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Bibliothèque et développement durable


Amandine Jacquet

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Amandine Jacquet

Bonjour,
Je suis en train de créer une formation sur "les bibliothèques et le développement durable". Je souhaite aborder le sujet sous différents angles comme les bâtiments, les animations, les bonnes pratiques, le projet d'établissement, etc.

Je voudrais aussi mettre en avant des projets imaginés et/ou menés conjointement par des bibliothécaires et des usagers pour faire de la bibliothèque un lieu durable. Ces projets  pourraient montrer comment il est possible pour les bibliothèques d'aider à construire une société plus durable en supportant l'économie locale (par exemple, un cas de collaboration entre une bibliothèque et une AMAP).

 

Je cherche donc des exemples concrets à utiliser dans ma formation afin de montrer que le développement durable et la bibliothèque sont compatibles.

Idéalement, je recherche des exemples comme la bibliothèque de Vallila (Helsinki, Finlande) : le bâtiment est écologique, mais surtout ses bibliothécaires se sont engagés dans une démarche durable. Ainsi ils offrent un service très innovant à leurs usagers : ceux-ci peuvent prêter leurs affaires via la bibliothèque. Imaginons que vous avez une paire de ski dont vous savez que vous ne l'utiliserez pas durant le mois de janvier. Vous pouvez en informer la bibliothèque et la paire de ski pourra être prêtée à un autre iusager qui en fera la demande. La bibliothèque se contente de mettre en contact les usagers. Elle ne gère pas le prêt.

 

Voici le genre d'expérience que je recherche. Je serais très heureuse de recevoir vos informations à ce sujet. Bien sûr avec des photos, ce serait encore mieux !

 

Je pourrais bien sûr faire une synthèse à publier ici.

Merci beaucoup pour votre aide !


Amandine Jacquet

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David Declercq

Bonjour Amandine ! 


 


Le groupe ABF Nord Pas de Calais a programmé en septembre 2010 une journée d'étude sur "les bibliothèques et le développement durable"


 


C'est notre vice-présidente Christel Duchemann qui avait piloté la journée et est surement prête à donner plus de détails, son mail est ici si besoin...bon courage !  :wink:


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Amandine Jacquet

Bonjour Amandine ! 

 

Le groupe ABF Nord Pas de Calais a programmé en septembre 2010 une journée d'étude sur "les bibliothèques et le développement durable"

 

C'est notre vice-présidente Christel Duchemann qui avait piloté la journée et est surement prête à donner plus de détails, son mail est ici si besoin...bon courage !  :wink:

Bonjour,

merci pour votre réponse ! J'avais  bien repéré votre journée d'étude de 2010 et j'avais vu l'intervention de Christel Duchemann à l'IFLA en 2009 dans le cadre du SIB "Environmental Sustainability and Libraries".

C'est une bonne idée de la contacter ! merci !

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Nous avons un projet de bib pour 2014 dans le réseau, qui accueillera le fonds documentaire du Parc naturel régional de notre région, et sera centre ressource pour tout ce qui est éco-construction. J'espère que ce sera prétexte à développer des actions d'information, de sensibilisation et de valorisation sur une thématique développement durable en général.


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En matière de développement durable, je voudrais parler de la possibilité d'accéder à vélo aux médiathèques, et de la possibilité d'y garer son vélo dans de bonnes conditions en étant certain de le retrouver à la sortie. Ici, à St Jean de Védas, de nombreux enfants se sont fait voler leur véloau ratelier qui se trouve devant la médiathèque.


En cas de construction nouvelle ou de réhabilitation, il faudrait que les cahiers des charges prennent en compte un parking sécurisé !


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En matière de développement durable, je voudrais parler de la possibilité d'accéder à vélo aux médiathèques, et de la possibilité d'y garer son vélo dans de bonnes conditions en étant certain de le retrouver à la sortie. Ici, à St Jean de Védas, de nombreux enfants se sont fait voler leur véloau ratelier qui se trouve devant la médiathèque.

En cas de construction nouvelle ou de réhabilitation, il faudrait que les cahiers des charges prennent en compte un parking sécurisé !

Chez nous, on prête... des antivols pour les vélos ! même aux non inscrits

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  • 2 months later...

La BM Centre Ville de Grenoble organise un jardin hors sol (bio je crois) pendant la période estivale.


La BU Droit-Lettres du campus de grenoble a cédé sa pelouse aux étudiants pour en faire un potager bio-collaboratif-AMAP.


Très bonne idée le prêt d'antivols :) Je trouve également qu'en période de pointe on manque de rateliers (j'ignorais que ça s'appelait comme ça, c'est plutot rogolo comme nom!) devant les bibliothèques, on est souvent contents de trouver des grilles de chantier à proximité...


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Anne Verneuil

on a des râteliers aussi, qui servent également à certaines personnes qui s'assoient dessus (pas de bancs à proximité). J'avais vu de jolis modèles aux Pays-Bas, mais l'architecte a mis les siens d'office. Au moins, on en a !


et comme on est juste à côté de l'arrêt de tramway et de bus, on espère qu'un maximum d'usagers viennent en transports en commun...


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  • 1 month later...

Duplication de messages venus d'un autre topic et qui traitent d'un même sujet :


 




Brel, one point ! J'aimerais voir ta tête si je t'offrais un paquet de chamallows :tongue:


 


 


On offre rarement un livre de poche, ça fait plutôt mesquin, non? :ermm:


 


 


 


Merci d'avoir involontairement lancé ce débat sur...notre impact écologique. Il parait certain que l'empreinte carbone d'un livre est  inférieure à celle d'un bouquet de fleurs de serre hollandaise, ne serait-ce que par le transport. Mais il ne s'agit que d'équivalent CO2. Par contre si l'on y ajoute les polluants spécifiques du traitement chimique du papier,dont le chlore, le  pelliculage, carton, colle industrielle à chaud, les machines, l'energie des rotatives, les encres, la typo, et le transport des livres etc...je pense que le livre vient très largement en tête sur un plan écologique global (déforestation, pollutions, recyclage). Il faut bien reconnaître que le livre est une véritable catastrophe. On peut s'attarder sur le sujet parce qu'il en vaut la peine. Après tout c'est de notre métier qu'il s'agit. :cry:


 


Le problème, c'est que le livre numérique est pire.


"Selon les calculs, l’impact d’un lecteur ebook serait celui de 40 à 50 livres papier, uniquement si l’on parle de consommation énergétique, de combustibles fossiles et d’eau nécessaires à sa création. Pour ce qui est du réchauffement climatique, un livre électronique vaudrait le dégagement de 100 livres papier. Et pour les conséquences sur la santé, on serait entre 50 et 100 livres papier pour un ebook." (voir sur http://editionnumerique.wordpress.com/2010/05/26/livre-electronique-ou-livre-papier-qui-est-le-plus-ecologique/


Il semblerait que la solution soit dans l'amélioration du recyclage, des deux côtés. Pour l'instant on considère qu'il faut 15 ans pour amortir coût écologique d'un ebook. Or dans ce recyclage, en amont, nous avons un rôle : "Enfin, il importe de maintenir l’activité de prêt des ouvrages papier par des bibliothèques et de soutenir le réemploi des livres (bouquinistes, Emmaüs…)" (ibidem)


Le problème c'est qu'avec la plastification en bibliothèque, nous aggravons le problème. :cry: 


 


Donc offrons des fleurs françaises. Ou du Kenya. Il parait que la rose du Kenya a deux fois moins d'empreinte carbone que la rose hollandaise, à cause du climat. Et supprimons la Saint-Valentin, c'est là qu'a lieu le plus gros du massacre. Et les prix littéraires aussi, tant qu'à faire.


 


Ou allons les piquer dans le jardin du voisin. :D


 


Bon, et la NBI dans tout ça, me direz-vous, elle progresse ? Eh bien, on pourrait offrir une prime écologique aux bibliothèques qui ne plastifient pas, qui font du crossbooking couramment, qui font des ventes symboliques ou donations d'ouvrages désherbés etc...Une prime d'incitation au comportement durable en bibliothèque. L'ABF doit prendre position la-dessus de façon forte.Et subversive de préférence, bien entendu. :D




 


 




Touché, suis pas une grande fana de guimauve, ce truc tout mou, bof...



 



Je serais plutôt tendance chocolat, moi  :drool:   :drool:   :drool:   :drool:   


(et pas belge comme le grand Jacques, suisse c'est mieux. Je sais : j'ai des goûts de luxe !!!)


 


Mais y aura-t-il encore des ebook dans 15 ans ? ou qq chose de pire encore en termes d'impact écologique ?


 


Des efforts sont faits dans la construction de nouveaux bâtiments, ex. : la bibliothèque du Boisé (Canada)


"Une bibliothèque écologique


Les visiteurs ont pu faire le tour de la bâtisse verte en compagnie des architectes, qui étaient présent afin de répondre aux questions. La visite était d'ailleurs axée sur l'architecture du bâtiment.


Afin d'obtenir cette certification, l'arrondissement de Saint-Laurent n'a lésiné sur aucun détail. «L'environnement est au cœur de nos préoccupations, nous a confié Alan DeSousa, maire de l'arrondissement Saint-Laurent. Cela fait partie de nos valeurs. Moi-même, je fais des efforts au quotidien pour préserver l'environnement.»


La nouvelle construction aura notamment quatre cases de stationnement réservée aux véhicules électriques, sera munie d'une toiture élastomère blanche et d'une toiture végétalisée qui réduira l'effet d'îlot de chaleur. La réduction de la consommation d'énergie sera de plus de 60%. Un système de géothermie comblera la totalité des besoins de climatisation et presque la totalité des besoins de chauffage. De plus, l'entretien ménager de la bibliothèque sera effectué avec des produits écologiques"


http://www.nouvellessaint-laurent.com/Societe/Vie-de-quartier/2013-05-09/article-3242131/La-Bibliotheque-du-Boise-ouvre-ses-portes/1


 


4 places de parking et un toit en herbe, est-ce suffisant pour se proclamer "écologique" ?... parce qu'à te lire Ferris, la "bibliothèque écologique", c'est un oxymore...


 


PS : je m'en vais dupliquer ce message dans la rubrique consacrée au développement durable en bibliothèque.



Modifié par Isalabib
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Bravo et merci pour la duplication.


 


C'est vrai que c'est un oxymore. Une autre façon de dire un non-sens. Et c'est assez triste. Certes, on nous parle de bâtiments, d'accessibilité etc...donc du contenant mais pas du contenu. Et il faut bien reconnaître que notre civilisation de l'écrit, depuis l'imprimerie du moins, puis la démocratisation du livre (le livre de poche notamment) est passée technologiquement à une aberration environnementale. Rien que sur la déforestation et l'eau, on a tout faux, sans mème chercher plus loin.


 


Et le pire c'est que les deux problèmes (ebook et papier) se rejoignent, notamment sur la déforestation.les materiaux necessaires à ces produits nouveaux impliquent l'exploitation de terres rares, comme on dit, comme le coltan, le lithium etc...pour accroître la durée de vie des batteries, augmenter les vitesses et les puissances ou pousser la miniaturisation  Comme les telephones portables dailleurs.. Or l’exploitation minière est une cause majeure de déforestation. Sans parler de l'obsolescence programmée de ces engins, alors qu'un livre dure très longtemps.


 


Donc des deux côtés on va continuer à abattre des arbres. Avec la bonne conscience d'un recyclage futur qui serait vraiment operationnel. Pour l'instant de ce côté là on est dans le symbolique. :no:


 


Et pourtant, si l'on en croit http://www.planetoscope.com/papier/338-arbres-coupes-pour-produire-du-papier-hygienique.html :


 


"l'industrie du papier représente la troisième source la plus importante de gaz a effet de serre . Si trois fois plus de livres étaient imprimés sur du papier recyclé, les émissions de gaz à effet de serre de cette industrie pourraient être divisées par deux !"


 


Le problème c'est qu'il n'y a pas que le livre : "3,2 arbres sont abattus chaque seconde dans le monde pour fabriquer du papier toilettes, soit près de 99 millions d'arbres." . Fondamental en bibliothèques, le PQ. :angry:


Modifié par Ferris
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Certes, mais attention à la formulation : on est bien d'accord que c'est le coût de fabrication des liseuses, et non celui des livres numériques, qui est en cause (la fabrication d'un livre numérique a un coût écologique elle aussi, mais bien moindre que celle d'un livre papier).

 

L'article indique qu'il faudrait lire 240 livres en 3 ans sur sa liseuse pour amortir l'impact écologique de sa création. Or je pense que la majorité des personnes qui achètent des liseuses sont des gros lecteurs avant d'être des adeptes des nouvelles technologies - on le voit en bib où les seniors grands lecteurs se montrent très intéressés par la praticité du support.

Ce sont donc des personnes qui "amortissent" écologiquement leur liseuse, soit parce qu'ils lisent beaucoup, soit parce qu'ils gardent leur liseuse plus longtemps que les 3 années évoquées plus haut.

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Bonjour,


 


Vous trouverez ici le compte-rendu d'une journée d'étude de 2010 organisée par l'AbF Rhône-Alpes : La bibliothèque verte.


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Merci pour le lien. Interessant mais l'essentiel porte sur les bâtiments, la consommation energétique etc...choses évidentes mais sur lesquelles nous avons hélas peu de prise en tant qu'utilisateur des locaux, à part le chauffage (et le fait d'éteindre tous les ordis chaque soir et non pas mise en veille) Par contre je retiens les propos de Catherine Herbetz, directrice de la Médiathèque de La Ricamarie (42), qui rejoint certains points évoqués plus haut :


 


"Réflexion à mener au niveau des documents :


Les documents ne sont-ils pas surprotégés (plastifiés) et sursignalisés ?


Faut-il remplir les rayonnages ?


Donner/ vendre plutôt que jeter


Ne pas donner de sacs plastiques


Trier


Porter une attention au chauffage, aux ampoules, aux produits de nettoyage


Plantes dépolluantes


Proposer un fonds documentaire sur ce thème


et au niveau des marchés : possibilité d’intégrer un « coût global pour la planète »"


 


Sur ce dernier point il me semble que certaines bibliothèques ont fait des demandes qui ont été prises en compte par les fournisseurs. Presque tous les fournisseurs de films et etiquettes proposent maintenant des gammes de films en polypropylène (plus écolo que les gammes PVC et le polyester, parce que sans chlore ni solvants). Du coup certains ateliers de reliure proposent aussi ce choix dans leur prestation "plastification". Il est donc possible d'intégrer ce critère dans nos marchés. (Evidemment c'est peu par rapport à la notion de "coût global pour la planète", mais c'est un début.)


Pour les sacs, nous donnons des sacs en toile de jute (au compte-goutte) que les gens conservent davantage qu'un sac plastique.


 


Pour les plantes dépolluantes je suis un peu sceptique, l'ADEME considérant que c'est une arnaque. Autrement dit, l’aération  et la ventilation restent bien plus efficaces que l’épuration par les plantes. http://www.neo-planete.com/2011/09/13/les-plantes-depolluantes-une-arnaque/


 


Avec les bibs "Troisieme lieu", les bibs vont surement changer d'ère mais ne sont pas prêtes de changer d'air (ouaf, ouaf, plus nul je peux pas...) :hyper: 


Modifié par Ferris
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  • 2 weeks later...

Bonjour Amandine ! 

 

Le groupe ABF Nord Pas de Calais a programmé en septembre 2010 une journée d'étude sur "les bibliothèques et le développement durable"

 

C'est notre vice-présidente Christel Duchemann qui avait piloté la journée et est surement prête à donner plus de détails, son mail est ici si besoin...bon courage !  :wink:

Un Mediatheme est en cours de rédaction qui s'intitulera "bibliothèques et développement durable", parution en 2014, coordonné par Christel Duchemann et Laurent Lemaitre justement, qui avaient monté cette JE.

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  • 5 months later...

Une autre initiative verte possible en bibliothèque :


http://scinfolex.com/2013/12/18/proposer-des-grainotheques-en-bibliotheque-pour-favoriser-le-partage-des-semences-libres/


 


Lisez l'article en entier, y'a rien à jeter.


Et n'oubliez pas de manger au moins 5 fruits et légumes aujourd'hui (de saison, c'est mieux...).


:flowers:


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  • 3 months later...

Bonjour,


 


je relance le sujet car j'aimerais bien faire bouger les choses dans ma bib dans le domaine du développement durable. Avec une collègue, nous avons recensé pas mal d'idées (notamment en piquant des choses dans les divers posts de ce sujet !), mais pour l'instant rien de concret ne voit le jour. Je voulais donc savoir comment ça se passait chez vous : les initiatives viennent-elles de l'équipe ? de la direction ? des élus ? Quels partenariats avec les autres services de la collectivité (espaces verts, urbanisme, que sais-je encore) ? ou avec d'autres structures (associations, maison de quartier, écoles, AMAP....) ? Bref, je suis curieuse de savoir si les choses avancent dans les bibs de France et de Navarre.


Question subsidiaire : quelqu'un a-t-il mis en place une grainothèque (cf post d'Isalabib ci-dessus) ? J'avoue que ça me fait rêver...


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  • 1 month later...

Fanch l'air de rien lance une idée de partenariat avec les services techniques/espaces verts :


 




C'est le printemps, on a parfois presque des espérances estivales (chez nous, 3 jours à +15°C sans pluie, c'est l'été...), et nos charmantes communes bucoliques mettent les bouchées doubles pour s'embellir et se parer de mille couleurs...


Les agents des services techniques et des espaces verts bravent la chaleur (ou les giboulées) pour remettre les parterres à neuf, sacrifiant ainsi une multitudes de plants qui ne verront même pas le mois de juillet ou l'abeille butineuse (s'il en reste). Tous ces plants partent à la benne, en même temps que le pilon de la bibliothèque...


C'est pourquoi il me semblerait intéressant de mettre en place une collaboration entre services, une grande braderie du livre et du jardinage.


On pourrait ainsi proposer au public curieux et amateur de lecture au jardin des lots mixtes: une caissette de 6 plants+un livre.


Ex:


6 pensées bicolores et le dernier livre de Roselyne Bachelot


ou, pour les gros lecteurs:


une caisse de soucis et le fonds consacré à l'histoire de l'union européenne...


 


D'autres exemples?


Bon désherbage!




et avec les chrysanthèmes de la Toussaint, moi je mettrais "Petits suicides entre amis". Sauf que celui-là si je le pilonne, je suis obligée de le racheter !!! :wink:

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En attendant la legislation a évolué et l'utilisation des semences libres que tu préconisais en decembre est interdite;http://lejournaldusiecle.com/2013/05/09/la-commission-europeenne-veut-criminaliser-lutilisation-de-semences-non-enregistrees/


Une nouvelle loi proposée par la Commission européenne veut rendre illégal le fait de faire pousser, de reproduire ou de vendre des semences de végétaux qui n’ont pas été testées, approuvées et acceptées par une nouvelle autorité, l’Agence européenne des variétés végétales. Les jardiniers qui cultivent leurs propres plantes à partir de graines non réglementées seront considérés comme des criminels en vertu de cette loi.


 


D'autres interprétations du texte (en anglaishttp://www.lotnature.fr/spip.php?article922 ) disent que : La proposition n’a pas de conséquences directes pour les jardiniers privés, car elle concerne uniquement la production et la commercialisation de matériels de reproduction végétatives. Donc par exemple, les trocs de graines restent possibles. Note : pour bien comprendre ce texte, il faut bien réaliser que les semences s’appellent désormais dans ce langage technocrate ‘matériels de reproduction végétatives.

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  • 2 years later...

Bonjour à tous !

Je relance ce topic un peu ancien mais terriblement d'actualité !

 

Je me présente, Léa, je suis étudiante en DUT AS Métiers du livre, option bibliothèques à l’IUT Bordeaux-Montaigne. J’écris actuellement un mémoire sur les « médiathèques à l’heure du développement durable ». 

 

J'ai mis en place un petit questionnaire pour découvrir les médiathèques qui organisent des actions en faveur du développement durable (les projets et les limites qu'elles rencontrent). Même si vous ne vous sentez pas concerné par la problématique, votre avis m'intéresse !

 

Il est un peu long (8 min.) mais si vous avez des questions ou des remarques, n’hésitez pas écrire sur le forum (ou à me contacter par email sur chappat.lea@gmail.com).

 

Je donne mon avis ! Débuter le questionnaire.

 

Merci à tous pour vos réponses !

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