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lahary

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Sinon dans les infos vraiment intéressantes à mon sens:

la BU Angers a mis à disposition un onglet d'information sur le COVID ( https://bu.univ-angers.fr/covid19_sources).

 

La BU a également travaillé avec l'école d'ingénieur pour travailler sur des capteurs de CO2.

Cette question de l'aérosolisation et des capteurs est encore très peu abordée, il serait intéressant de s'y pencher de près à mon avis. 

En dehors de la COVID, la question de l'air est à réfléchir de manière plus globale.

 

 

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  • 2 weeks later...

Je vais me faire taper dessus par certains mais... repenser la communication sur les réseaux sociaux, se former (cad oser essayer, tester), pour mettre en avant des avis de lecture / musicaux / films, présenter notre métier à travers des reportages photos ou des vidéos.... ça permet de garder un lien avec la population connectée et de présenter une autre facette de l’institution, de créer du lien entre le public et l'équipe en place. Des challenges lecture peuvent être mis en place, ou des choses autour du libre (prix zik libre en bib, découverte de la littérature libre, lecture  des classiques). D'autres ont fait de l'accueil téléphonique, voire des lectures au téléphone, parfois en partenariat avec le CCAS, pour cibler la population éloignée du numérique.

 

Et il y a aussi des formations proposées par le CNFPT, complètement à distance et gratuite.

 

Epsy.

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il y a 13 minutes, Epsy a dit :

Je vais me faire taper dessus par certains mais... repenser la communication sur les réseaux sociaux, se former (cad oser essayer, tester), pour mettre en avant des avis de lecture / musicaux / films, présenter notre métier à travers des reportages photos ou des vidéos.... ça permet de garder un lien avec la population connectée et de présenter une autre facette de l’institution, de créer du lien entre le public et l'équipe en place.

 

J'ai pensé immédiatement, eh bien ça me ferait bien mal qu'on te tape sur les doigts, Epsy.

Mais... s'il le faut vraiment, je pense que le "re" de repenser est de trop.

 

Et si on doit déborder hors de la population connectée, pensons à ce bon vieux papier des familles.

Les imprimeurs continuent à fonctionner, et rien n'empêche de s'entendre avec/se rapprocher de la communication pour publier un mini-journal à la place du programme mensuel, semestriel de la bibliothèque.

D'autant plus facile, que ce qui peut servir sur Internet, peut se glisser sur une feuille de papier, dans la même foulée.

 

Idées à stores, que ton idée. :thumbsup:

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@Epsy

 

Le sujet a déja été traité sur le forum

https://www.agorabib.fr/topic/1657-des-exemples-de-communication-des-bibliothèques/page/2/

 

Et le sujet ne se limite pas au covid. C'est un choix de stratégie à long terme, covid ou non.  Un article a lire :

https://www.e-marketing.fr/Thematique/etudes-1092/Breves/Papier-numerique-comment-repenser-strategie-communication-339048.htm

 

Et surtout, article de fonds :

https://www.franceculture.fr/numerique/lecture-papier-vs-lecture-numerique-match-nul.

 

Quant au côté ecologique entre papier et numérique, c'est un fake, à la mode dans les années 90. Depuis, il a été tranché, quasiment à égalité

 

D’après les experts d’EcoAct, acteur de référence de la décarbonisation des entreprises, tout repose sur le temps de lecture. Au delà de 12 minutes de visionnage d’un document sur écran, la version papier est plus écologique ! Au final, le meilleur moyen de faire baisser la facture énergétique reste de faire évoluer nos pratiques et nos comportements. Sobriété et bon sens sont de mise quel que soit le document utilisé.

 

Qui passe 12mn à lire une info-bib ? Certes bien peu de gens. Alors on passe sur fessesbouc, sauf que là l'info se modifie, se reduit considerablement au point de ne devenir qu'une vitrine et du marketing type pub dans la boite à lettres.

 

On est désormais loin des imbécillités proférées dès 2011 par les artisans du tout numérique :

https://www.archimag.com/bibliotheque-edition/2016/09/05/comment-bibliotheques-communiquer-facebook

 

 

Pourquoi les "guides du lecteur", et règlements intérieurs, sans parler des annonces d'animations évènementielles continuent a être très majoritairement

imprimées et les affiches placardées chez les commerçants ?

 

Parce que nous avons enfin compris que les réseaux sociaux n'étaient pas adaptés à notre type de communication, sans une perte de sens, de contenu et de mémorisation. Le Covid n'est qu'une étape dans cette prise de conscience. L'immense majorité des bibliotheques n'utilisent les réseaux sociaux que pour des contacts brefs et directs avec un lecteur ou de l'info de type rappels etc.... Pour l'essentiel de leur communication, elles ont un site développé et une communication papier.

 

Mais les âyatollâhs du numerique à tous crins, et vite oublieux des non connectés (les "sans dents" des bibliothèques), sont toujours présents. A savoir combien ils pèsent au total dans la communication des bibs françaises. Là, pas de chiffres et toujours chez les professionnels cette peur de rater le train de la mode et de la technologie, que je dénonçe depuis longtemps, et qui nous a mené vers des chemins douteux...

 

un petit classement des produits ? 

https://actualitte.com/article/48271/bibliotheque/etude-quels-reseaux-sociaux-pour-les-bibliotheques

 

Nous avons foncé sur les nouvelles technologies comme nous nous sommes agenouillés devant les techniques managériales issues du secteur privé. Pour le management et le comportementalisme, le bilan est fait : cela ne marche pas dans la FPT, bien que certains continuent à s'en faire les chantres ici, sans doute parce qu'issus du privé, ils ne connaissent que cela. Pour les réseaux sociaux, cela ne suffit pas et nous commençons à revenir sur nos enthousiasmes faciles des années 2010. C'est une bonne chose.

 

 

Modifié par Ferris
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Il y a 15 heures, Ferris a dit :

Et le sujet ne se limite pas au covid. C'est un choix de stratégie à long terme, covid ou non.

 

Oui, tout comme les autres missions télétravaillables évoquées auparavant comme la signalétique. C'est à la question de Zénodotos que je répondais, j'aurais peut-être dû préciser (= "Si on est reconfinés totalement, ou même juste comme en novembre : que peut-on faire avec une panne durable de SIGB ?")

 

Il y a 15 heures, Ferris a dit :

Pourquoi les "guides du lecteur", et règlements intérieurs, sans parler des annonces d'animations évènementielles continuent a être très majoritairement

imprimées et les affiches placardées chez les commerçants ?

 

Parce qu'un type de communication n'exclut pas l'autre, tout comme la télévision n'a jamais exclut la radio. De la même manière, un site internet et une communication papier n'excluent pas nécessairement une communication sur les réseaux sociaux, communication qui doit être adaptée et pensée différemment pour chaque réseau et public ciblé si on veut faire les choses correctement. Mais tout cela demande du temps, beaucoup de temps (d'où ma proposition d'y regarder de plus près pendant des temps plus calmes en termes d'activités), et l'implication de l'équipe entière ou du moins plus de la moitié de l'équipe. Ce n'est pas pour rien qu'il existe le métier de community manager dans le privé et des agences de communication : c'est un métier.

 

Il y a 15 heures, Ferris a dit :

L'immense majorité des bibliotheques n'utilisent les réseaux sociaux que pour des contacts brefs et directs avec un lecteur ou de l'info de type rappels etc...

 

Des contacts brefs et directs, c'est mieux que pas de contact du tout. Et de plus en plus de structures les utilisent aussi pour communiquer sur leurs animations, avertir des changements, partager des découvertes littéraires ou musicales, apporter un autre éclairage sur la structure et l'équipe.

 

Pour l'anecdote, nous avons monté un challenge de lecture dernièrement, dont une partie se déroulait sur les réseaux, un groupe facebook notamment. Ce fut extrêmement chronophage et fatigant pour l'équipe aux commandes, mais un réel bonheur d'échanger avec les lecteurs, de rebondir sur leurs lectures (et les nôtres), de voir s'affronter les deux équipes en toute bienveillance (si je simplifie, il fallait lire un maximum pour donner le plus de point à son équipe), d'avoir autant des enfants que des adultes qui participaient à leur rythme et à leur échelle. Et bien sûr, ces échanges ont aussi eu lieu "en vrai", entre deux rayonnages puis lors de la finale, mais la dimension numérique a vraiment permis de fédérer un groupe de lecteurs qui ne se croisaient pas nécessairement dans nos murs.

 

Epsy.

Modifié par Epsy
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