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Tour de France des bibliothèques en grève


Blandine

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il y a 3 minutes, Ferris a dit :

Bravo pour le partenariat/convention/formation en intra. Et pour bien différencier les tranches d'âge. Mais qui va former ? Tu prévois des intervenants extérieurs ?

 

J'ai fait une demande au service formation de la collectivité en précisant bien le contexte, les objectifs, la nécessité. Nous aurons donc une formation sur-mesure. Ca aura un coût c'est certain.

En fait c'est un travail de longue haleine, les problèmes plus que récurrents de plannings liés à "l'activité crèche" me provoquaient des vapeurs, de l'urticaire... Et quand, j'ai mis mon nez dans ce qui était proposé (dont Machinnette qui créait des décors pour les lectures...) , mamma mia! Mes cheveux se sont dressés! J'ai donc contacté la collègue de la petite enfance et nous sommes tombées d'accord sur ce vers quoi nous voulions tendre (elle a aussi ses boulets et ses boulettes, ses aberrations de fonctionnements...).

Bref, projet commun, donc plus de chance que le service formation accepte.  C'est moi qui porte la demande de formation.

 

il y a 11 minutes, Ferris a dit :

Hi hi, ça tombe bien, y en a plus ! Enfin cette gabegie qui existait depuis 1980 s'arrête. Ils remplacent ça, mais à dose homéopathique, par le PEC (Parcours emploi compétence) « Il s’agit de passer d’une logique quantitative visant une masse de contrats à une exigence de qualité »

 

euh, non plus, j'en veux pas!

Par contre cela fait plusieurs fois que je suis contactée par le rectorat qui veut me persuader d'accepter:

  • des enseignants en ateliers thérapeutique bénévoles
  • des enseignants en poste adaptés 

Mais euh!

 

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Il y a 4 heures, Louve a dit :

enseignants en ateliers thérapeutique bénévoles

 

Effectivement, vaut mieux refuser !La MGEN  et son réseau national de santé mentale et de réadaptation déborde. Il ne s'agit pas de se les faire refiler en douce...La Cour des miracles, ou ton armée mexicaine, on connait, on a déja donné. :wink:

 

Merci pour la dédicace. Désolé d'être aussi nul en anglais, mais quand j'ai vu le mec qui fabriquait des sushis, j'ai compris le message. En gros on est d'accord. Et des sushis à la cafétéria Tiers lieu, y a pas si loin ..

:heart:

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(...) depuis le départ à la retraite en avril 2018 d’une des trois bibliothécaires, la mairie a choisi de faire appel à des salariés en CDD pas toujours formés pour occuper ce poste vacant. Ainsi pas moins de trois employés se sont succédés entre avril et octobre. (...) Ce dernier épisode a eu pour effet  l’arrêt de travail de la dernière bibliothécaire. Ainsi aujourd’hui la médiathèque de Cuges ne fonctionne plus qu’avec un agent contractuel en poste jusqu’en décembre.

 

La Messe est dite...:cry:

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  • 5 weeks later...

Les bibliothécaires de Sorbonne Université font grève :

 

https://www.livreshebdo.fr/article/les-bibliothecaires-de-sorbonne-universite-font-greve?fbclid=IwAR3rZQvJ6Bwg_DM22SZdRnvaT-CkwHL3hqfSbfqKjVVKtEPfclHEipnxcxU

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Revendications menées par CGT/FSU, donc des combatifs de principe. Là c'est l'extension des horaires et des services qui est mise en cause. 

et le mouvement de fermeture totale ne concerne en fait que 3 bibliothèques sur 7. http://documentation.sorbonne-universites.fr/actualites/actualites/news/perturbations-a-prevoir-dans-louverture-des-bibliotheques-de-sorbonne-universite-le-9-octobre.html?tx_news_pi1[controller]=News&tx_news_pi1[action]=detail&cHash=b554c1603ef182ddc50982ce19d1c86a

 

(...) notamment l’extension des horaires d’ouverture au public des bibliothèques de la faculté et la multiplication des services offerts aux usagers. Des missions "chronophages" qui "demandent toujours plus de présence" alors que "les collègues partis à la retraite ne sont pas remplacés" et que les "directions universitaires ont diminué pendant plusieurs années les effectifs".

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  • 1 month later...

Bonjour,

 

Nouvel article sur un risque de fermeture :

 

A Marseille, le bras de fer contre la fermeture d'une grande bibliothèque

https://www.actualitte.com/article/monde-edition/a-marseille-le-bras-de-fer-contre-la-fermeture-d-une-grande-bibliotheque/92642?origin=newsletter

 

 

(et bonne année quand même ...)

 

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  • 3 weeks later...

A la BIU de Montpellier ça craint du boudin:

https://www.change.org/p/les-présidences-des-universités-de-montpellier-soutenez-la-bibliothèque-interuniversitaire-de-montpellier

Et quand le bateau coule que font les présidents des universités concernés?

Citation

les présidences des deux universités s’apprêtent à commander un audit à une société privée pour vérifier la « pertinence de la structure BIU ». Coût de cet audit : 50 000€, financés par le budget déjà fragilisé de la BIU !

:frantics:

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  • 2 weeks later...

Un peu exagéré. Informer le CHSCT oui, c'est même la premiere chose à faire. Et ensuite il y a enquête. Mais exercer directement son droit de retrait, c'est hors de propos.Le droit de retrait consiste en la possibilité offerte à tout agent de quitter son poste de travail s'il a un motif raisonnable de penser qu'il se trouve exposé à un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé.

Et ce n'est pas à la CGT d'en decider. Par ailleurs il y a aussi des plaintes au pénal qui peuvent être exercées simultanément si les faits relatés sont exacts la peur s’invite dans la bibliothèque et nous poursuit parfois même dans la rue. Sans soutien de la part de notre hiérarchie, que pouvons-nous faire face aux menaces (« attaques au mortier », « balle dans la tête », « tout casser »), aux insultes, aux bagarres, à la consommation de stupéfiants dans l’établissement ? Hier, nous avons fait face à des livres et élastiques qui volaient à travers le plateau, atteignant parfois usagers ou bibliothécaires, à des bouteilles jetées sur la façade et au refus de quitter la bibliothèque de la part des groupes en cause.

Dans des situations équivalentes ou pires en région parisienne, les bibliothèques sont restées ouvertes...

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Dans des situations équivalentes ou pires en région parisienne, les bibliothèques sont restées ouvertes...

C'est pas une raison, personnellement travailler dans ces conditions je sais pas si je pourrais. J'ai travaillé en bibliothèque de quartier (et oui là bas aussi les toilettes servaient aux dealers...), je me suis faite insulter par des usagers, mais là ça a l'air d'être un sacré niveau au dessus, et sans aucun moyen humain de calmer le jeu. Il y a quand même jets de livres et menaces de mort, donc oui ils sont exposé à un danger imminent menaçant leur santé.

Quand au CHSCT j'imagine qu'il a déjà été alerté de la situation. 5 départs en moins d'un an c'est quand même beaucoup.

Les bibliothèques ne sont pas là pour maintenir le couvercle d'une cocotte minute prête à exploser. Ils ne cherchent pas à abandonner la population, ils cherchent à alerter leur hiérarchie.

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Je suis d'accord avec toi  si ces faits sont avérés.  Simplement je me méfie des discours de la CGT et consorts qui très souvent prennent prétexte de situations difficiles pour régler des comptes avec les élus. Et souvent sur des questions qui ne datent pas d'hier. On ne me fera pas croire non plus que ces événements sont arrivés récemment à partir de rien. Pourquoi n'intervenir que maintenant ? Et qu'entendent-ils par "le soutien de la hiérarchie" ? Des recrutements de vigiles ? une présence policière ? une prime de risques ? Franchement, à part fermer la structure, que veux-tu qu'elle fasse, la hiérarchie ?

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Et qu'entendent-ils par "le soutien de la hiérarchie" ? Des recrutements de vigiles ? une présence policière ? une prime de risques ? Franchement, à part fermer la structure, que veux-tu qu'elle fasse, la hiérarchie ?

Du personnel supplémentaire, des vigiles, des éducateurs, oui une présence policière peut être une réponse. Si les personnels n'ont pas les moyens humains d'exclure de la bib les éléments perturbateurs c'est qu'il y a un pb.

Réponse de la mairie:

https://www.actualitte.com/article/monde-edition/la-mairie-de-paris-va-affecter-un-mediateur-a-la-bibliotheque-assia-djebar/93171

Je suis d'ailleurs étonnée de voir qu'il n'y avait pas de vigile tous les jours (ça sert à quoi de mettre un vigile de temps en temps?). 

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Ben voilà, un médiateur et des vigiles à cause de 6 petits crétins mineurs, et ça coûtera ce que ça coûtera....

 

Tu as remarqué au passage que les syndicats ne perdent pas le Nord et ont finalement un peu instrumentalisé une vraie question d'urgence pour placer des revendications plus classiquesD'autres problématiques évoquées par les équipes dans leur lettre ouverte, comme la baisse du budget d'acquisition de la bibliothèque de 30 % la deuxième année, ou le recrutement des agents, n'ont pas été abordées lors de la réunion de ce matin. 

 

A mon avis avec le surcoût occasionné par le renforcement vigiles et le salaire du médiateur, ils ne sont pas près de voir remonter leurs crédits d'acquisition.

 

Encore merci Pigranelle pour cette veille, qui est toujours précieuse. :yes:

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un médiateur et des vigiles à cause de 6 petits crétins mineurs

Alors je sais pour cette médiathèque-là mais je pense que ce ne sont pas juste "six petits crétins mineurs". On parle de trafic de drogue, de menaces de mort, de jets d'objets. Je sais pas toi mais moi je suis ni barraquée ni formée aux arts martiaux, si j'ai 6 "gosses" de 18 ans qui mettent le bordel et qui refusent mon autorité parce qu'ils ont décidé de faire leur marché dans les toilettes de la bib, je ne vois pas ce que je peux faire. Il y a des problèmes sur lesquels un bibliothécaire ne peut simplement pas intervenir, parce que ce n'est pas son boulot.

La question du budget d'acquisition n'est pas la même et relève à mes yeux d'un autre problème, même si l'idée de ce courrier était de montrer que l'ouverture de la médiathèque était avant tout un effet de com, qui est bien vite retombé.

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@Ferris

Décidément, vous ne changez pas : quelqu'un vous fait part de ses difficultés et vous répondez de manière pédante et suffisante. J'ai connu un poseur dans votre genre et j'ai eu l'occasion de le voir en situation, se confronter à "six petits crétins mineurs". Il n'en menait pas large et dut d'éviter les embêtements à l'intervention salvatrice d'un collègue (moi, en l'occurrence). Depuis, il a émigré vers des contrées plus calmes. Le monde des bibliothécaires étant un petit monde, si ça trouve, c'est vous que j'ai sauvé !

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Bonjour!

 

Au delà des problèmes rencontrés par les collègues d'Assia Djebar, et que je ne remets aucunement en cause,  il m' apparaît indispensable de creuser un peu plus la question  pour comprendre ce qui se passe profondèment.

Je pense qu'à force de faire des ateliers tricots, des clubs cuisines, de dire que tout le monde a son mot à dire, nous avons oublié de dire ce qu'était une bibliothèque et que ce grand flou provoque des incompréhensions, des malentendus parce qu'en fait nous ,bibliothécaires, avons ont une idée bien précise de ce doit être la participation du public mais ne le disons pas, ne le formalisons pas.  Nous sommes dans un magnifique impensé. 

Donc ça frotte, ça pince, ça grince et ça fait mal.

 

Pour ma part j'ai du affronter des mafieux en tout genre, des gamines en rupture prêtes à nous retourner la bib mais surtout à s'amuser avec les bibliothécaires qui réagissaient comme des culbuto (elles trouvaient ça trop drôle les adotes). 

J'ai un principe de base: il y a une ligne blanche qui ne doit pas être franchie et je n'ai aucun scrupule à sortir l'artillerie lourde (police municipale police nationale, saisine auprès du CDDF...).

Je sais aussi que le monde n'est pas fait que de gentils lecteurs, de pauvres citoyens  à éduquer, à édifier, donc  je sais qu'il faut aussi penser aux usages détournés, dévoyés. 

 

C'est ce qui m'a permis de laisser la bibliothèque ouverte pendant plus de 6 mois à un moment où c'était franchement chaud; et pourtant certains (extérieurs à la collectivité dont des bibliothécaires persuadés que leur projet à eux tiendrait) me trouvaient un peu rude, un peu radicale.

Mais en attendant, mon équipe et moi avons tenu le choc avec pour credo: la sécurité des personnes et des biens;  la qualité du service.

 

Il nous faut dire vraiment ce que nous entendons par bibliothèque, être capable de dire ce que nous ne pensons pas légitime , adaptés (en l'expliquant évidemment) mais le dire et surtout être conscient  qu'il y a des "méchants et des gentils" ou dit de manière moins caricaturale qu'il importe de prendre en compte ce qui pourra nous poser problème, ce qui pourra poser problème aux usagers. 

 

Modifié par Louve
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Le 05/02/2019 à 00:31, Ferris a dit :

Un peu exagéré. Informer le CHSCT oui, c'est même la premiere chose à faire. Et ensuite il y a enquête. Mais exercer directement son droit de retrait, c'est hors de propos.Le droit de retrait consiste en la possibilité offerte à tout agent de quitter son poste de travail s'il a un motif raisonnable de penser qu'il se trouve exposé à un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé.

Et ce n'est pas à la CGT d'en decider. Par ailleurs il y a aussi des plaintes au pénal qui peuvent être exercées simultanément si les faits relatés sont exacts la peur s’invite dans la bibliothèque et nous poursuit parfois même dans la rue. Sans soutien de la part de notre hiérarchie, que pouvons-nous faire face aux menaces (« attaques au mortier », « balle dans la tête », « tout casser »), aux insultes, aux bagarres, à la consommation de stupéfiants dans l’établissement ? Hier, nous avons fait face à des livres et élastiques qui volaient à travers le plateau, atteignant parfois usagers ou bibliothécaires, à des bouteilles jetées sur la façade et au refus de quitter la bibliothèque de la part des groupes en cause.

Dans des situations équivalentes ou pires en région parisienne, les bibliothèques sont restées ouvertes...

 

 

Personne n'a à subir ce genre de choses et à être en danger au travail, il est normal d'exercer son droit de retrait.  Mais Ferris, le surhomme,  vient travailler avec 42° de fièvre, le dos en compote, avec des dealers dans la bibliothèque et sous le joug de menaces de mort. Tous ceux qui ne sont pas comme Ferris ne méritent pas d'être bibliothécaires. Vite, une révocation ! 

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Je rebondis sur une autre actualité : "Mouvement social : Aubagne, “bataille récurrente” pour les budgets de la bibliothèque"  https://www.actualitte.com/article/monde-edition/mouvement-social-aubagne-bataille-recurrente-pour-les-budgets-de-la-bibliotheque/93310?fbclid=IwAR3YyNNWEyDzbSbcQufPWiqBfssyeWtd6ZBbPkxzSCfBlE0nmHp3OvFgIdg

 

Et sinon, si on pouvait éviter de se tirer dans les pattes avec des attaques nominatives directes, ce serait sans doute mieux pour tout le monde. Je ne suis pas toujours d'accord avec les propos de Ferris, mais il est parfois bon de se voir contredit et ainsi renverser son schéma de pensée... même si au bout du compte on reste sur sa position première et même si on n'est pas d'accord. 

 

Et pour ma part, je travaille dans une médiathèque où il y a effectivement un vigile (@Pigranelle : le vigile n'est pas toujours là, mais sur des périodes de grosse fréquentation) : à titre personnel, je n'y suis pas favorable ; néanmoins, il faut bien souligner que sa présence a permis de rétablir une harmonie entre les différents types d'usage(rs) et soulager l'équipe qui peut répondre aux demandes de façon plus détendue, sans avoir à l'oeil les groupes d'agités et sans s'interrompre pour les sortir. Et comme l'a dit Louve, il ne faut pas hésiter à contacter les forces de l'ordre dans les cas les plus sensibles ou si toute l'équipe de l'accueil se trouve débordé par des "éléments perturbateurs". 

 

Epsy. 

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Je trouve scandaleux de critiquer le fait que des collègues n'aient pas supporté de telles conditions de travail. Ils n'avaient pas à le faire, point, ça n'est pas normal et c'est inacceptable. Être à ce point incapable d'empathie m’écœure particulièrement. 

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Je ne pense pas avoir compris exactement la même chose que vous. Pour moi, il ne critique pas les collègues n'ayant pas supporté les conditions de travail qui semblent effectivement très dures. Ce qu'il remet en cause, c'est la manière d'alerter sa hiérarchie : si j'essaie de me placer du point de vue du droit, en évacuant les sentiments, il y a un doute sur l'imminence du danger (quand ont-ils fermé : après avoir évacué le groupe ? Le groupe était-il menaçant devant la médiathèque (et si oui, ont-ils évacué le reste du public par une autre sortie ?? Ca me semble peu probable) ? Ou bien ont-ils choisi de ne pas réouvrir le lendemain ?). Valait-il mieux se mettre en retrait ou porter plainte ? Mais de toute manière, ce n'est pas à nous de juger. 

 

Toujours est-il que les réponses de Pigranelle et de Louve m'ont toujours parues très justes et bien argumentées, ce qui équilibrait très bien les choses. Ce qui n'a pas été le cas ensuite : si vous voulez convaincre, argumentez sur des faits, prenez des exemples, étayez les idées. Mais une petite pique en passant avec une atteinte directe à la personne, je trouve ça un peu juste.  

 

Epsy.

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