquisitions régulières et avec un peu de bon sens (ou d'instinct)

il y a :

- les documents que nous choisissions sciemment d'acheter pour les deux bib (le Goncourt, les principales séries ados, etc)

- les documents que nous nous répartissons en fonction de notre public et / ou de la capacité que nous avons à les faire sortir (nos goûts quoi !).

Mis à part pour les séries, que nous nous sommes réparties, nous n'avons pas trouvé d'autres manière pour le moment de coordonner nos acquisitions.

 

Évidemment, je serai preneuse d'autres pistes.

 

Michmaa

 

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bonjour Ferris,

 

et bonne année à toi, vieux loup de mer !

 

Merci pour ces pistes. Ca me conforte dans certains choix que nous avons fait. Y compris là où j ene suis pas d'accord ;-p

 

On a prévu échange de documents "en gros" tous les 3-4 mois + navettes de réservation + fonds flottant ( c'est à dire que les docs réservés par les lecteurs resteront dans la bib où ils sont rendus. Sauf pour les CD et DVD).

C'est pourquoi il me parait essentiel de se coordonner et d'éviter les doublons : cela permet tout simplement d'augment le choix de titres disponibles sur le réseau. Ce qui me parait quand même important vu qu'on est relativement petit.

Vu la taille de nos structure, le public et la poldoc on ira naturellement vers les même titres .. qui n'ont peut être pas besoin d'être doublés. Alors que d'autres vont être écartés car ils risqueraient de ne pas trouver leur public. dernier exemple de la dernière rentrée littéraire : Je n'ai pas acheté Lætitia de Jablonka. Il est encensé de partout mais je savais qu'il serait très peu sorti (et personne ne me l'a réclamé, contrairement à pas mal d'autres titres). je crois que ma collègue a eu le même raisonnement. Peut être qu'à nous deux, on aurait pu acheter un exemplaire et éviter de doubler un livre qui, du reste, ne sortira pas des masses dans chaque bib et sera oublié dans 2 ans.  C'est bien de s'échanger des livres mais encore faut-il avoir des collections différentes.

Je vois pas 36 manière d'éviter cela :

- on se répartit les acquisition et par exemple, un bibliothécaire achète les docs pour les deux communes. => c'est ce que tu appellerais de la standardisation, je crois.

- on fait des réunions d'acquisitions régulières

- sinon : on s'échange nos listes de commandes. le premier à commander prend ce qu'il veut et le deuxième se débrouille pour prendre autre chose ;-)

je part bien sûr du postulat que l'on s'est déjà réparti tous les types de séries existantes (BD, ados, voire adulte)

 

 

 

 

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Salut la grande !

 

Un grand bravo pour le choix du fonds flottant ! Très peu pratiqué. Je VEUX avoir des retours sur cette pratique.

 

Effectivement la concertation peut ne porter que sur les prix litteraires, premiers romans encensés par la critique et autres trucs dont la sortie est douteuse. (Mon Gael Faye n'est pas encore sorti UNE SEULE fois !). A condition toutefois qu'au moins une bib achète le Goncourt ou autre, dans une proportion budgétaire à définir au préalable. Par contre se mettre d'accord, dès le départ et surtout sans entrer dans le détail sinon on n'en finira pas, sur le fait d'acheter pour chaque bib quelques incontournables. Tu sais que 80% des prêts portent sur 20% des fonds. Or ces 20% on les connait très bien, toi et moi. Et on sait les mesurer : tu fais tes stats de réservation par titre en fin d'année et tu vois tout de suite ce qu'il aurait fallu acheter en double ou plus dès le départ. Tu y ajoutes ton "best of" des sorties annuelles et tu tombes sur les mêmes titres. Et ce sont des titres qui restent au top des années (terroir, certains polars, certains suedois etc..).

 

Pour moi, il n'y a pas de problème majeur à acquerir les mêmes choses dans certains domaines. Je penses par exemple aux docs sur les loisirs créatifs, la cuisine et les domaines du "pratique". Plus ta rotation sera forte et moins tu en auras besoin, c'est vrai. Mais si tu veux que tes bibs restent "généralistes" et que les lecteurs ne se bousculent pas sur les résas il faut y aller dans le "doublon intelligent " (une reservation c'est une attente. J'ai calculé qu'à raison d'une navette hebdo, un ouvrage très demandé sortira au total 2 mois en moins sur une année, du fait de l'attente à l'aller et au temps qu'on donne au lecteur pour venir le chercher. (En supprimant le retour, tu diminues ce chiffre evidemment).

 

 Maintenant, tu sembles considérer qu'il s'agit des mêmes demandes émanant des mêmes types de public. C'est possible, je ne connais pas ton réseau. Chez nous les distances sont importantes et les publics très différents. Donc là c'est bien une question de contexte.

 

Quand tu dis "le premier à commander prend ce qu'il veut et le deuxième se débrouille pour prendre autre chose ", c'est juste pour réveiller mes hémorroides ou c'est pour rigoler ?:drool:

 

Allez, bonne année à toi aussi !

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"Je vois pas 36 manière d'éviter cela :

- on se répartit les acquisition et par exemple, un bibliothécaire achète les docs pour les deux communes. => c'est ce que tu appellerais de la standardisation, je crois.

- on fait des réunions d'acquisitions régulières

- sinon : on s'échange nos listes de commandes. le premier à commander prend ce qu'il veut et le deuxième se débrouille pour prendre autre chose ;-)"

 

Non, c'est le même problème qu'en BDP.

 

En BDP, ils savent ou supposent que le réseau va acheter certains titres "évidents". Suites de série, best-sellers, fonds particuliers propres à chaque BM, etc.

Et donc ne les acquièrent pas. Ils visent autre chose. Constitution de fonds thématiques, séries BD peu connues, ou une ou deux séries connues afin de compléter les bibliothèques avec de très petits budgets.

 

Le problème, c'est que nous ne sommes pas dans une concertation... Faute de partager nos fonds (au moins au niveau informatique), on ne peut pas savoir ce qui est prêté dans telle ou telle structure, ni ce qui pourrait intéresser les autres. (toujours mon regret lors du désherbage, ou lors du tri des dons.)

 

Pas 36 manières.

Hum.

Avec les SIGB, on sait que, globalement, 40 % du fonds engendre 80 % des prêts. Le reste est là pour meubler.

 

Si on touche à ces 40 %, coeur de collection, alors la fréquentation va chuter.

Et oui, c'est certain, sur ces 40 %, les doublons entre structures vont être majoritaires : un bon livre reste un bon livre, et un livre demandé est déjà un bon livre.

 

Pas trop difficile de regarder cette part du fonds qui assure ces 80 % de prêts et de la renforcer - avant toute autre chose - par les acquisitions.

 

Pour rappel 40 %... ça veut aussi dire 40 % du budget d'acquisition. Et non 100 %.

Ce qui veut bien dire que 60 % de nos achats le sont pour rien et peinent à trouver leurs lecteurs.

C'est sur ces 60 % que l'on peut se concerter afin de créer un fonds tournant ou plutôt réseau (tournant je n'aime pas trop le terme). Donc, un fonds réseau.

 

Et là, tout à fait d'accord, acquérir des documents en doublon sur le fonds réseau, ce n'est pas forcément judicieux.

Sauf si on vise des valises thématiques.

 

Bilan : 60 % du budget d'acquisition pourrait faire l'objet d'une acquisition concertée.

Sur un fonds réseau destiné à tourner

 

Allez, d'après les stats sur mon propre fonds, 60 % du fonds assurent 90 % des prêts.

Resterait donc 40 % de mon budget d'acquisition qui pourrait entrer en zone "concertation acquisition".

 

L'échange de liste de commandes pourrait porter sur cette part. Et non sur la totalité.

 

Le parallèle avec l'"acquisition en BDP" me paraît évident.

Quand je vais emprunter des documents au relais, je complète à hauteur de 10 % de mon fonds propre.

Je complète avec le fonds réseau, et si la BDP venait à disparaître, ça ne me gênerait pas de constituer un fonds réseau tournant avec d'autres structures. J'en apporte 100-150, on m'en donne 100-150 par période à définir.

 

Et pour la concertation, je donnerai ma liste des 40 % de mon budget pour le réseau, afin d'éviter les doublons inutiles.

Liste que j'aimerais (si c'était possible) recevoir de ma BDP afin d'éviter l'achat d'un titre dont je ne suis pas certain qu'il va rencontrer son public. Ou alors qui va avoir ses 5-6 lecteurs et puis plus rien. (Polar, SFF par exemple).

 

Ce serait ma manière de faire :

- protéger le coeur collection de ma structure qui assure les 80 % de prêts.

- partager le reste du budget d'acquisition pour éviter les doublons inutiles sur le fonds réseau.

 

40-50 % du budget d'acquisition quand même.

Ce qui n'est pas rien. :wink:

  Bernard

 

 

 

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Salut à vous !

 

Je cours après le temps, je ne viens plus si souvent, mais je suis contente de retrouver les mêmes têtes.

C'est déjà plus clair pour moi ce qu'on va faire.

Le diagnostic était posé mais il nous fallait :

- faire une poldoc pour les élus

- définir une procédure de travail entre nous.

Je pense qu'on va arriver à quelque chose avec les pistes de réflexions que vous avez donné.

 

Juste en passant,

Bonne année @Bernard !

@Ferris Vieux loup de mer, ça tout le monde le sait, c'est ton avatar et tu n'arrêtes pas de clamer que tu es proche de la retraite... par contre, moi grande ! là tu m'apprends quelque chose !:drool:

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Il n'existe en principe pas de masculin à l'expression "petite boulotte". Quoique finalement un homme aussi peut être petit et boulot. On peut par exemple trouver des petits boulots chez McDo.:tongue:Petite boulotte est un terme familier plutôt affectueux. Par contre gros boulet est en général utilisé de façon insultante. Mettre les deux expressions sur le même plan est donc une grosse boulette. Souvent commise pas les gros boulets, qu'ils soient boulots ou non. Président de l'ABF étant assimilable à un CDD non rémunéré donc plutôt de type stage, on peut considérer qu'il s'agit d'un petit boulot, lequel peut parfaitement être tenu par un boulet ou un boulot, l'un n'empêchant pas l'autre. En effet il faut être un peu boulet pour accepter de travailler dans ces conditions. C'est ballot cette histoire de boulot, quand on y songe....

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Exact, au masculin, ça le fait aussi. :wink:


 

http://www.littre.org/definition/boulot

Terme populaire. Gros et gras, qui a la forme d'une boule.

• Substantivement. Un gros boulot. Une petite boulotte.

=> Et là, j'adore : pour les hommes, le gros boulot, c'est du double gras.


 

boulotter

Terme populaire. Vivoter, vivre tant bien que mal.

Etymologie: Boule : proprement faire aller la petite boule.

=> hein ? De quelle petite boule parle-t-on ?


 

https://fr.wiktionary.org/wiki/boulot

(Familier) Petit, rondelet, gros, court, rond, arrondi.

Oh ! la, la, elle est bien boulotte ! Y a de quoi manger. — (Émile Zola, Nana, 1881)

Il était courtaud, boulot, bedonnant, très laid: l'allure épaisse d'un chantre d'église. — (Octave Mirbeau La Mort de Balzac, 1907)


 

... en face, une sorte de commodore américain, boulot et trapu, les chairs boucanées et le nez en bulbe, s'endormait, ... Huysmans, À rebours,1884, p. 176.


 


 

Boulot

Terme employé aussi en boulangerie

Le pain que fabrique votre boulanger est-il rond ou fendu, est-ce de la miche ou du boulot ? Huysmans, L'Oblat,t. 1, 1903, p. 53.


 

=> donc, il y aurait un rapport entre le boulot et les belles miches ?

Miche : Pain rond plus ou moins gros.


 

En tout cas, tout ça ne fait peut-être pas le boulot de... Michmaa (tiens, encore Mich)

Donner de la "boulotte" à Michmaa serait donc un pléonasme ?


 


 

Pour les mathématiques, je viens de vérifier sur mes prêts.

32,96 % assurent 80 % des prêts (valeur du fonds 33,38 %, ce qui est assez proche et statistiquement peu étonnant.)


 

La loi de Trueswell date des années 69 (http://blogs.univ-poitiers.fr/glossaire-mco/2013/06/22/3545/

). Je me demande si elle a été étudiée avant ou après l'ouverture au libre accès.

En tout cas, je vais essayer de la reprendre secteur par secteur pour voir si les 33 % se vérifient partout.

Ou si Trueswell (imitant Pareto) a raison en majorité. Comme ça, je connaîtrai mon vrai coeur collection. :flowers:

  Bernard

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  • 5 months later...

euh pour revenir au sujet,

est ce qu'on peut dire que cela dépend si des documents peuvent circuler ?

car si un adhérent peut emprunter dans n'importe quelle bibliothèque du réseau alors peut être que les documents peuvent être commun. Considérer que le réseau n'est qu'une seule médiathèque

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oui mais si dans la logique patrimonial, un livre d'une bibliothèque "propriétaire" comme tu dis est visible sur le catalogue commun, alors on peut considérer que c'est comme s'il était partout à la fois (virtuellement ce qui limite toujours le nombre de prêt. D'ailleurs à ce propos, est ce qu'il existe des stats sur les réservations de document ou si un document sort parce qu'il est vu en virtuel ou s'il est vu physiquement ?)

Donc mettons un réseau de 3 structures, réseau type "patrimonial" avec catalogue commun. si la bibliothèque A possède un ouvrage qui ne sort pas, B et C ont tout à fait la possibilité de l'emprunter . Donc s'il n'a pas été utilisé depuis X années, c'est que ni A, ni B, ni C n'en veulent, non ?

 

et comme disait Dominique Lahary, il y a autant de forme de réseau que d'intercommunalité en France

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  • 2 weeks later...
Le 21/07/2017 à 21:26, Ferris a dit :

L'immense majorité du lectorat veut pouvoir voir et toucher, feuilleter les livres

 

alors moi je suis pas d'accord. je ne sais pas combien de personnes utilisent le catalogue sur le nombre d'inscrit, mais je suppose qu'il est élevé car le nombre de réservation ici est important et bcp de personne nous parle du catalogue (pas toujours en bien , mais passons)

Certes, il y a bien des personnes qui ne l'utilisent pas et préfèrent le visuel, mais moi je n'y vois pas la majorité de nos lecteurs-emprunteurs, surtout pour des documents un peu tête d'affiche qui n'ont pas tellement besoin d'une promotion.

 

Après, on ne va quand même pas rétablir les exclus du prêt, hein ? :wink:

De toute façon, ceux qui doivent sortir parce qu'on en parle, sortent, pour les autres, le catalogue permet de les rendre visible dans toutes les bibliothèques de la structure et donc d'augmenter ses chances de sorti surtout si l'usager peut l'avoir rapidement.

 

Le 21/07/2017 à 21:26, Ferris a dit :

Ton raisonnement ne tient que par la réservation individuelle

 je comprends pas trop pourquoi tu parles de réservation individuelle ? Il existe des réservations collectives ?

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  • 1 year later...

En ayant lu attentivement vos échanges qui m'ont d'ailleurs beaucoup appris, je suis encore un peu perdu au sujet des textes de références qu'il faudrait produire pour la mise en réseau de bibliothèques : projet de service, plan de développement des collections, charte d'acquisition, contrat, etc.

 

Si quelqu'un pouvait m'expliquer la différence, voire me fournir un exemple, cela m'aiderait bien.

 

Merci

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D'abord bien lire et utiliser le guide de la mise en réseau https://bibliotheques.hautes-alpes.fr/images/articles/espace_pro/guidemisereseau.pdf

 

La Charte des collections, ou des acquisitions, en bibliothèque est aussi appelée charte documentaire, et cette charte des collections fixe les grandes lignes de la politique documentaire de la bibliothèque. Elle est définie plus precisément dans la "poldoc". En fait ces documents sont liés.

 

Tu en as une à Merignac : http://poldoc.enssib.fr/sites/poldoc.enssib.fr/files/poldoc/documents/charte_collections.pdf

et la poldoc est définie sur le site de l'ABF : http://www.abf.asso.fr/fichiers/file/Midi-Pyrenees/FORMATION/171205 POLDOC.pdf

 

Pour le projet de service (appelé aussi projet d'établissement), il se conçoit pour une durée d'au moins trois ans  et comporte les objectifs à tenir sur cette durée. En fait il définit la mission du réseau, ses partenariats etc... Il arrive en premier dans la liste des documents à produire.

http://mediatheque.seine-et-marne.fr/projet-d-etablissement

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