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Question de management


Yumiko

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Islampunk, l'ami breton nous disait :


 


A méditer :


 


Clémentine vend des pommes au marché et son amie Cerise des poires.


 


Clémentine vend plus de pommes que Cerise de poires.


 


Donc Clémentine est mieux adaptée au marché.


 


Il est important pour Cerise de faire mieux et elle se décide à suivre une formation en management et marketing. Cerise y apprend finalement qu'elle ferait mieux de vendre des pommes que des poires.


 


Depuis Clémentine et Cerise ne vendent plus autant de pommes (concurrence oblige). En revanche Prune (une amie) vend des poires et reste la seule sur le marché. Notons que Prune a dispensé la formation à Clémentine et Cerise !


 


 


Bon, alors méditons.


 


Au final, on comprend que Clémentine et Cerise ne sont plus amies. Concurrence oblige.


L'amie Prune a tiré les marrons du feu et reste la grande bénéficiaire de l'histoire.


 


Si on rapproche l'histoire du management, Clémentine et Cerise sont des subalternes, et Prune leur supérieure hiérarchique. La seule à bénéficier de cette fausse formation.


 


Fausse, car si Clémentine vend plus de pommes que Cerise de poires, c'est d'abord parce qu'il y a plus de consommateurs de pommes que de poires.


Ne pas comprendre cette simple réalité, c'est partir sur une piste erronée.


Piste erronée = formation qui tombe à côté de la plaque.


 


Renoncer aux poires est aussi une mauvaise idée. Un simple retour de conjoncture montre bien que le marché des pommes (de la vache folle, ou autre) peut être menacé et s'effondrer.


En bonne intelligence, on devrait en réalité chercher à se diversifier. Ne pas mettre tous les oeufs dans le même panier.


 


Reste que si Cerise vend aussi des pommes, la part de Clémentine va chuter et elles ne seront plus amies. Concurrence, concurrence.


 


Une solution possible, et sans doute la plus appropriée, serait que Cerise et Clémentine mutualisent leurs efforts et partagent leurs bénéfices. Elles travailleraient dans un système gagnant-gagnant, s'éviteraient une concurrence préjudiciable, pourraient se couvrir mutuellement en cas de soucis ou de mauvaises récoltes... Ceci, sans aucun besoin de formation, au plus grand déplaisir de Prune... Sauf si Prune est vraiment une amie, auquel cas, elle participera elle aussi à la mutualisation. A trois la conquête du marché pommes/poires sera plus facile, et permettra en plus celui de la banane.


 


 


Cette mutualisation peut s'appeler l'ABF, et le forum Agorabib.


 


Bienvenue sur cet espace de mutualisation.


  B. Majour


 


P.S. à Ferris, qui répond plus vite que son ombre  :wink:  : un ramassis de... bibliothécaires ? Sacrée insulte.   :yes: 


Modifié par B. Majour
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Invité Islampunk

YUMIKO :


Pour le réveil au matin, évite le pétard.


 


Je n'ai pas dénigré le sujet, je remarque juste que chacun utilise et donc intègre des notions qui serviront plus tard à "d'autres décideurs" à enjôler votre propre réalité (lorsque les temps seront durs par exemple).


Quand les Catégories C disparaîtront, j'imagine qu'il y aura d'autres victimes et donc des catégories B ou A qui ne voudront pas intégrer ou ne pourront pas intégrer ces notions.


 


Mon propos est le suivant : dans Marketing il y a Market = le marché, et aussi ting donc j'ignore la signification. Mais ces conceptions sont clairement issues du capitalisme et donc s'oppose par simple déduction au fait public, à la gratuité, à la garantie au libre accès à l'information et à la culture. Je trouve dangereux ce virage sémantique... je vous invite à lire ou relire Eric Hazan et la LQR ou Victor Klemperer et ses soldats de papier...


 


 


Pour ce qui est de Cerise, Clémentine et leurs copines, rien de sage c'est moi qui l'est écrit ... mais je remarque que personne ne fait attention aux saisons...


 


Le sens est le suivant : tout le monde copie le mieux de tout le monde (et le mieux est l'ennemi du bien); l'uniformité culturelle que prétend combattre "nos valeurs" (professionnelles; personnelles, républicaines ou autres") est en passe de devenir l'unique objet d'un pensée commune, le but comme le moyen. Ici plus de place pour les inadaptés, le rendement comme seul moteur... je plaide au contraire pour 'l'Utilité de l'Inutile", prendre son temps en somme.


 


Dans un futur immédiat, exigerons-nous du personnel qu'une réponse soit formulée en un temps déterminé, à la manière d'un ping informatique ? Que le téléchargement est l'avenir des bibliothécaires ? Que le tout numérique s'est définitivement la classe et que sinon c'est la loose... car je ne compte plus les exemples ni en qualité ni en quantité des pseudos manageurs sur ce sujet.


 


Je réagis surtout ici à ce compte-rendu fait au ministre et qui semble bien dépasser certains, les mêmes qui pensent que l'ABF est un ramassi d'inutile.


 


Bonne journée.

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Ah oui mais tu traites de nombreux sujets en même temps et de façon superficielle.


 


Concernant la question du management : tu sembles l'assimiler à quelque chose de négatif qui sert à contrôler les esprits et à asservir les personnes à des fins purement égocentriques. Hors c'est bien de ça qu'il est question : Comment manager une équipe sans la manipuler bêtement? Manager ce n'est pas un gros mot. C'est donner de la motivation pour une tâche particulière et faire évoluer un collaborateur dans un environnement non stressant, valorisant et menant à un "épanouissement" professionnel.


"j'imagine qu'il y aura d'autres victimes et donc des catégories B ou A" : Pour ma part, je serais ravie que ma hiérarchie joue enfin son rôle de manager avec moi! Je sentirais alors que mes actions ont un sens et que l'ensemble de mon équipe tend vers un but commun en partageant les mêmes valeurs.


 


Concernant le rapport de l'IGB sur les Emplois en bibliothèques : évidemment que le grade catégorie C est en questionnement! Actuellement, les bibliothèques tendent vers 2 "types" de recrutement de cat. C : les amis des amis du cousin à machin et les surdiplômés qui auront des tâches de B ou de A afin de les payer moins chers. Ce n'est pas sain du tout! soit les cat. C renvoient l'image du fonctionnaire de base qui ne veut pas travailler et être payer plus; soit c'est des personnes pleines de bonnes volontés qu'on surcharge (public, équipement, acquisitions, animations, secrétariat, gestions des élus, et j'en passe...) sans aucune reconnaissance. Je ne dis pas que les cat. C sont inutiles (au contraire, ils font tourner la "boîte") mais le système exploite ce grade afin de ne pas recruter ce qui génère de l'absentéisme, des dépressions, des conflits d'équipe permanents, etc. C'est un grade fourre-tout qui créé beaucoup de mal-être et de non reconnaissance car trop disparatre dans les attentes qu'on peut avoir des personnes en fonction de leur "potentiel".


 


Concernant la question du rendement et de l'intégration des techniques marketing dans le public : bah si on peut tendre vers un service de qualité qui justifie que les contribuables paient pour avoir une structure comme la notre alors pourquoi pas? le tout c'est que le travail soit admis comme naturel et se fasse sans pression et sans violence --> voir le chapitre sur le management ^^,


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Invité Islampunk

Je suis superficiel soit, autrement dit :


 


Qui n’intéresse que la superficie, qui est uniquement en surface.


 


Ce qui s’arrête à l’extérieur, ce qui effleure et n’approfondit pas.


 


Ce que n'est pas le management visiblement puisqu'il interroge des questions d'individualités : conflits, dépressions, épanouissement, stressant, ... Prétendre que le management sait résoudre ces problèmes liés à l'individu et à son environnement c'est un peu comme croire au père noël (qui lui existe). Je suis désolé si je brise un peu les doux rêves de quelques-uns !


 


Observons d'autres cas où le management fait foi : la fonction hospitalière par exemple. Demandez aux équipes médicales si le management permet de soulager leurs peines quotidiennes ou celles des patients... Enfin, oui je sais c'est superficiel encore une fois et puis c'est pas pareil (désolé mais résonner en faisant du nombrilisme c'est jamais fructueux !).


 


"Concernant la question du rendement et de l'intégration des techniques marketing dans le public : bah si on peut tendre vers un service de qualité qui justifie que les contribuables paient pour avoir une structure comme la notre alors pourquoi pas? le tout c'est que le travail soit admis comme naturel et se fasse sans pression et sans violence"... Voilà un point de vue qui m'a toujours inquiété, le travail c'est naturel, et c'est surtout pas de violence.


 


Le travail c'est naturel... une réflexion tordue de ma part : le chômage aussi c'est naturel ?


 


La violence est le moteur de ce monde, le nier, c'est aussi croire aux fables pour enfants. La violence est partout : symbolique dans nos rapports sociaux ("mes" agents, "mon" équipe, les cat. C, etc.) et surtout en management (je retiens les termes guerriers, trouve un seul exemple du contraire à travers l'histoire de l'humanité, même les non-violents exercent celle-ci, symboliquement du moins), à l'état naturel aussi évidemment. Penser que les êtres humains s'harmonisent selon une loi ou un dogme c'est plus qu'un leurre c'est dangereux !


 


Désolé, mais le rendement au sens où nous l'entendons repose sur l'idée que ton management va engendrer un afflux de population (nouvelle et ça m'étonnerait vraiment sinon pourquoi faire des actions hors les murs ?) dans la structure où tu travailles ! Attention, je ne dis pas qu'il n'y a pas de solution mais je ne pense pas sincèrement que l'idée de rendement doit être une priorité. D'ailleurs ce concept s'applique-t-il vraiment à la fonction publique j'en doute ? Si l'Education faisait du rendement on n'aurait pas autant de mous du bulbes !!


 


A+

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Invité Islampunk

Pas du tout mon cher Ferris au contraire, le calme plat, aucune réaction sur aucun sujet sauf un grand éclat de rire lorsque l'un d'entre-nous à aborder le mot challenge pour répondre à une personne en peine dans son travail ... oui je lui ai demandé s'il pensait que le Christ en montant le Golgotha c'est dit que ce jour-là c'était challenge !


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Invité Islampunk

Quelques vidéos sur le management de la superficialité (je sais je suis teigneux) :


 


>http://www.youtube.com/watch?v=OVU-wHRRrUQ (et oué!).


 


>http://www.youtube.com/watch?v=TR8BIBy9NDc (dans le genre je parle pour ne rien dire!).


 


>http://www.youtube.com/watch?v=IkwbxLwx980 (fiction devient réalité!).


 


>http://www.youtube.com/watch?v=H5xR63HVqao ("on a la chance d'être gros")


 


>http://www.youtube.com/watch?v=ekMSt5spEWA (plus c'est con plus ça marche!)


 


>http://www.youtube.com/watch?v=b8PiIRPq7lQ (pub qui en dit long)


 


>http://www.youtube.com/watch?v=CY2CmD8gZTE (C'est clair oui ou non !)


 


>http://www.youtube.com/watch?v=twqFmuPeWcg (Effets ou efficience d'un bon management)


 


>http://www.youtube.com/watch?v=047eh7YLP18 (en douceur)


 


bon visonnage !

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Invité Islampunk

j'oubliais les enfants :


 


>http://www.youtube.com/watch?v=9Jlw9etdXOg (toute ressemblance avec des personnes existantes, blah, blah, blah est fortuite!).


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C'est peut-être simplement parce que le silence est une réponse !?

Il me semble que ce n'est pas un dialogue... Et même si vos posts peuvent nourrir ma réflexion, pour autant, je ne vois pas d'intérêt à intervenir...

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C'est peut-être simplement parce que le silence est une réponse !?

Il me semble que ce n'est pas un dialogue... Et même si vos posts peuvent nourrir ma réflexion, pour autant, je ne vois pas d'intérêt à intervenir...

 

Je suis assez d'accord avec Zenodote.

Yumiko posait des questions intéressantes, qui amenait une réflexion sur la notion de management en bibliothèque. Au début de ce post, j'ai lu des réponses concrètes, chacunes adaptées à sa propre expérience mais depuis la discussion est devenue moins intéressante, plus vraiment un échange, voir presque agressive. Si sur un forum, différents professionnels ne peuvent pas dialoguer entre eux, dans une relation managériale au sein d'une équipe, pas étonnant que ce soit compliqué.

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Invité Islampunk

C'est quand même formidable : il suffit sans entrer dans trop de détail ni même de prétention de démontrer l'absurdité d'une chose pour qu'elle ne devienne plus intéressante et encore moins celui qui vous parle, sans pour autant modifier vos réfelxions. Le fou est bien celui qui suit du doigt la direction que lui montre un autre fou.


 


Le silence comme réponse et vous me parlez de management... je rigole sérieusement. Positionnez-moi en tant qu'usager et demandez-vous si vous lui répondriez la même chose.


 


Si le management est compliqué en médiathèque c'est, me semble-t-il, parce qu'il repose sur l'idée d'exploitation et de profit, ce qui n'est pas le cas de la Fonction Publique... cela dit j'en doute à voir certaines réflexions. Il est également vrai que la notion de méritocratie sur laquelle s'assoit le management semble dépasser quelques-uns qui furent pourtant les premiers servis. Les agents de catégorie vous remercieront pour votre considération et votre humanité.


 


Je ne crois pas avoir le plaisir de vous saluer.

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Je partage l'avis de Zenodote et Liemena. Des fois le silence s'impose quand il n'y a pas ouverture d'esprit.Cela illustre bien l'essentiel du problème du management ceci dit :)


 


Les cas les plus compliqués sont quand la personne en face n'est pas rationnelle, pas ouverte d'esprit ou juste de mauvaise foi... Comment arriver alors à légitimer un discours (qui parait pourtant logique à la personne qui le tient)? On entre alors dans le cercle vicieux de la manipulation affective car on a plus prise sur la rationnalité de la personne "ça me ferait plaisir si tu pouvais..." "tu es le spécialiste dans le domaine alors j'ai de suite penser à toi..." "Et si on mangait ensemble, je sais que tu adores les sushis..."


Bref les faux-semblant qui, à mon sens, ne sont pas du management mais une attitude désespérée face à une situation bloquée. Cela n'empêche pas de réellement penser que la personne est la spécialiste sur le sujet ou qu'on aimerait partager un plaisir culinaire avec ses collègues mais devoir utiliser ces techniques me parait malsain.


Mais peut-être n'y a-t-il pas d'autres solutions?


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Invité Islampunk

Désolé Yumiko, mais lapin compris. Peux-tu être plus claire ?


 


Il n'y a aucune manipulation de quelque nature quelle soit à se préoccuper du sort de son prochain... :huh:


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Bien évidemment qu'il n'y a aucun mal à ça! Quand c'est naturel et que ce n'est pas dans le but d'obtenir l'accomplissement d'une tâche...


 


Je te donne un exemple et dis moi ce que tu en penses :


 


Tu es à la banque d'accueil avec un(e) collègue. Tu es déjà occupé par une tâche et un usager demande instinctivement à la personne "non occupée" ou se trouve le livre Blabla qui a la cote 645.86 BLAB (eh oui imaginons que l'usager a déjà fait l'effort de chercher au catalogue et qu'il est aimable). Ton collègue lui répond alors : "là-bas, avec la cuisine" en montrant un endroit vague de la salle et se replonge dans son magazine / son site internet / sa dicussion téléphonique / etc. L'usager reste un peu ahuri mais finalement se dit surement que la personne doit être très occupée et qu'il ferait mieux d'aller voir vers là-bas tout seul parce qu'après tout c'est de sa faute si il trouve pas (La Dewey et le classement en bibliothèque c'est pourtant évident non??!).


Au bout de 5 minutes tu remarques que l'usager erres toujours désoeuvré dans les rayons (700 plus exactement) et finit par s'en aller de la bibliothèque discrètement sans rien.


 


Qu'aurais-tu fait dans ta position ? Dans celle du collègue?


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@Liemena


 


Je pense aussi qu'au cours des 6 pages de cette rubrique (qu'il serait utile de relire avant de poster à nouveau), toutes les questions et les réponses possibles ont été faites, du moins celles qui se rapportaient à des expériences vécues et pouvaient faire avancer les choses. Depuis, ça tourne en rond et on en revient au point de départ, d'un côte dans des conceptions théoriques très larges, qui pourraient s'appliquer ailleurs qu'en bibliothèque (voire surtout ailleurs qu'en bibliothèques...), et d'un autre côté à une suite d'anecdotes locales, pour lesquelles les réponses sont locales car dépendantes de la situation particulière de chaque structure. Dans le premier cas c'est un débat d'intellos sans fin tournant à la critique sociale large, dans le second, c'est une demande de recettes également sans fin à des situations "a problèmes" telles que nous en connaissons tous.


 


Par ailleurs, au fil des débats la notion de management stricto sensu (et pour autant qu'on puisse l'appliquer à la fonction publique, ce qui est le postulat de départ mais non prouvé, on l'a vu dans les débats du début) se dilue dans la galaxie insondable des relations humaines et de leurs avatars. Son sens originel est l'art de conduire, diriger, mener, or nous ne sommes pas tous dans cette position statutaire, d'où limitation des interventions pertinentes. Par ailleurs, avec cette fausse concordance entre public et privé, nous mélangeons allègrement le management opérationnel et le management relationnel.


 


Au terme de la dérive, le "t'es plus ma copine" des cours de récré devient une question de management. Nous sommes hors champ. 


 


Il y a un moment où il faut savoir clore un sujet. Non pas parce qu'il est résolu mais parce qu'il est condamné à la répétition.


Modifié par Ferris
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Invité Islampunk

Dans ma position, c'est-à-dire celle du tireur couché, je l'aurai abordé simplement lors d'une pause café, entre humains non "fordisés".


 


Dans celle de la collègue, je ne sais pas, je ne suis et ne serais jamais elle. Alors oui, le parfois manuel du parfait bibliothécaire te dirait que non, il fallait lui tendre la main, seulement c'est de la théorie au même titre que le management.


 


Pour répondre à Ferris :


 


Je mesure l'ensemble de tes propos et suis d'accord sur le fond. Toutefois, on ne peut nier que cette "histoire de management" est belle et bien présente comme parfois une menace sourde sur certains emplois; qu'elle concerne tout le monde et qu'elle réussit au mieux à faire parler et sutout à diviser.


Elle correspond néanmoins à une réalité tangible celle du langage "uniformisé" reprise en coeur par bon nombre de collègues sans pour autant mesurer les enjeux sociaux et humains. C'est cette absence de lucidité ou cette quête d'harmonie des pratiques par un dogme issu de l'économique qui me chragrine; l'aveuglement ne conduit à rien.


 


A+

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Voici un support de cours sur le management en bib' avec plein d'outils utilisables dans nos bibliothèques.


Concrètement, même si je n'utiliserai pas la plupart des logiciels dans ma bibliothèque, je trouve ça intéressant : http://fr.slideshare.net/angiegaudion/le-numrique-pour-amliorer-notre-quotidien-en-bibliothque-les-outils-du-management-organisationnel


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Invité Islampunk

Mon cher Ferris,


 


on est bien d'accord, une autre solution consiste à utiliser le langage managérial en montrant de cette manière la fatuité ou mieux l'incompétence des dites personnes.


 


Hummm, Zenodote bretonne ? (et oui on laisse des traces sur la toile)...


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