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Bonjour, Je réalise cette enquête dans un cadre professionnel : je suis aujourd'hui fonctionnaire territorial titulaire, cadre A dans la filière administrative, et je souhaite me reconvertir dans les métiers des bibliothèques. J'aimerais donc avoir des retours de professionnels pour m'aiguiller et me permettre d'affiner mon projet et de préciser les étapes pour le réussir. Théoriquement, je pourrais procéder par voie de détachement, mais le métier de bibliothécaire ne s'improvise pas et il me semble indispensable de suivre une formation professionnalisante. Merci d'avance pour vos retours!

Dans quel cadre fais-tu cette enquête ? (Un cadre scolaire, professionnel ?)

Bonjour à tous, Je me lance dans une enquête pour accompagner ma reconversion professionnelle. En partageant votre expérience, vous contribuerez à écrire le prologue de cette nouvelle aventure. Votre aide est précieuse, merci de m'accompagner (juste quelques minutes!) dans cette exploration en cliquant sur le lien suivant : https://forms.gle/vEj4hXiz7PVR9K9B7 qui oriente sur un formulaire d'enquête via Google Forms. Merci pour tout!

Bonjour EpimelieMargaron Donc, cela suppose qu'ils envoient les convocations pour les AG à tous les membres de l'association, sauf à être dans l'illégalité. Est-ce bien le cas ? (Avoir trop de membres non impliqués, c'est aussi dangereux pour l'association.) Autre point gênant, on ne peut pas forcer les gens à devenir membre automatique d'une association sans le leur dire, et sans leur permettre de s'y opposer (conformément à la loi de la CNIL. Finalité de traitement.) Alors, on peut avoir une gestion municipale associative, avec budget municipal, mais gestion de la structure géré par une association. Que tu récupères l'argent pose déjà problème en cas de perte ou de vol. Que tu transmettes en plus leurs informations personnelles à cette association, sans savoir comment ils protègent et utilisent les données personnelles des lecteurs, en pose un autre. Tu dois absolument éclaircir ces problèmes avec ton/ta DGS ou avec les élus. D'abord pour régler le problème de l'argent, dont tu es responsable (j'espère que tu signes régulièrement les dépôts que tu fais, avec la date, les décomptes et contresignatures du trésorier ou président de l'association. Surtout pour l'argent liquide.) Pour rappel, tu n'es pas forcée de le faire, surtout que tu n'es pas couverte en cas de problème. Et aussi pour voir avec le DPO de la commune (loi CNIL) si on peut transmettre les informations personnelles des lecteurs à une association. Et si cette association est bien en règle avec la loi de la CNIL au niveau de la protection des données personnelles. Document à transmettre à l'association et à ta hiérarchie. https://www.cnil.fr/sites/cnil/files/atoms/files/cnil-guide_association.pdf A défaut, c'est le président de l'association qui est responsable en cas de problème. Et voici le guide pour savoir si l'association est en conformité avec la loi. https://www.cnil.fr/fr/guide-de-la-securite-des-donnees-personnelles-nouvelle-edition-2024 A remarquer que les amendes existent 08/02/2023 COMMUNE (procédure simplifiée) Obligation de désigner un délégué à la protection des données Défaut de coopération avec la CNIL Amende de 5 000 euros et injonction https://www.cnil.fr/fr/les-sanctions-prononcees-par-la-cnil Voilà des points à corriger dans la procédure. Sans doute que la gratuité pour tous simplifierait tout, comme un traitement uniquement bibliothèque (pour respecter la finalité de traitement des données personnelles) mettrait moins en risque le président de l'association et aussi le maire (qui doit veiller à la protection des données transmises à un service municipal) Bon courage à toi avec ce mélange des genres, très classique dans les petites communes.

Assistante de conservation du patrimoine et des bibliothèques principale de 2ème classe titulaire dans une commune de 1700 habitants, je souhaiterais obtenir quelques informations concernant la réglementation. En effet, je suis employée communale, mais il existe une convention entre la mairie et une association (qui propose de nombreuses activités sportives et autres...) qui lui confie la co-gestion ,uniquement de l'animation. Il en résulte que les adhérents à l'une des activités de l'association bénéficient de l'inscription gratuite à la médiathèque municipale et que les non-adhérents à cette association payent une cotisation dès la 2nde année de leur inscription à la médiathèque (5 euros). La médiathèque étant considérée comme l'une des sections de cette association (alors qu'elle est municipale et que je suis employée par la mairie), les lecteurs, lors de leur adhésion à la médiathèque deviennent donc d'office membre de l'association. J'ai cru comprendre que la gestion ne peut être que municipale ou associative, or là c'est un mélange des deux puisque je récupère l'argent des inscriptions (en espèces ou chèques à l’ordre de l’association) ainsi que les données des lecteurs en tant qu'agent du service public et que je transmets ensuite le tout à une association. Je manipule donc de l'argent sans avoir signé de régie, je n'ai pas signé de mise à disposition, c'est moi qui m'occupe de toutes les animations et pourtant c'est l'association qui a prise sur le budget qui est dédié aux animations en questions. Pouvez-vous m'éclairer sur la réglementation à ce sujet ? N'hésitez-pas si vous avez besoin d'un complément d'informations. Merci d'avance pour votre réponse.

Tu ne parles pas de la situation de ceux qui travaillent du mardi au samedi, qui sont encore les plus nombreux. Mais cela donne en gros les mêmes écarts. Il n'y a pas de "negociation" prevue dans les textes. Néanmoins on voit dans tes chiffres que cela correspond a peu près au forfait de 8 jours que je mentionnais en debut de texte... On peut toujours proceder à des arrangements en interne à partir du moment où la "continuité du service public est assurée". Tout depend ensuite de chaque collectivité. Cela passe par un avis du CT. Par contre ne pas esperer de compensation financiere. On peut au niveau du CT jouer sur les textes, qui sont assez larges : réduire la durée annuelle de travail servant de base au décompte du temps de travail [...] pour tenir compte de sujétions liées à la nature des missions et à la définition des cycles de travail qui en résultent, et notamment en cas de travail de nuit, de travail le dimanche, de travail en horaires décalés, de travail en équipes, de modulation importante du cycle de travail ou de travaux pénibles ou dangereux". Un bibliothécaire territorial travaillant le dimanche peut rentrer dans ce cadre. Mais on peut prendre cet exemple et tenter de l'élargir aux jours fériés... Voir le Décret n°2001-623 du 12 juillet 2001 pris pour l'application de l'article 7-1 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 et relatif à l'aménagement et à la réduction du temps de travail dans la fonction publique territoriale (https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000771308) Un petit bonus à rappeler : on peut beneficier de 1 à 2 jours supplémentaires si on pose un certain nombre de jours de congés en dehors de la période du 1er mai au 31 octobre. En fait ces congés supplémentaires sont les fameux "jours de fractionnement". Plus précisément, on obtient 1 jour de congé supplémentaire si onprend 5, 6 ou 7 jours en dehors de cette période et 1 autre jour supplémentaire si on prend au moins 8 jours en dehors de cette période. Les lundis de Paques et de Pentecôte resteront helas des lundis... Après, la grosse question reste celle des ponts...Tout le monde veut les poser aux mêmes moments. Et c'est souvent le plus gros probleme à gerer pour un chef de service.

Bonjour, Tout d’abord, permettez-moi de me présenter en tant qu'éditrice de livres d'artiste. Depuis 2008, je collabore avec des auteurs d’aujourd’hui (Michel Butor, Lionel Ray, Kenneth White, Régine Detambel, Philippe Delaveau,…) et des artistes contemporains (Bernard Alligand, Patricia Erbelding, Sophie Zénon, Julius Baltazar…). Je développe une collection de livres d’artiste en alliant littérature inédite (poésie ou prose) et iconographie originale (nombreuses techniques, certaines inédites) tout en privilégiant le savoir-faire des artisans du livre (Imprimerie nationale, atelier d’art des Montquartiers). La collection est composée à ce jour de 31 éditions originales correspondant à de nombreuses thématiques (nature, voyage, textile, mythes…) J'ai commencé une série d'interviews de responsables de collection de livres d'artiste, aujourd'hui 5 interviews sont disponibles en libre accès soit sur la chaîne Youtube des Editions d'art FMA, soit sur le blog editionsdartfma.com Ma démarche est de contribuer à la médiatisation auprès des bibliothécaires et plus largement à toute personne s'intéressant à ce médium par essence rare et précieux, encore trop confidentiel. N'hésitez pas à me solliciter via mon site web https://www.editionsdartfma.com/interviews-responsables-bibliotheque-publique-bibliophilie-contemporaine

Bonjour, Je pense que la question de Iatros ne portait pas sur le mode de calcul mais plutôt les conséquences de celui-ci car il a été réfléchi pour des horaires "administratifs classiques" et nous sommes vraiment perdant avec ce calcul. J'ai également comparé les jours fériés sur la période 2014-2024 qui compte 121 jours fériés : - Les collègues travaillant une semaine de 5 jours du lundi au vendredi ont bénéficiés de 97 jours fériés, soit 80% du nombre total de jours fériés (une moyenne de 8 jours/an) - Les collègues travaillant une semaine de 5 jours du mardi au samedi ont bénéficiés de 71 jours fériés, soit 58% du nombre total de jours fériés (une moyenne de 6 jours/an). Cela représente une différence de 26 jours, l'équivalent d'une année de congés payés... Je suis la seule concernée dans ma petite collectivité d'une trentaine d'agents donc, lorsque j'ai présenté mon petit récap, on m'a dit que c'était comme ça et qu'on n'y pouvait rien. Alors, si certains d'entre vous ont réussi à négocier une petite compensation, je suis preneuse de conseils.

C'est déjà très bien si l'entretien s'est bien passé, on croise les doigts pour toi !

Bonjour, Nous prêtons, avec ou sans carte. Nous avons des automates mais sommes toujours prêts à permettre à un usager étourdi d'emprunter sans carte. On lui demande son nom, éventuellement de confirmer une info du genre date de naissance ou derniers chiffres du numéro de téléphone. On est là pour faciliter la vie aux gens, pas pour leur faire la leçon. En espace numérique, on passe notre temps à redonner identifiants et mots de passe aux ados qui veulent se connecter. Les seules fois où j'ai refusé un prêt, c'est quand les enfants étaient en incapacité de me donner leur nom de famille.

Eh bien me voilà de retour après un entretien fort sympathique. Je me sens de plus en plus à l'aise dans l'exercice mais j'aimerais bien décrocher le poste cette fois-ci! On m'a questionné d'abord sur mon parcours d'enseignante puis de médiathécaire. J'ai ensuite parlé de mes activités extra-professionnelles, bénévolat en librairie, écriture d'articles. J'ai proposé des idées pour la médiathèque qui ont suscité pas mal d'enthousiasme. (Îlot FAL, atelier d'initiation au provençal, semaine de révision bac et brevet). Bref, je suis contente. Il m'a été demandé mon préavis, ma été assuré une formation avec la BDP et une période de tutorat. J'avais pu rencontrer quelques jours avant la personne qui s'en va et elle m'avait gardé une heure ! Expérience positive et j'espère concluante. Le fait de ne plus être cadre A simplifié aussi pas mal les choses. Je viendrai vous dire ce qu'il en est dans quinze jours. J'ai quand même l'impression que la moitié du département a postulé mais bon, gardons espoir...

Bonjour à tous et à toutes, Dans le cadre de mon M2 Politique des bibliothèques et de la documentation mené à l'ENSSIB, je réalise un mémoire autour des pratiques participatives en bibliothèques. J'ai décidé, dans le cadre de ce travail, de mener une enquête nationale autour des pratiques d'acquisitions des bibliothécaires en lecture publique ! L'objectif est de constituer un état des lieux non exhaustifs de vos méthodes d'acquisitions ainsi que des potentielles expériences participatives avec le public mis en place dans le cadre de ces acquisitions. Vous pouvez y répondre, que vous ayez déjà fait participer le public ou non aux acquisitions, tous les cas de figure m'intéresse ! Le questionnaire est complétement anonymisé, et prendra, tout au plus une dizaine de minutes de votre temps ! Voici le lien : https://agui01.limesurvey.net/664123?lang=fr En vous remerciant d'avance pour votre aide précieuse

Bonjour, Connaitriez vous un équivalent à ce que faisait le site "la souris grise", qui était une ressource formidable pour découvrir des applications sur tablette pour les enfants? Je suis allée sur le site, mais visiblement, il a beaucoup évolué et ne propose plus cela. D'avance merci de votre aide!

Bonjour, Dans notre bibliothèque, nous autorisons le prêt sans carte, dans ce cas nous demandons une pièce d'identité et si le lecteur n'en n'a pas nous lui demandons sa date de naissance ou d'autres informations. Et nous faisons le prêt. Jusqu'à présent nous n'avons jamais eu de problème. Notre principal objectif c'est de laisser les lecteurs lirent les livres de la bibliothèque et le plus souvent ça se passe bien. Bonne journée !

Bonjour, "Carte obligatoire pour emprunt (ou pas)" est-ce une question ? A fortiori, si c'est une question juridique, la réponse m'intéresse beaucoup. A l'inscription, nous passons une forme de contrat avec le lecteur. Il me semble que nous devons lui garantir une fiabilité dans les transactions de prêt/retour. Si on est d'accord avec ca, voici les questions suivantes : nos cartes sont-elles fiables ? les cartes scannées ne paraissent pas valables (ok pour gagner des points sur carte fidélité supermarché) Peut-on faire sans carte ? Point de vue : le plus simple parait tout de même l'utilisation obligatoire (Pas de ciné sans carte) ou bien carrément suppression carte avec prêt autonome avec identification (ID MDP). Les solutions intermédiaires sont possibles, mais nécessitent une capacité d'accueil pour gérer les cartes perdus, oubliées. Qu'en pensez-vous ? cdlt, Fred

Bonjour, Merci beaucoup pour votre réponse. Bien cordialement

Bonjour, Je travaille sur le secteur bande dessinée d'une collectivité. Nous aimerions effectuer un escape game en mélangeant des bandes dessinées et le jeu "Nouvelle contrée". Avez vous déjà construit une animation en bibliothèque, avec ce jeu ? Si oui, que cela soit avec des bandes dessinées ou avec d'autres documents, votre aide sera bénéfique. Merci de votre expérience. E.C

Bonjour, je vous remercie pour vos retours mais cela n'a pas résolu le problème. La BDP m'a confirmé que cela était un problème interne. J'ai une collègue qui a souscrit à l'assistance mail. Elle a soumit le problème et le retour du mail dit "le code de la bibliothèque a été changé" (3ère lettre de la bib) ??? De plus, je constate que dans la phase "importation", sur l'onglet "bibliothèque", aucun nom de bibliothèque apparaît. Les livres sont bien enregistrés sur mon logiciel Waterbear car ils sont en prêt mais le retour est impossible. Ou alors il faut que je mette à jour chaque exemplaire qui ne passe pas en retour avec l'icône en haut à gauche puis le repasser en retour. Problématique ... D'avance merci pour vos retour. Raoul

Bonjour, Je travaille actuellement sur la valorisation des fonds patrimoniaux des bibliothèques territoriales (principalement), ou BU, services d'archives, musées, etc. et j'enquête sur l'importance ou non des partenariats pour mieux valoriser ces fonds. Cela m'aiderait que vous remplissiez ce questionnaire (5 à 10 mn max) : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSc8fZkNHwue6gaXaiSfJO9o4J4KcLctMUeTF7m7ccf5GVxxSQ/viewform?usp=sf_link Je l'ai aussi diffusé sur Bibliopat. J'enverrai les résultats de mes recherches à ceux qui sont intéressés. Merci à tous !

Les jours fériés sont comptés dans un "forfait" de 8 jours Comment calculer les 1607 heures ? 35 heures x 52 semaines = 1820 h (le temps rémunéré sur l’année). Détermination du nombre d’heures travaillées: Nombre de jours non travaillés : Repos hebdomadaire : 2j x 52 semaines = 104 jours Congés annuels : 25 j Jours fériés : 8 jours (forfait) Soit un TOTAL : 137 jours non travaillés Nombre de jours dans l’année : 365 jours Nombre de jours à travailler : 365 – 137 = 228 jours ⇒ 228 jours x 7 heures = 1596 heures, arrondies à 1600 heures. ⇒ Ajout de la journée de solidarité de 7h, soit un total de 1607 h. Par principe, les congés légaux sont donc composés des congés annuels (5 x les obligations hebdomadaires), les jours ARTT, les jours de fractionnements.

Merci Liemena, j'espère que la chance sera de mon côté cette fois-ci. Entre temps j'ai démissionné de l'éducation nationale, plus de souci de catégorie du coup. Je vais me rendre sur place avec mon petit carnet et poser des questions comme à mon habitude. Je vous ferai un retour mais j'ai l'impression que c'est un poste couteau suisse. Ce qui me plaît d'ailleurs. Et une toute petite médiathèque. Dans mes souvenirs le village est peu peuplé.

Félicitations ! Tiens-nous au courant.

Me revoilà, même joueuse joue encore! J'avais postulé il y a deux mois, avant de me décider à ne plus le faire. Bref, je vais quand même préparer cet entretien. Je vous mets la fiche de poste en lien. https://www.livre-provencealpescotedazur.fr/la-vie-du-livre/offres-d-emplois/adjoint-du-patrimoine-saint-andiol

Bonjour à toutes et à tous, Cela fait un moment que je n'ai pas posté, mais la proximité du lundi de Pâques m'a inspiré. Sur les 11 dernières années, j'ai fait un rapide calcul du nombre de jours fériés qu'un agent travaillant du lundi au vendredi possède, et l'ai comparé à celui d'un agent travaillant du mardi au samedi. Eh bien, en moyenne, les premiers ont 8,9 jours fériés par an et les seconds 6,45, conséquence des lundis de Pâques et de Pentecôte. Qu'en pensez-vous ? Bonne journée. Q

En soi, aucun profil n'est rédhibitoire, mais après 10 ans d'arrêt et passée la cinquantaine, et après avoir perdu le statut de fonctionnaire, on se retrouve en concurrence avec des candidats formés et plus jeunes, un marché de l'emploi qui a beaucoup changé à la baisse, et une perte de competences d'autant plus forte que ces 10 dernières années ont été celles de l'invasion du numérique, ce qui a profondément modifié les profils de poste et les mentalités des professionnels, en tous cas bien plus que les décennies précédentes. Par ailleurs un jury de recrutement, ayant accepté le fait de l'arrêt pour raisons d'education d'un 'enfant, trouvera par contre un peu faiblarde la motivation essentielle que tu cites:" le service public me manque" et considèrera que le fait de créer son entreprise et de la gérer 10 ans, pour finalement revenir en bib faire de l'animation, pose aussi un certain flou en termes de motivation... Les compétences ça s'acquiert toujours. Convaincre un jury, avec ton parcours, c'est beaucoup plus problématique ...