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Fan35

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@Zenodote."(effectivement il y a la solution d'augmenter le nombre et la durée des prêts, de mettre davantage de docs en magasin...), d'ailleurs il me semble que des études ont prouvé qu'un fonds aéré avec moins de docs était plus attractif qu'un fonds riche en nombre de documents. Après si vraiment ce n'est pas possible, on peut aussi rendre les collections accessibles avec un système efficace de portage à domicile et de services en ligne."
 
Toutes ces solutions sont utiles mais très peu productives quantitativement, particulièrement le portage à domicile (logistique lourde et couteuse pour peu de documents) Quant à la mise en réserve (active), on en connait tous le côté un peu hypocrite, non ? Quant à l'aération des fonds, on est d'accord, mais chez nous c'est déja réalisé (30 à 35 romans par étagère, ce qui laisse entre 20 et 30 cm en bout d'étagère). Et aérer jusqu'à supprimer 50% d'un mème fonds, ça va un peu loin, non ? L'augmentation de la durée et nombre de prêts, ou les prolongations, cela augmente la rotation des fonds mais c'est un artifice : peu de lecteurs empruntent en fait au delà de leur capacité et rythme personnels de lecture, sauf pour des périodes longues (absences, vacances, maladie...). Je ne pense pas que toutes ces mesures, mème accumulées, suffiront à régler le problème de nombreux collègues.
 
    
Les CCDSA (commissions consultatives départementales de sécurité et d’accessibilité) donnent un avis à l’autorité titulaire du pouvoir de police administrative en matière notamment d’accessibilité et participent à l’instruction des permis de construire des ERP. Elles statuent également sur les dossiers de diagnostic et de préconisation de mise en accessibilité. Les CCDSA rendent un avis conforme sur les demandes de dérogation à la mise en conformité et peuvent faire appel au préfet pour demander la fermeture du bâtiment. (C. Bonello)
 
Bernard, on est d'accord. OK pour la rampe d'accès et les trottoirs, places de parkings et autres (et les poussettes,et  le passage des portiques antivols, etc...on n'en parle pas), mais on n'est que dans l'accessibilité :
 
L’accessibilité du cadre bâti des bibliothèques en tant qu’ERP (établissements recevant du public) est désormais érigée au rang de contrainte légale. Les bibliothèques publiques devront respecter ces exigences au plus tard le 12 février 2015. Dans le cas des bibliothèques universitaires, l’échéance de la mise en accessibilité est fixée au 1er janvier 2011. (C. Bonello)
 
La mise en accessibilité ne suffit pas à faire venir ni à fidéliser le public handicapé. L’inscription du handicap dans le programme scientifique et culturel de la médiathèque constitue un facteur déterminant pour la pérennité des efforts en matière d’accessibilité. En amont, une analyse approfondie des publics handicapés, des réseaux associatifs présents à l’échelle locale ainsi qu’une association du public visé au projet doivent aider à déterminer des priorités. Ensuite, seule l’offre de services personnalisés garantit une fréquentation régulière du département dédié et des animations accessibles. (C. Bonello)

 

En cas de contradictions, des arbitrages sont nécessaires entre l’optimisation de l’accessibilité et d’autres aspects qualitatifs, tels que l’innovation, l’ergonomie ou l’esthétique. A contrario, la numérisation des ouvrages devrait permettre d’enrichir l’offre documentaire pour les personnes handicapées compte tenu de la faiblesse des collections adaptées. (C. Bonello)

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@Isalabib,


 


J'émets une hypothèse quant au peu de participation à ce sujet : la question est au point mort.


Ici, les bénévoles et moi, savons que la bibliothèque n'est clairement pas adaptée. Même les personnes agées relativement valides s'en plaignent. En même temps, personne dans ma collectivité n'a jamais évoqué la nécessité de se mettre en conformité avec la loi. En fait, en exagérant un peu, je dirais bien que si je ne lisais pas ce forum, je ne serai même pas au courant de cette obligation. je vais devoir alerter mon DGS... il me dira chastement qu'il a bien d'autres priorités en la matière. De fait, à part fermer et construire ailleurs, je ne vois pas ce qu'on peut faire.


J'imagine que je suis très loin d'être la seule dans ce cas et je suis contente de lire ce qui s'écrit ici pour éclairer mon chemin, mais quant à participer ...


Modifié par michmaa
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Bonjour Michmaa,


tu confirmes l'inquiétude que j'ai formulée au début (je ne vais pas me relire, c'était dans un autre message sur ce sujet) : le diagnostic accessibilité des bâtiments publics aurait dû être fait dans toutes les collectivités à la date actuelle, qui en a connaissance dans sa bib ?


Ton témoignage est très important car à mon avis il illustre un cas fort répandu hors grosses bib de grandes villes (je vais être gentille, je vais dire les au-dessus de 5000 habitants mais je suis vraiment très très gentille ce matin...), c'est que cette problématique reste sous le tapis, on ignore ou on fait le gros dos en attendant (on = les personnels des bibliothèques, les services adminsitratifs et techniques des collectivités...).


En attendant quoi...


La question lancée iniitalement par Fan35 semblait tenir pour acquis l'accessibilité des bâtiments, or dans la réalité des bibliothèques, c'est bien loin d'être le cas. Ce n'est pas faire insulte ou rejeter ces publics que de s'inquiéter de cette étape préalable, qui interroge réellement sur l'avenir de 90% des équipements français (je parle en bdpiste qui regarde la réalité du terrain autour d'elle...). 


 


Donc merci de nous faire part de cette réalité dans ton message, contrairement à ce que tu crois, tu participes largement au sujet par ce dont tu témoignes !


Modifié par Isalabib
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Bonjour

Tout à fait exact.
Ton témoignage, Michmaa est essentiel.

Et nombreux sont ceux qui vont l'apprendre en cours de route, alors que ça date de 2005.

Dans ma commune (moins de 4000 habitants en 2005), les élus se sont emparés du sujet depuis longtemps et à présent, par petites tranches, tous les bâtiments sont accessibles au rez-de-chaussée, même l'église !

Quant à la bibliothèque, le sujet avait déjà été pris en compte lors de la rénovation du bâtiment communal destiné à accueillir la bibliothèque... par l'équipe de bénévoles de l'époque (mères avec poussette oblige :wink:  ). Soit en 1995, bien avant l'obligation de la loi.

Mais il s'agit uniquement des rez-de-chaussée.

Bien cordialement
  B. Majour
 

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 Comme je l'ai déjà écrit, les retours d'expériences seraient les bienvenus, au moins on ne parlerait pas dans le vide. Mais comme je l'ai déjà écrit aussi, ça ne semble pas passionner les foules.

 

Mon retour d'(in)expérience : adjoint de patrimoine responsable de la bibliothèque municipale de ma commune (3500 ha - 500 abonnés), j'ai vu depuis 4 ans mon budget d'acquisitions (déjà pas gros) diminué de 60 % et je ne parle pas des investissements !

 

Depuis des années j'entends les élus parler de mise en accessibilité des divers bâtiments municipaux, dont la bibliothèque, et je crains de devoir attendre l'après-élection pour une proposition de solution en ce qui nous concerne. Curieusement, il semble que ce soit surtout l'accès aux toilettes qui intéresse tout le monde, la question des collections ne se posant même pas.

 

Fermeture en février 2015 si non-accessibilité ? j'avoue que je n'avais pas envisagé ce scénario catastrophe ! et en zone rurale avec une petite bibliothèque dans presque chaque commune, ce serait bientôt le désert culturel, brrrrrrrrr

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" le diagnostic accessibilité des bâtiments publics aurait dû être fait dans toutes les collectivités à la date actuelle, qui en a connaissance dans sa bib ?"


Pour les ERP jusqu'à la catégorie 4, les diagnostics auraient dus être terminé en 2011; Je suis catégorie 5 et je n'ai reçu qu'un courrier de la DRAC en 2008, et rien depuis. Les Services techniques n'ont rien reçu non plus. Aucun diagnostic même local n'a été réalisé. Il m'a toujours semblé être le seul à m'inquiéter de la chose dans ma collectivité.

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Les ERP de catégorie 5 n'ont pas obligation de se mettre aux normes mais "d'offrir l'ensemble des services sur un niveau accessible". On peut donc lire que, si votre bibliothèque est sur 2 niveaux sans ascenseur, avec par ex un espace multimédia à l'étage, vous vous devez d'offrir a minima un accès à internet au RDC.


Bien avant la loi de 2005, ce cas précis est arrivé dans une médiathèque proche de Rennes : une dame en fauteuil est allée frapper à la porte du maire en demandant pourquoi elle ne pourrait pas bénéficier comme le autres citoyens d'un accès à internet. Une solution a été trouvée par l'achat d'un PC portable qui a été installé au RDC.


C'est une solution provisoire, pas totalement satisfaisante, le principe étant aujourd'hui la non discrimination et le confort d'usage pour tous. Les pentes douces entre chaque étage de la médiathèque Astrolabe de Melun en sont un bon exemple : c'est le chemin pris par tous les usagers, sur 2 pieds, avec poussette, béquille ou fauteuil roulant et c'est moins fatigant et source de chute que des escaliers.


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Les ERP de catégorie 5 n'ont pas obligation de se mettre aux normes mais "d'offrir l'ensemble des services sur un niveau accessible". On peut donc lire que, si votre bibliothèque est sur 2 niveaux sans ascenseur, avec par ex un espace multimédia à l'étage, vous vous devez d'offrir a minima un accès à internet au RDC.

 

 

Je te remercie beaucoup de ces renseignements. Nous avons un ascenseur et les postes internet sur les deux niveaux. Donc ça devrait être OK pour l'accessibilité ; Mais pour ce qui est des autres normes internes (1,40 m au sol entre deux éléments mobiliers ou immobiliers etc..)

as-tu des infos qui seraient spécifiques aux ERP de catégorie 5  ?

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Bonsoir,


 


Puisque que l'ignorance de tous est chacun est maintenant avérée en la matière, je vais me permettre de poser plein de questions qui se résume en gros à :


Concrètement, qu'est ce que cela implique "offrir l'ensemble des services sur un niveau accessible" ?


j'imagine assez facilement que cela signifie, rampes d'accès au bâtiment, aménagement de toilettes adaptées. Isalabib mentionnait les portes à ouverture automatique, Ferris mentionne la largeur nécessaire des travées pour pouvoir permettre une bonne circulation d'un fauteuil. Tout cela semble relativement logique.


Mais, Une collègue me parlait dernièrement de la nécessité de changer les banques de prêt dans son établissement. je n'y aurait jamais pensé. Y a t'il d'autres choses dans ce genre ?


J'imagine également qu'on ne parle pas que des handicapés moteurs mais également des publics sourds, aveugles, déficients mentaux. et là, je vois encore moins bien ce qu'il faudrait faire.


Y a t'il quelque part un document qui récapitule les normes à respecter ?


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Tu as tout  sur : www.culture.gouv.fr/handicap.

 

et 102 pages très complètes sur http://www.fill.fr/images/documents/bibliotheques_et_handicaps.pdf avec des conseils, des exemples de réalisations dans des bibliothèques (Arald)
 
 Je copie certains trucs :
 
"La loi de 2005 a été complétée par de nombreux arrêtés et décrets d’application ;les arrêtés du 17 mai 2006 et 1er août 2006 (complétés et modifiés par l’arrêté du 30 novembre 2007) précisent les caractéristiques techniques relatives à l’accessibilité
du cadre bâti, à mettre en oeuvre avant le 1er janvier 2015. Au sein des collectivités, le projet de mise en accessibilité d’un bâtiment doit être conçu en lien étroit avec deux autres documents de programmation :
• le schéma directeur d’accessibilité des services des transports publics, élaboré par les autorités compétentes pour l’organisation du transport public, prend en compte les difficultés, les contraintes, les besoins locaux, et établit un programme
de mise en accessibilité à échéance de 2015 (Loi du 11 février 2005, article 45).
• le plan de mise en accessibilité de la voirie et des aménagements des espaces publics, établi dans chaque commune à l’initiative du maire ou, le cas échéant, du président de l’établissement public de coopération intercommunale, fait partie intégrante
du plan de déplacements urbains quand il existe (Loi du 11 février 2005, article 45).Pour accompagner la mise en oeuvre de ce processus, les communes ou intercommunalités de 5 000 habitants ou plus ont l’obligation de créer des commissions
communales ou intercommunales d’accessibilité. « Cette commission dresse le constat de l’état de l’accessibilité du cadre bâti existant, de la voirie, des espaces publics et des transports. Elle établit un rapport annuel présenté en conseil municipal et fait
toutes propositions utiles de nature à améliorer la mise en accessibilité de l’existant »

Les ERP de 5e catégorie n’appartenant pas à l’État ne sont pas dans l’obligation de réaliser un diagnostic. Toutefois, ils devront être en conformité avec la loi de 2005 au plus tard le 1er janvier 2015 ; la réalisation d’un diagnostic peut donc s’avérer
pertinente et leur permettre, en fonction des résultats de l’état des lieux, de revoir l’organisation interne et le fonctionnement du bâtiment.
 

Pour aider les propriétaires et responsables des ERP à choisir un prestataire ayant les compétences spécifiques requises parmi les nombreuses entreprises proposant la réalisation de diagnostics, le ministère de la Culture et de la Communication a élaboré un cahier des charges type pour l’appel d’offres au diagnostic. www.culture.gouv.fr/handicap/outils.html, rubrique « Rappel réglementaire ».

 

Des dérogations peuvent exceptionnellement être accordées après avis conforme de la CCDSA, après démonstration soit d’une impossibilité technique, soit de l’existence de contraintes liées à la préservation du patrimoine architectural, soit d’une disproportion manifeste entre les améliorations apportées et leurs conséquences ; l’argument financier sans autre justification est irrecevable. Les dérogations sont toujours accompagnées de mesures de substitution compensatrices pour une qualité d’usage équivalente (dispositifs technologiques, accompagnement humain…).
 

 

Tous les textes de loi :
www.culture.gouv.fr/handicap, le site du ministère de la Culture et de la Communication recense l’ensemble des textes contractuels et réglementaires.

www.handicap.fr, média indépendant pour l’information de toutes les personnes concernées par le handicap, comporte une rubrique consacrée au droit, avec un travail de veille sur les décrets d’application de la loi du 11 février 2005 : http://informations.handicap.fr/decrets-loi-handicap-fevrier-2005.php
• L’annexe 8 de la circulaire interministérielle n°DGUHC 2007-53 du 30 novembre 2007 relative à l’accessibilité des établissements recevant du public, des installations ouvertes au public et des bâtiments d’habitation (les textes réglementaires sont complétés par des recommandations et illustrés par de nombreux schémas). "

 

Dispositions relatives à l’accueil du public :
« Les banques d’accueil doivent être utilisables par une personne en position “debout” comme en position “assis” et permettre la
communication visuelle entre les usagers et le personnel. » (Arrêté du 1er août 2006, article 5).

 
 

"Les rayonnages ne doivent être ni trop haut ni trop bas, et les étagères aérées. Sont recommandés : une hauteur maximale de 1,50 m ainsi qu’une limite minimale de 0,80 m, et un espacement entre les rayonnages de 1,40 m (norme pour les circulations intérieures). En dessous des bacs, un espace vide, au minimum de 0,70 m de hauteur, de 0,30 m de profondeur et de 0,60 m de largeur, est obligatoire pour permettre le passage des pieds et des genoux d’une personne en fauteuil roulant.Les tables obéissent aux mêmes critères et auront obligatoirement une hauteur maximale de 0,80 m."

 

 

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J'aimerai juste souligner que l'intérêt de la loi, c'est notamment de permettre d'ouvrir désormais des espaces accessibles et adaptés. En effet, toutes les bibliothèques (par extension, tous les ERP) relevant d'un permis de construire postérieur au 1er janvier 2007 doivent être accessibles et répondre aux préconisations de la loi. En intégrant en amont de la construction les questions d'accessibilité, les nouvelles médiathèques qui ouvrent actuellement (du moins celles que j'ai pu visiter) offrent des espaces confortables et agréables à vivre, de plus en plus 3ème lieu sans pour autant présenter des collections étriquées, ce qui est encourageant.


Par ailleurs, puisqu'il est question de retours d'expérience, je voudrai signaler que dans ma ville, les diagnostics d'accessibilité ont bien été faits fin 2011. L'une des préconisations était la modification du hall de la médiathèque centrale ce qui va occasionner des travaux cette année, le sas va être aggrandi et les lourdes portes d'entrées vont être remplacées par des portes automatiques,une solution plus ergonomique certes pour les personnes handicapées mais aussi pour les poussettes, les personnes chargées de paquets...C'est pourquoi on peut aussi se dire que les aménagements demandés par la loi peuvent offrir un confort d'usage à tous les utilsateurs de la bibliothèque. Je souligne que ces travaux seront financés partiellement par la DRAC via la DGD.


Certes, la mise en accessibilité demandée par la loi est contraignante mais cela passera par l'identification de priorités ,  il y aura forcément des compromis et je doute qu'il y ait beaucoup d'équipements qui ferment. 


En revanche, si la loi nous oblige à repenser nos espaces pour offrir des lieux plus conviviaux et plus confortables même s'il y a un peu moins de documents, c'est bien l'esprit du 3ème lieu et il me semble que tous les publics ont à y gagner!


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Pour le portage à domicile trop couteux, des bibliothèques britanniques ont monté une opération "the good neighbour": il s'agit de mettre en relation les usagers de la bibliothèque avec des personnes à mobilité réduite qui habitent près de chez eux. En gros la bibliothèque se charge de faire la com de l'opération et de mettre les gens en relation, et ce sont les usagers qui portent les livres demandés par les personnes qui ne peuvent pas se déplacer. Apparemment ça marche plutôt bien, mais il faut dire que les usagers anglais sont peut-être plus serviables et impliqués que les usagers français...


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Il faut dire aussi que les bibliothécaires britanniques commencent à se faire rares et que des bénévoles font aussi le boulot in les murs quand la bibliothèque existe encore...


 


Cela dit, dans les nombreuses bibliothèques françaises où des bénévoles interviennent, ils/elles peuvent participer au portage à domicile quand ça existe (et ça existe). Ce n'est pas la même chose que les relations de bon voisinage du good neighbour, mais c'est une piste qui peut permettre de mettre en place un service coûteux en temps.


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