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Éditeur d'un magazine, comment accéder aux marchés publics d'abonnement ?


jmprival

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Bonjour,

 

Je suis un volcanologue ayant quitté le monde académique pour me lancer dans la publication d'un magazine de vulgarisation scientifique consacré aux volcans. Je vise un public de particuliers mais aussi institutionnel : médiathèques, CDI, BU... Tout naïf, je suis donc parti avec mon magazine sous le bras pour le proposer à la médiathèque de ma ville. Ils ont accepté l'exemplaire gratuit que je leur proposais (cela dit j'ignore s'il a été mis à disposition du public), mais m'ont répondu qu'ils ne pouvaient pas m'acheter un abonnement car il faut passer par "les marchés publics". Ayant travaillé à l'université, je connais un peu ce concept – si j'avais besoin d'une nouvelle gomme, il fallait forcément la commander au fournisseur ayant remporté l'appel d'offre... Mais j'avoue que je voyais mal comment ce principe de concurrence pouvait s'appliquer à des magazines : si une bibliothèque veut s'abonner à Ciel & Espace, ben... il n'y a que Ciel & Espace qui peut lui fournir ce produit, non ?

 

J'ai fait trois autres médiathèques de mon agglomération, et à chaque fois même son de cloche : on prend l'exemplaire proposé (c'est gratuit !), mais pour l'abonnement : les fameux "marchés publics". Dans la dernière structure, il y a toutefois quelqu'un qui a mentionné la possibilité de s'abonner "hors marché" ; elle ne l'a pas fait, mais au moins je sais que ça existe. (C'est aussi la seule structure qui m'a fait remplir une fiche de don en échange du magazine, ça avait l'air plus carré.) Bref, tout ça pour demander : en tant que petit éditeur indépendant d'une publication, comment puis-je toucher le marché des bibliothèques pour qu'elles puissent – si elles le souhaitent – s'abonner à mon magazine ?

 

J'ai creusé un peu la question et j'ai découvert qu'il existe des centrales d'abonnement (Prenax, France Publications, etc.). Mais j'ai aussi vu qu'elles sont assez décriées, par exemple ici-même... Ayant fait le choix de ne pas être distribué en kiosques pour ne pas dépendre de Presstalis, ça me chiffonnerait d'éviter un requin pour tomber dans les pattes d'un autre. Dois-je forcément passer par de telles centrales ? Je vois dans le sujet en lien que des bibliothécaires ont décidé de gérer leurs abonnements "à la main", comment les toucher ? D'ailleurs, mais ça mériterait peut-être un autre sujet car c'est une autre question, de communication cette fois : en tant qu'éditeur, comment faire connaître ma publication auprès des bibliothèques ? Y a-t-il une liste de diffusion, ou un bulletin, un groupe Facebook... qui regrouperait la profession, et auprès de qui il serait possible de diffuser un communiqué annonçant la parution de mon magazine ?

 

Merci d'avance pour votre accueil et votre aide, et désolé si cela semble un peu naïf, mais tout cela est nouveau pour moi !

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  • jmprival

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  • B. Majour

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Bonjour Jean-Marie

 

si une bibliothèque veut s'abonner à Ciel & Espace, ben... il n'y a que Ciel & Espace qui peut lui fournir ce produit, non ?

 

Ah, si c'était aussi simple.

Il faut déjà que le magazine accepte les paiements des collectivités (avec un certain délai d'attente, parfois long), et surtout qu'il puisse suivre les règles de facturation obligatoire de la fonction publique.

 

Genre ceci

https://www.collectivites-locales.gouv.fr/commande-publique/facturation-electronique

 

L’ordonnance n° 2014-697 du 26 juin 2014 relative au développement de la facturation électronique prévoit la généralisation de la transmission des factures des fournisseurs aux personnes publiques sous forme dématérialisée.

 

Pour les émetteurs de factures à destination du secteur public, le calendrier de mise en œuvre de cette obligation est progressif. Cette dématérialisation via Chorus pro est entrée dans sa dernière phase au 1er janvier 2020, avec l’obligation pour les micro-entreprises de transmettre leurs factures sous forme électronique.

 

Il faut passer par le portail Chorus Pro (https://communaute.chorus-pro.gouv.fr/)

Tu as les explications ici sur les obligations légales pour tout le monde.

https://www.evoportail.fr/blog/2019/11/06/micro-entreprise-2020-dematerialisation-des-factures-du-secteur-public

 

Tu as galéré avec ton logiciel de retouche d'images, tu vas beaucoup aimer une simple facturation Chorus Pro.

Avec tout ce qu'il faut remplir.

Une fois que ce sera fait, tu sauras.

 

 

on prend l'exemplaire proposé (c'est gratuit !)

 

Disons, que c'est facile !

Pas de facturation, pas de demande de validation par les tutelles (élus ou autres)

 

Si on prend ton exemplaire en bibliothèque, ça veut déjà dire qu'on peut éventuellement trouver un public pour ta revue.

C'est donc un compliment pour ce que tu proposes. La réponse est plus souvent : merci, mais ça ne rentre pas dans notre politique documentaire.

 

Sans oublier le problème du budget. Si on passe par des plateformes ou centrales d'abonnement, c'est parce que ces centrales négocient les prix des abonnements. Plus bas que le prix pour le public.

 

As-tu un abonnement spécifique pour les bibliothèques ?

Je ne l'ai pas vu sur ton site https://www.kipuka.fr/site/abonnement-kipuka/

 

Donc le budget, qui n'est pas extensible. 

Un magazine sur les volcans, qui est un magazine d'ultra-niche. Avec un niveau universitaire. (oups !)

En bibliothèque territoriale, c'est à mettre en balance avec des magazines pour enfants, des BD, des mangas. 

Le choix se résume souvent à : je prends 2 BD ou ce magazine sur les volcans. Qu'est-ce qui va sortir le mieux dans ma bibliothèque ?

Oui, on doit faire attention à la manière dont on dépense les budgets.

 

Donc, ton coeur de cible devrait plutôt être les bibliothèques universitaires, section géologie.

 

en tant qu'éditeur, comment faire connaître ma publication auprès des bibliothèques ? Y a-t-il une liste de diffusion, ou un bulletin, un groupe Facebook.

 

En l'offrant, comme tu l'as fait.

Non pas en considérant que c'est "gratuit", mais en considérant que tu fais là un investissement pub.

 

Idem pour ton site, tu devrais mettre le numéro 1 en PDF complet, pour voir combien de fois il est téléchargé.

Ce qui te permet de renvoyer les gens dessus, pour voir la qualité de ton travail de vulgarisation. Et si on en a bien pour 7 euros.

 

En ayant juste quelques extraits, tu es comme un musicien qui ne joue que quelques notes et s'attend à ce que les gens lui achètent le concert en entier. C'est une erreur de débutant, ça ne fonctionne pas. 

Si tu veux être connu, il faut investir, il faut donner des représentations gratuites. Youtube est un incontournable à ce sujet. Si tu trouves un youtubeur qui aime les volcans, tu vas toucher la communauté de gens qui aiment ce sujet... => des clients potentiels pour ton magazine.

 

Si tu veux vraiment être connu en bibliothèque, alors il faut passer par la case conférence sur les volcans et aussi proposer ton magazine à la fin. Ce n'est pas la même approche.

Là, avec une conférence, tu vas trouver les lecteurs intéressés par ton journal. Et, au besoin, les bibliothécaires pourront prendre un abonnement suivant le nombre de personnes présentes.

 

Bien sûr, si tu as une chaîne youtube sur les volcans, ou l'actualité des volcans. Certains seront intéressés par ton journal.

 

Le tout, pour ton journal, c'est de créer une communauté. Communauté qui va s'étendre au fur et à mesure.

 

Si tu veux vraiment te faire connaître auprès des bibliothèques, alors continue à offrir ton magazine non pas "gratuitement" (comme tu le sous-entend) mais parce que c'est un investissement sur le long terme. Sois têtu, offre tous les numéros. (avec un formulaire d'abonnement à l'intérieur du magazine, sur une des pages bien sûr) Parce qu'un seul numéro, ça ne trouve pas son lecteur, mais plusieurs, au bout d'un moment, si. C'est une question de masse volcanique.

 

Idem pour le numéro 1 complet en PDF. Surtout si tu passes par une centrale. C'est un investissement. Car si tu peux montrer que ton magazine a eu 300-1000 téléchargements, tu deviens  intéressant pour une diffusion par une centrale. Après, à toi de voir ce qu'il te reste comme bénéfices en passant par cette centrale.

 

Oui, ce sont des requins d'une certaine façon, mais ils t'offrent une visibilité.

Idem pour les bibliothèques.

 

Tout se calcule. Un exemplaire gratuit, qui te coûte peut-être 5 euros à produire/envoyer, ça se mesure avec un encart publicitaire dans un journal qui va t'en coûter 500, pour une seule parution. 

Si tu veux percer, il te faut un budget pub. C'est un budget d'investissement. Sans pub, tu ne peux pas être connu.

 

Je te note ici que si tu n'aimes pas faire des conférences, tu as peut-être des photos magnifiques à proposer dans une expo photos gratuite (comprendre investissement pub) sur les volcans, avec des sons ce serait top. En bibliothèque, quand c'est gratuit, on est facilement preneur. Parce qu'on n'est pas obligé de justifier la dépense auprès des tutelles. L'argument est facile : c'est gratuit, donc on peut tester auprès de nos publics. (Et si ça marche, tu as des références. Et tu peux envisager de te faire payer au bout d'un moment. Pour les frais de déplacement, n'hésite jamais.)

 

Bien sûr, tu ne peux pas te permettre d'en être de ta poche sans arrêt. 

Tu dois définir ton "budget pub", son montant annuel... et changer d'optique si tu n'arrives pas à obtenir le lectorat que tu souhaites.

 

Le plus dur et le plus long, c'est de devenir visible.

Surtout dans une niche volcanique.

 

Pour le facebook de bibliothécaire, tu as

https://www.facebook.com/groups/tusaisquetuesbibliothecairequand/

 

A voir si la pub directe ne contrevient pas à la charte du groupe.

Mais bon, tu sais comment faire. ;)

Il suffit de poser la même question, tu auras sans doute d'autres réponses intéressantes.

 

Voilà quelques idées pour accompagner ton magazine.

Bonnes suites à toi.

 

 

 

 

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Bonjour,

 

Merci beaucoup pour cette réponse détaillée, ça me permet d'y voir un peu plus clair ! Je vais essayer de répondre à quelques points abordés, tout en soulevant de nouvelles interrogations...

 

Le 01/08/2023 à 18:15, B. Majour a dit :

Il faut passer par le portail Chorus Pro (https://communaute.chorus-pro.gouv.fr/)

 

C'est noté, je vais regarder comment cela fonctionne. Ayant goûté aux joyeusetés administratives de l'université, ça ne me fait pas trop peur ! D'ailleurs c'est curieux, mais le labo où j'ai fait ma thèse s'est abonné au magazine, et si la gestionnaire m'a bien demandé une facture, elle ne m'a jamais parlé de cette plate-forme. C'est pourtant une entité publique (sous tutelle universitaire + CNRS), mais peut-être répond-elle à des règles différentes...

 

Le 01/08/2023 à 18:15, B. Majour a dit :

Sans oublier le problème du budget. Si on passe par des plateformes ou centrales d'abonnement, c'est parce que ces centrales négocient les prix des abonnements. Plus bas que le prix pour le public.

 

As-tu un abonnement spécifique pour les bibliothèques ?

Je ne l'ai pas vu sur ton site https://www.kipuka.fr/site/abonnement-kipuka/

 

Je n'ai pas d'abonnement spécifique, non. J'y ai pensé, mais si je devais en faire un, ça serait plutôt plus cher que l'abonnement pour les particuliers, pas moins. C'est ce qui se pratique généralement il me semble. Par exemple, une autre revue de niche dans un domaine voisin, Le Règne Minéral, propose un abonnement "associations, institutions" qui est plus cher que celui de base. Ça me paraît "logique", les institutions ayant tout de même plus de budget que les particuliers. Mais je comprends en effet l'argument du budget et de la concurrence avec d'autres acquisitions pouvant toucher un public plus large.

 

Je précise tout de même que si j'ai un niveau universitaire, la revue ne s'adresse pas aux spécialistes du domaine. C'est vraiment de la vulgarisation : c'est aux volcans ce que Ciel & Espace est à l'astronomie (très modestement !), qui n'a pas besoin d'un doctorat en astrophysique pour être apprécié. Et si j'étais surpris de l'accueil plutôt "froid" des médiathèques de mon agglomération, c'est aussi que je suis à Clermont-Ferrand. Or ici tout est volcan : le moindre gîte s'appelle "xxxx des volcans", la moindre entreprise s'appelle "xxxx des dômes"... S'il y a bien un territoire où les bibliothèques devraient être sensibles à cette thématique, c'est celui-ci ! Mais je digresse...

 

Le 01/08/2023 à 18:15, B. Majour a dit :

En l'offrant, comme tu l'as fait.

Non pas en considérant que c'est "gratuit", mais en considérant que tu fais là un investissement pub.

 

Idem pour ton site, tu devrais mettre le numéro 1 en PDF complet, pour voir combien de fois il est téléchargé.

 

Oui je suis d'accord, je me suis mal exprimé, je considère effectivement ça comme un investissement. C'est bien ce que j'ai fait : j'en suis déjà à plus de 150 exemplaires papier du numéro 1 diffusés gratuitement, et 70 exemplaires papier du numéro 2 (médias, influenceurs, etc.). Je reste toutefois dubitatif sur la diffusion du fichier numérique : j'ai aussi envoyé énormément d'emails avec un lien pour télécharger une version pdf, et je peux voir sur le compteur que très peu de gens se sont donnés la peine de le faire... C'est quand j'ai commencé à distribuer des versions papier que j'ai vraiment commencé à avoir des retours dans les médias. C'est pareil au niveau des ventes d'ailleurs, très peu de gens s'abonnent/achètent la version numérique, tout le monde veut du papier (ce que je comprends parfaitement, je suis pareil en tant que lecteur). (Notons que la version pdf du magazine est en fait disponible gratuitement, sur le principal site de piratage de livres et revues...)

 

Le 01/08/2023 à 18:15, B. Majour a dit :

Si tu veux vraiment être connu en bibliothèque, alors il faut passer par la case conférence sur les volcans et aussi proposer ton magazine à la fin. Ce n'est pas la même approche.

Là, avec une conférence, tu vas trouver les lecteurs intéressés par ton journal. Et, au besoin, les bibliothécaires pourront prendre un abonnement suivant le nombre de personnes présentes.

 

Je le fais ! Pas seulement pour vendre mon magazine, avant tout parce que j'aime ça, parler de volcans, transmettre au grand public... J'ai déjà fait quelques interventions, et j'en ai d'autres prévues à l'automne, dans une librairie et plusieurs universités du temps libre. A minima les structures me défraient le déplacement, histoire que je n'y sois pas de ma poche, et dans tous les cas j'ai un coin de table pour vendre mon magazine à la fin de la conférence. Mais pour les bibliothèques, revient le problème de la communication : comment les contacter pour qu'elles connaissent ma proposition d'intervention et puissent me considérer pour leur agenda culturel ? Les UTLs il y a une trentaine en France, c'était "facile" de toutes les contacter une par une, mais les médiathèques il doit y en avoir des milliers...

 

Merci encore pour toutes ces réflexions en tout cas, ça me donne pas mal de grain à moudre pour la suite...

Modifié par jmprival
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  • 5 months later...

Bonjour,

Pas mal de temps s'est écoulé depuis mon message, et je souhaite faire un point sur l'avancée du projet histoire de vous remercier pour l'aide apportée. Les conseils étaient judicieux !

La revue kīpuka est désormais cataloguée par plusieurs agences d'abonnement (France-Publications, CID, etc.), et la société éditrice est présente sur le portail Chorus Pro. Cela a effectivement permis à deux bibliothèques universitaires de s'abonner (une via agence, l'autre via commande sur Chorus Pro) ! D'autres institutionnels se sont également abonnés : un musée, un célèbre parc à thème sur le volcanisme, une médiathèque (image ci-dessous). Ça fait doublement plaisir : ces structures me permettent de toucher un lectorat plus large ; la confiance de telles institutions est un gage de sérieux.

Au-delà de ça, j'ai également développé la diffusion numérique en étant présent sur plusieurs e-kiosques :

– Cafeyn : https://www.cafeyn.co/fr/publication/kipuka
– ePresse : https://www.epresse.fr/magazine/kipuka
– Readly : https://fr.readly.com/products/magazines/fr/science-nature/kipuka
– Scopalto : https://www.scopalto.com/revue/kipuka

Dont certains sont apparemment proposés par des médiathèques à leurs lecteurs dans le cadre de leur abonnement. Je manque encore un peu de recul sur l'apport de ces plates-formes, mais les premiers chiffres sont encourageants (sachant que ces versions numériques ne me coûtent rien à produire).

 

Enfin, la distribution physique (hors abonnés par la poste) continue à s'étendre par le biais de contrats de dépôt-vente en librairies et par la vente directe lors de conférences et autres manifestations culturelles (salons, festivals, etc.). Je ne m'étais pas imaginé commerçant, mais tenir un stand et aller à la rencontre du public est finalement assez gratifiant !

 

Merci donc à agorabib et en particulier à B. Majour pour votre aide ! Si jamais vous pensez à d'autres aspects qui n'auraient pas encore été évoqués, n'hésitez pas à m'en faire part, je suis preneur de tout conseil pour avancer dans ce projet éditorial.

kipuka1.jpg

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Le 18/01/2024 à 10:33, jmprival a dit :

Je ne m'étais pas imaginé commerçant, mais tenir un stand et aller à la rencontre du public est finalement assez gratifiant !

 

Bonjour Jean-Marie

 

Oui, si tu veux de la notoriété, il te faut de la représentativité (te montrer). C'est le lot de tous les auteurs. Surtout en auto-édition.

 

Si tu veux un autre conseil, je te donne le suivant :

Réserver une page/demie-page de ta revue pour remercier tous les "institutionnels qui se sont également abonnés : un musée, un célèbre parc à thème sur le volcanisme, une médiathèque" et mettre au passage les liens sur les e-kiosques.

 

Ceci pour deux raisons :

D'abord pour les remercier de leur soutien, les remerciements c'est toujours agréable et ça aide à préserver les abonnements.

Ensuite : ces institutionnels sont des références, et donc gage du sérieux de ta revue.

 

Je te confirme que je peux accéder à Kipuka sur Cafeyn.

 

J'aime bien l'article sur le Seigneur des Anneaux, qui regroupe littérature et volcan.

Tu as plusieurs romans/BD sur le site suivant : https://www.babelio.com/livres-/volcans/12137

 

Bonne continuation.

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