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Les pires livres de l'histoire de l'édition


C.RIVES

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Invité Islampunk

Dis Ferris,


 


tu dois pas beaucoup dormir (4H20 pour modifier ton mail), tu vis sur ton ulcère (un peu comme moi) ?


Au fait pour paraphraser un collègue : "le fait de lire n'est pas sacré"... celui d'aller aux toilettes non plus.


 


 


Tartifougni-les-grevettes :


 


http://fr.wikipedia.org/wiki/http:/Tartifougni-les-grevettes


 


Commune gauloise et franchouillarde de moins de 10 000 habitants et dont le maire Georges Cémoileboss a été élu avec un score de dictateur, vingt ans durant. Epaulé par son équipe municipal (équipe qui est à la politique ce que le livre est aux toilettes), il fait construire une médiathèque pour faire comme les autres sans se soucier de son rôle, à l'époque béni du pognon qui tombe des fenêtres, notamment pour le fameux 1% culturel dédié à la création artistico-flou d'un filou bidouillard.


 


Une inauguration en grande pompe (oui le maire chausse du 57), avec les personnalités locales et les petits fours (l'ordre ici importe peu), ont montré les liens solides qui unissent la municipalité et la culture pardon la propagande. Après le discours historique sur le lieu qui accueillit pèle-mêle gendarmes, nonnes et nazis, par le fils du collabo notoire, la médiathèque put enfin ouvrir ses portes aux habitants dont le gentillé est : Tarfigouiens et Trafouigniennes.


 


Forte de sa situation centrale au coeur même du pays des Grevettes (espèces locales encore trop souvent confondus avec le crustacé dont il a la même odeur), pays de 1300 m², bassin fortement paupérisé et dénué d'intérêt, la médiathèque continue sa survie en mileu hostile et reçoit en 2012 le prix Walking Dead dans la catgéorie "Survivre en milieu rurbain". 


 


Avec une pluviométrie moyenne, un relief mou, des pseudos légendes qui alimentent auteurs, éditeurs et communiquants, Tartifougni-les-grevettes , ville qui préside la Communauté de Commune possède 133 terrains de foot, 1 400 boulistes et près de 6000 alcoolo-dépendants (etc.).


 


Tu situes mieux maintenant ?

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Invité Islampunk

Sophiste ! :twitch:


 


Non lire n'est pas une nécessité, c'est oublier un peu vite les sociétés basées sur l'oralité; les civilisations du livre sont certes celles qui se sont imposées dans le monde, mais leurs valeurs non sont pas intrinsèquement "bonnes"...


 


c'est la même société du livre qui induit la destruction des autres, des non-conformes aux canons des lois.... un livre dans la main, le goupillon dans l'autre et surtout une armée d'intolérants armés de sabre (selon l'époque) ou du dernier lance-missile (avec plan i-kéa fourni), avec oui mesdames, la plume dans le c... (jamais compris le fantasme de l'uniforme).


 


gros bisous à toi Ferris (si tu veux je te l'offre le fameux livre plus haut).

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Invité Islampunk

Es-tu sûr que la guerre était plus fréquente autrefois au temps de Néanderthal et même avant ou du moins jusqu'à l'apparition de l'écriture... je n'en suis pas persuadé.


 


Je ne vois vraiment pas en quoi l'oralité est plus porteuse de conflit que l'écrit. Je crois que tu oublies (et donc c'est pas ta faute, je rigole) que le texte lorsqu'il est écrit, porte un sens et que ce dernier est soit utilitaire (genre : vous m'avez bien compris, lois, décrets, codification, normalisation), soit à l'inverse le produit d'un sentiment dans quel cas celui qui écrit tente de convaincre de la beauté d'une chose, d'une idée (discours, poésie....). Dans tous les cas, il est le fruit d'une idée qui tcomme outes les idées tentent de s'imposer aux autres ou à des idées contraires. Dans ce cas lorsque le texte n'est plus suffisant, ni l'oralité alors il y a conflit et guerre.


 


Il y a aussi l'idée d'interprétation. La langue français fourmille de sens et de contresens autour d'un même terme. Certains langues sont au contraire construites sur une logique insistant sur le phénomène marquant, dans ce cas l'oralité et l'écrit traduisent un sens compréhensible par tous.


 


Maintenant un petit lien sur le même sujet :


 


http://www.dailymotion.com/video/x2v8ts_il-etait-une-fois-la-revolution_news


 


bon gros bises


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Invité Islampunk

2 470 000 résultat pour la recherche associée à malentendu diplomatique... cela en dit long, il me semble, sans compter les erreurs de lecture dans le cadre militaire... combien furent rasés par les tirs de leur propre artillerie ? C'est donc possible parce que l'homme n'est pas infaillible et que la réalité d'un mot pour une personne n'engage pas le même sens pour un tiers.


 


Le dictionnaire regroupe sous ce que je désigne comme utilitaire, il impose donc un certains nombres d'idée comme une réalité tangible. Exp : La ville de X, est la sous-préfecture de Y région comptant 10 habitants. L'objectif ici est clairement d'imposer l'idée de la constitution d'un état organisé et hiérarchisé, minimisant le poids de ladite ville/région par rapport à un ensemble (La France). On trouvera également dans les noms propres, un tel, héros national... vaste sujet quand on se souvient de la querelle sur les fondateurs de la France : Gaulois ou Francs ?


Autre exemple en lien avec sacré : les Grecs anciens possédaient l'écrit et pourtant peut-on retrouver avec exactitude la transcription d'une pythie ou d'une sybille ? Plutarque apporte son savoir mais est-ce pour autant une source sûre ? Je ne peux pas te répondre mais je crains que non...


 


Je promets de ne plus venir tagger chez toi.

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Invité Islampunk

Je n'ai jamais dit que le dico servait seulement à la description d'un lieu... j'ai dit utilitaire et les concepts dont tu parles sont utilitaires, ils servent à mieux appréhender le monde. Néanmoins, je persiste à écrire qu'oral ou écrit, un mot, une action, une pensée, n'est pas la même chose pour deux individus distincts.


Un exemple au hasard : définir la gauche par opposition à la droite, tout le monde est d'accord mais si deux personnes sont en face l'une de l'autre la gauche et la droite ne se retrouvent pas au même endroit !


 


Sur la France, il faut bien qu'une entité (une ou plusieurs plusieurs personnes) soit créatrice du mot et du concept. Donc on en revient au premier point, un mot, un idée n'est ni dans l'écrit ni dans l'oralité perçus de la même manière. La preuve pour toi y'a person'.


 


Enfin, j'ai décidé de ne plus tagger ton mur mais de creuser ton jardin pour y trouver les traces de la fondation de la France ! :tongue:


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