Administrateur ABF Posté(e) le 31 mai 2017 Administrateur Share Posté(e) le 31 mai 2017 Les candidats aux élections législatives appelés à défendre les bibliothèques par un collectif d’associations, d’acteurs culturels et d’universitaires. Voir l'article complet Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ignatius Kaltenbrunner Posté(e) le 3 juin 2017 Share Posté(e) le 3 juin 2017 Je ne comprends guère en quoi les députés peuvent s'engager à porter des mesures très concrètes de ce type dans leur circonscription : Pour l’élargissement des conditions d’accès et des horaires d’ouverture ; Pour le soutien à la construction de nouvelles bibliothèques dans les zones qui en manquent ; Pour le maintien et l’augmentation des budgets dédiés aux bibliothèques incluant le remplacement ou l’embauche de personnels qualifiés dans ce domaine ; Quel est le pouvoir des députés sur les bibliothèques communales ou intercommunales ou départementales ? D'autant que la loi sur le cumul des mandats va nous "priver" des députés-maires ... Faire feu de tout bois en cette période électorale c'est (peut-être) bien pour se montrer, exister, mais peut porter aussi à confusion. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 3 juin 2017 Share Posté(e) le 3 juin 2017 (modifié) Leur pouvoir purement législatif sera quasi nul en ce domaine, du fait du principe constitutionnel de libre administration des collectivités locales. Par contre au niveau des dotations et des possibilités budgétaires en général, ils pourront, par les votes budgétaires, influer indirectement sur les décisions type heures d'ouvertures, impliquant recrutements, tout comme le soutien financier aux constructions via les enveloppes des DRAC (service déconcentré de l'Etat) et différents niveaux de subventionnement, etc... Par ailleurs, dans leur circonscription,les nouveaux députés "hors-sol", n'ont pas un rôle inexistant face aux élus locaux et aux populations. La fin du décideur unique à deux casquettes, législateur national et décideur local, le "député-maire" est plutôt une bonne chose. A essayer en tous cas. EDIT. En tous cas, ceux qui misaient sur la Ministre de la Culture ont tout faux. Son ordre de mission vient de paraitre au JO : 6 compétences bien définies, mais rien sur les bibliothèques.https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000034807155&dateTexte=20170603 Modifié le 3 juin 2017 par Ferris Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Louve Posté(e) le 3 juin 2017 Share Posté(e) le 3 juin 2017 Il y a 2 heures, Ferris a dit : EDIT. En tous cas, ceux qui misaient sur la Ministre de la Culture ont tout faux. Son ordre de mission vient de paraitre au JO : 6 compétences bien définies, mais rien sur les bibliothèques.https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000034807155&dateTexte=20170603 logique, normal, attendu... par moi en tout cas! Franchement je n'attendais rien au niveau des bibliothèques. Oui, oui, depuis le début j'ai du mal avec le "pass culture", "les bibliothèques largement ouvertes"... avec cette approche très parisienne à mille lieux des préoccupations de nombre de bibliothèques. Sans parler des librairies indépendantes... Quand à Mme la Ministre de la Culture, j'attends de voir. J'avoue être sceptique, mon côté ronchon certainement Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Louve Posté(e) le 6 juin 2017 Share Posté(e) le 6 juin 2017 Bonjour! une analyse et un avis beaucoup plus optimiste que le mien! http://www.livreshebdo.fr/article/edouard-philippe-promouvoir-la-lecture-plutot-que-defendre-les-bibliotheques Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
B. Majour Posté(e) le 6 juin 2017 Share Posté(e) le 6 juin 2017 (modifié) Bonjour Pour la ministre de culture, il n'était pas question d'une mise en trope. Elle a juste une connaissance plus approfondie des métiers du livre, ce qui ne veut rien dire sur ses possibilités d'intervention, ni sur son maintien après les législatives d'après ce que j'ai compris. Pour le reste, c'est comme d'habitude : à côté de la plaque. Quand et où forme-t-on des lecteurs... ? A l'école, au collège, au lycée. Dans un collège, c'est une demi-heure de lecture obligatoire pour tout le monde, profs et élèves. Résultats en hausse, calme dans l'établissement en hausse. C'est bien beau de vouloir ouvrir plus ou de mettre des livres à disposition. S'il n'y a pas de lecteurs formés pour lire, c'est comme arroser une culture par grand vent. Et dans le même cap, ce devrait être gratuité obligatoire pour tous les jeunes jusqu'à 18 ans, (voire au-delà) parce qu'ouvrir plus si les tarifs continuent à être discriminatoires à quoi bon. On donne le goût, l'odeur, mais pas la chair. De nouveau, à côté de la plaque. (de cuisson cette fois-ci) Enfin, ne boudons pas notre plaisir, c'est la première élection où on parle des bibliothèques. Pas des musées, pas des archives, pas des théâtres, ou autres lieux culturels... des bibliothèques ! Premiers effets d'un lobbying advocacy ? Bernard Modifié le 6 juin 2017 par B. Majour Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 6 juin 2017 Share Posté(e) le 6 juin 2017 Effrayant finalement. Sous le masque, c'est la promotion de petites structures tout-terrain à l'offre faible et gérées par des bénévoles, des dépôts nomades non gérés ( dans les laveries laveries, bars, maisons de quartiers, accueil d’hôpitaux, piscines, pharmacies, etc.). Et le couperet est net : Autant dire qu'il ne faut pas s'attendre à trouver chez lui un promoteur de l'idée de "loi sur les bibliothèques" qui a longtemps été appelée des vœux des professionnels. La bibliothèque doit bien plutôt s'ancrer comme un partenaire local à l'affût de toute opportunité pour promouvoir la lecture. A l’affût de toute opportunité : autrement dit, démerdez-vous. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Louve Posté(e) le 6 juin 2017 Share Posté(e) le 6 juin 2017 il y a 31 minutes, B. Majour a dit : Elle a juste une connaissance plus approfondie des métiers du livre, ce qui ne veut rien dire sur ses possibilités d'intervention, ni sur son maintien après les législatives d'après ce que j'ai compris Oui, enfin, bon, je dirai qu'elle a surtout une grande expérience de l'édition et du commerce! Comment devenir grand en rachetant les autres... Très intéressant également de savoir qu'Actes Sud est membre de la SCELF (pour rappel ici, les envies de la SCELF) et que je n'ai rien entendu de leur part à ce sujet... Et ça ne date pas de sa nomination.... Donc plutôt que "possibilité d'intervention", je parlerai d'envies, de désirs, de vision... que pour le moment je n'arrive pas à cerner, appréhender. Je ne l'ai pas beaucoup entendue sur la librairie indépendante... il y a 44 minutes, Ferris a dit : Effrayant finalement. Sous le masque, c'est la promotion de petites structures tout-terrain à l'offre faible et gérées par des bénévoles, des dépôts nomades non gérés ( dans les laveries laveries, bars, maisons de quartiers, accueil d’hôpitaux, piscines, pharmacies, etc.). Et le couperet est net : Autant dire qu'il ne faut pas s'attendre à trouver chez lui un promoteur de l'idée de "loi sur les bibliothèques" qui a longtemps été appelée des vœux des professionnels. La bibliothèque doit bien plutôt s'ancrer comme un partenaire local à l'affût de toute opportunité pour promouvoir la lecture. A l’affût de toute opportunité : autrement dit, démerdez-vous. Comme d'hab finalement! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 6 juin 2017 Share Posté(e) le 6 juin 2017 Oui comme d'hab. Cette fois, nous sommes enfermés définitivement dans le bricolage, les étagères dans les cabines téléphoniques, mon journal dans la laverie, mon roman à la piscine, ma bd à la pharmacie, mon panier de contes dans la cité, venez lire à la braderie, et autres niaiseries médiatiques. Statut nouveau : partenaire ! Nous n'existons plus par nous-même ou nos contenus propres mais essentiellement par nos partenaires et les contenus qu'ils acceptent, centre sociaux, commerces etc...La bibliothèque va devenir une simple pile de plus à côté des des piles de revues chez la coiffeuse. Si l coiffeuse veut bien. Le carrosse éphémère se transforme en citrouille permanente. Y a plus qu'à faire les marchés... Et surtout, c'est un boulevard qui s'ouvre pour les fanatiques du tout-animation, pour qui la promotion de la lecture passe essentiellement par là et de plus en plus. Bling bling , la lecture n'est plus un produit vendeur ? On va vous vendre la promotion de la lecture, c'est tout de même autre chose ! Et à côté de ça, pour donner le change, des petits relais misérables de 3000 bouquins qu'on saura nous présenter comme les garants de l'équité des territoires en matière de lecture publique. Cette fois on touche le fond. Affût : endroit où l’on se poste pour attendre le gibier. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Louve Posté(e) le 6 juin 2017 Share Posté(e) le 6 juin 2017 @Ferris Des livres de la bib dans la salle d'attente de la PMI, de celle d'un toubib, chez la coiffeuse, je ne suis pas contre! J'ai déjà testé et ça nous a fait connaître auprès de certains. Donc je ne serai pas aussi dure que toi! Ce qui me chiffonne c'est que dans le cas d'espèce, on considère que c'est suffisant alors que non, ce genre de propositions c'est un plus, dans certains territoires, après y avoir réfléchi... Quant aux partenaires... Il y en a certains, j'ai laissé tomber. Ceux qui ne voient pas l'intérêt d'un atelier slam, d'un atelier d'écriture avec des mômes, qui me disent "bin oui mais nous on a prévu pêche, shopping au centre commercial, alors ton atelier, bof" je ne cherche plus. Pas le temps, ni l'envie de les tirer. Je passe par la bande.. et j'envoie les photos, je montre que si, si , si ça fonctionne. Je reste persuadée qu'il nous faut être ambitieux dans nos propositions, et l'ambition ne demande pas toujours des subsides conséquents mais elle doit être pensée l'ambition, assumée, dite, défendue. Là, le bât blesse, parce que de l'ambition, je n'en vois pas beaucoup... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 7 juin 2017 Share Posté(e) le 7 juin 2017 Ma bonne Louve est chiffonnée. Car " dans le cas d'espèce, on considère que c'est suffisant alors que non, ce genre de propositions c'est un plus, dans certains territoires, après y avoir réfléchi...Elle a raison. Déchiffonnons-là prestement. Le plus gênant c'est qu'il met ces actions ponctuelles et ces partenariats au dessus ou comme socle d'une action de lecture publique. Ces mots contre les bibliothèques conçues comme des "forts" sont très violents, si on y songe. Que deviennent nos temples ? Inutiles ? Et ta propre démonstration du partenaire qui met au même niveau pêche, shopping et atelier d'écriture, renforce bien cette idée que cette attitude "d’affût" sur des partenaires tous azimuts ne peut pas constituer un projet de service. Moi j'avais un ALSH qui choisissait entre activité équestre et bibliothèque... Il se cite lui-même à ce propos : "Et de citer son rôle dans la mise en place d'une action sur la lecture en marge de l'événement populaire du départ de la Transat J. Vabre à l'automne 2015." Tout est donc bon à prendre, c'est ce qu'il nous dit en substance. Tout est potentiellement promotionnel. Et si ça ne marche pas ici, ça marchera ailleurs. Et pourtant, ce n'est pas en s'accrochant comme un morpion aux couilles de la Transat ou à l'élection de Miss Boudin blanc, qu'on fera de la lecture publique. On fera du bruit, une photo dans la presse locale et, à l'occasion, on espère qu' un passant qui passe découvrira qu'il existe des bibliothèques depuis 20 ans dans sa commune ! Et qui a mis ces belles idées dans la tête de nos élus ? Nous ! Cela fait trente ans que l'on fait croire aux édiles que les animations (autour du livre au début puis n'importe quoi maintenant) et les mises en partenariat systématiques (faites n'importe quoi mais faites-le en partenariat avec n'importe qui) constituaient l'essentiel d'une dynamique de lecture publique et ramenaient obligatoirement du monde ! Et pour pas cher, évidemment. Pour pas cher, vraiment ? N'oublions pas qu'il n'est que rarement comptabilisé le temps passé à organiser et à s'investir dans ce type d'actions, or le temps-agent c'est de l'argent (et accessoirement du temps en moins passé à accueillir le public dans les "forts" ne l'oublions pas : on ne peut être à la fois au four et au moulin). On évalue régulièrement le nombre d’animations, et éventuellement le budget qui y est consacré. Mais il est rare que l’on évalue les résultats, l’impact de ces actions, ce qui n'est pas normal. Se reporter à http://adbdp.web03.b2f-concept.net/IMG/pdf_Evaluerlactiviteenbibliotheque.pdf “ La performance exprime le rapport entre le résultat obtenu et l’effort déployé pour le réaliser. La performance s’apprécie également en comparant le résultat d’un indicateur avec une cible, une norme ou encore avec les résultats enregistrés par d’autres organisations pour le même indicateur. ”, (c’est à dire par benchmarking ou étalonnage (Ministère des Affaires municipales et des Régions (MAMR) du Québec. ) Tout cela est de plus passablement contradictoire avec le fait de vouloir booster les heures d'ouverture des "forts". Quel intérêt si l'essentiel se passe au bar du coin (tiens j'avais oublié les partenaires-bars, il les cite pourtant... ) . Et n'oublions pas d'évaluer nos pratiques...et celles de nos partenaires. " Que mesure-t ’on ? L’activité d ’un établissement ou la pratique de la lecture ? Les bibliothèques ne sont pas les seules à stimuler la lecture publique. Une évaluation ne doit pas se tromper d ’objet. ” (Dominique Arot, La gazette des communes). Si la pratique de lecture au bar du coin ou chez la coiffeuse, érigés en partenaires quasi-institutionnels, sont satisfaisants dans le temps long, une fois évalués, effectivement, nous pourrions changer d'optique. Qu'on me démontre que ces actions d'animation, d'entrisme ou de "présentéisme forcené" ont amené des lecteurs à s'inscrire dans une bibliothèque et s'y fidéliser, ou a développer une pratique de lecture, fût ce dans une laverie, et je reverrais ma position. Quand on voit le nombre de points nomades du Havre, il est sans doute fort possible d'en retirer une statistique quantitativement positive, mais qu'en serait-il ailleurs ? http://lireauhavre.fr/sites/default/files/publication/matrice_liste_depositaire.pdf Donc, et surtout, que tous ces propos soient revus à l'aune des conditions locales, car Le Havre n'est pas la France. On peut d'ailleurs saluer au passage la gratuité, le portage à domicile, le wifi partout, la possibilité de photocopier sur tout le Réseau, et d'autres pratiques autrefois novatrices et aujourd'hui classiques qui n'ont jamais fait problème, sauf financier éventuellement, et sont du service public élargi en action sociale locale. Cela fait consensus depuis longtemps. Mais, une grande part des 15.000 bibliothèques ou points de lecture publics ne sont pas recensés dans les statistiques nationales. Par conséquent, le nombre d ’inscrits des bibliothèques publiques françaises est sous-estimé d ’au moins un tiers. (chiffre ADBDP 2008). Et il y en a assez de ces technocrates qui, en matière d'horaires nous balancent à la tronche les horaires de Copenhague comme le Saint-Graal. Il pourrait bien se passer la même chose pour les animations hors les murs et les partenariats. Cessons de porter au pinacle l'évènementiel et de devaloriser le service public permanent rendu dans les "forts"(pléonasme car le service public se définit par sa continuité...) Enfin, comme tu le dis si bien en substance, ma louve enfin repassée au fer à vapeur, ayons des ambitions ambitieuses, pesées et mesurées, au lieu de répéter les mêmes schémas annuels comme la moule qui adhère à son rocher favori. Ne lançons pas nos filets dans des eaux sans poissons. Hameçonner le chaland qui passe pour lui proposer le énième atelier tricot, dernier produit-mode sorti de nos ateliers "En marche vers le Troisieme lieu, on fournit les pelotes", non, on a surement mieux à faire.... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Isalabib Posté(e) le 7 juin 2017 Share Posté(e) le 7 juin 2017 Le 31/05/2017 à 16:46, Rattigan Glumphoboo a dit : Les candidats aux élections législatives appelés à défendre les bibliothèques par un collectif d’associations, d’acteurs culturels et d’universitaires. Voir l'article complet Est-ce normal que la carte interactive ne soit pas accessible ? (la page s'ouvre et charge, charge, charge... mais ne s'affiche jamais) C'est un peu frustrant Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marcel Posté(e) le 7 juin 2017 Share Posté(e) le 7 juin 2017 (modifié) La carte interactive est parfaitement accessible . Un problème chez toi Isalabib ? Modifié le 7 juin 2017 par Marcel Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Isalabib Posté(e) le 7 juin 2017 Share Posté(e) le 7 juin 2017 (modifié) Cher Marcel, voilà une question que je me pose de plus en plus souvent, y a-t-il un problème chez moi ?!? J'ai un pb avec Mozilla, IE, Chrome etc. ... mais je ne désespère pas ! Merci pour ton attention à mes pb !! En attendant de pouvoir voir cette carte, j'ai parcouru la page de la pétition Intéressant de lire les commentaires des signataires, qui croisent la discussion ci-dessus sur l'article de Poissenot sur E. Philippe et les bibliothèques. Un kaléidoscope de ce que représentent les bibliothèques pour des gens qui ne sont pas tous de la profession, pour une fois. Pêle-mêle quelques cris d'amour aux bibliothèques (ça fait du bien !) et des cris de guerre aussi... : "Les bibliothèques sont les temples de la Culture et participent à l’émancipation de tous dans la cadre de l'éducation populaire." "Je crois que la culture est un fondement du vivre ensemble " "Je souhaite que les médiathèques restent des lieux de Culture et ne deviennent pas des parcs de jeux et de divertissement." "Les bibliothèques peuvent prendre toutes les formes, tous les lieux partagés. Mais oui le maillage culturel est essentiel." "j'adore lire et les bibliothèques comblent mes désirs" mais aussi "Une bibliothèque pour moî c'est aussi important qu'une épicerie , j'ai commencé à m'y rendre des 10 ans , j'en ai 65 ....bien sûr j'y ai inscrit mes petits enfants ..." "Essentiel autant que les bistrots !!!!" "Parce que OUI." "Je suis un super bibliothécaire" "évident, non?" (signé Claude Ponti) "La culture, c'est pour tout le monde ! (même pour Donald Trump)" "Les bibliothèques sont aussi des Z.A.D !!" Épicerie, Temple de la culture, bistrot, Zone à défendre, à chacun sa raison de signer !! Modifié le 7 juin 2017 par Isalabib Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ferris Posté(e) le 7 juin 2017 Share Posté(e) le 7 juin 2017 A la retraite, j'hésite entre ouvrir un bistrot et une épicerie. Dans les deux cas je continuerai à être bibliothécaire. C'est chouette. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Louve Posté(e) le 13 juin 2017 Share Posté(e) le 13 juin 2017 le nouveau Bibliothèque(s) est arrivé! 2 articles qui r(é/ai)sonnent vraiment: Lire au Havre, la lecture et les bibliothèques , par Edouard Philippe Neutralité en bibliothèque? par Lionel Maurel et Dominique Lahary Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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