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Un café et une présentation, siouplait !


Melandria

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il y a 11 minutes, B. Majour a dit :

Parce que ce sont des techniques Ferris, 

Pour ne pas mourir idiot, utilise youtube et tape ces mots.

 

Ce ne sont pas des techniques ce ne sont qui les mots qui les désignent. Ne pas confondre.

Je préfère mourir de cette inculture là que de crever d'indigestion de ces anglicismes qui vous étouffent et, souvenez-vous en toujours, l'Abbé, ne sont entendus que par bien peu de gens dans la vraie vie.

 

Pourquoi a-t'on réellement supprimé la messe en latin il y a 50 ans ? Pour faire moderne ? Non, pour garder du monde, parce que personne n'y entendait plus rien. Au point qu' il était  indispensable d'avoir un missel bilingue latin-français pour suivre tant soit peu la messe! Il était grand-temps d'adopter une langue vivante....

 

Moi je l'ai, je parle le français.

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@B. Majour

En bib, c'est comme dans une classe, tu es exposé à un paquet de microbes, virus en tous genres... Entre les mouflets, les SDF, les vieux, les jeunes... c'est un vrai bouillon de culture!

 

@Ferris

alors pour la gale, je t'arrête tout de suite, quand tu as une épidémie, pas le choix; il faut TOUT désinfecter, mobilier compris! Je précise toutefois que c'était une situation extra-ordinaire...

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Il y a 18 heures, Ferris a dit :

Bonjour et bienvenue sur ce forum ! Un café ?

 

Tout d'abord, quand on fait une citation, on la donne complète et on cite son auteur ou présumé tel. En l'occurrence il s'agit d'une phrase de Georges Clemenceau, qui disait: « Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés ».

 

Ensuite il faut replacer le fait d'aller travailler avec la crève dans un certain contexte, que certains d'entre nous ont connu ou connaissent encore : Nombreux sont les collègues des petites bibliothèques, ou des annexes de quartier qui travaillent seuls. En cas d'arrêt maladie, bien souvent, la bibliothèque est fermée et c'est tant pis pour le public. C'est en théorie de moins en moins fréquent avec le phénomène intercommunal où, en principe, le fonctionnement prévoit un remplacement. Idem pour certaines structures avec de rares bénévoles qui ne sont pas non plus corvéables à merci ni toutes capables de faire de l'accueil informatisé. Certains d'entre nous, et j'en suis, ont ainsi au fil du temps, développé une "culture de la présence obligatoire", qui certes ne nous est pas imposée, mais qui fait partie de notre code génétique si l'on peut dire, de notre "logiciel" diraient d'autres. Enfin cela reste vrai pour certains d'entre nous et dans certaines conditions de travail ou un vécu plus ancien dont on ne se débarrasse pas comme ça. Et je l'ai vécu. Le public d'abord.

 

Ceci dit il ne s'agit pas de s'envoyer des fleurs. Ni de tout mélanger : les maladies contagieuses et représentant un réel danger pour autrui ne sont pas à mettre sur le même plan que la gastro ou l'angine. Voire les poux ou la gale. Où a t'on vu fermer une école parce qu'un môme a des poux ?

Qu'il me soit tout de même permis de regretter que ce type d'attitude ne soit pas plus présent chez les enseignants, qui s'arrêtent une semaine pour un gros rhume, sachant fort bien qu'ils ne seront pas remplacés. Nous avons tous vécu ces absences en tant qu'élèves. 5 ans parmi eux m'ont permis de me faire une idée précise de leur "logiciel". Nous n'avons pas le même et ne l'aurons jamais.

 

Mes lecteurs sont mes amis. Ils sont là parce que ça leur fait plaisir. Mes élèves non. Ils sont là, c'est tout. Sinon on leur lait sauter les allocs ...

 

Un thé, merci.

 

Si je suis seule et que j'ai simplement un gros rhume, je viens et je passe mes journées à tousser et à me moucher. Si j'ai une gastro carabinée, je ne vois pas comment je pourrais être utile à des lecteurs en passant ma journée au-dessus des WC. Si j'ai le dos complètement bloqué au point de ne pas pouvoir marcher, ben je ne peux pas marcher. 

 

Je ne connais aucun enseignant qui s'arrête pour un rhume. J'en connais plutôt qui viennent avec leur bras dans le plâtre, qui écrivent de la main gauche au tableau alors qu'ils sont droitiers et qui se bourrent de cachets contre la douleur, des qui viennent en béquilles après s'être fait une entorse parce que tombés de cette fichue estrade à la noix, qui viennent travailler presque aphones, qui prennent des tranquillisants avant d'entrer en classe plutôt que de s'arrêter une petite semaine afin de souffler. Je suis allée travailler aphone, j'ai remarqué que de toute façon, vu que je ne pouvais pas me faire entendre, le cours était perdu. Je suis allée travailler avec une gastro, mes collègues ont vu ma délicieuse couleur verte et m'ont renvoyée chez moi, ils ont bien fait. 

Et si, étant bibliothécaire et encadrant une équipe, je vois arriver un agent plié en deux de douleur, ou avec une pâleur cadavérique, ou que sais-je, je le renverrai chez-lui fissa en lui souhaitant un bon rétablissement. Idem s'il est en larmes parce qu'un de ses amis est décédé. Même si on est en plein récolement. Il y a une vie en dehors du travail. Le service public est un métier merveilleux, c'est celui que je veux faire, mais chacun a le droit d'avoir une vie et personne n'a à la sacrifier. 

 

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Il y a 18 heures, Ferris a dit :

Bonjour et bienvenue sur ce forum ! Un café ?

 

Tout d'abord, quand on fait une citation, on la donne complète et on cite son auteur ou présumé tel. En l'occurrence il s'agit d'une phrase de Georges Clemenceau, qui disait: « Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés ».

 

Ensuite il faut replacer le fait d'aller travailler avec la crève dans un certain contexte, que certains d'entre nous ont connu ou connaissent encore : Nombreux sont les collègues des petites bibliothèques, ou des annexes de quartier qui travaillent seuls. En cas d'arrêt maladie, bien souvent, la bibliothèque est fermée et c'est tant pis pour le public. C'est en théorie de moins en moins fréquent avec le phénomène intercommunal où, en principe, le fonctionnement prévoit un remplacement. Idem pour certaines structures avec de rares bénévoles qui ne sont pas non plus corvéables à merci ni toutes capables de faire de l'accueil informatisé. Certains d'entre nous, et j'en suis, ont ainsi au fil du temps, développé une "culture de la présence obligatoire", qui certes ne nous est pas imposée, mais qui fait partie de notre code génétique si l'on peut dire, de notre "logiciel" diraient d'autres. Enfin cela reste vrai pour certains d'entre nous et dans certaines conditions de travail ou un vécu plus ancien dont on ne se débarrasse pas comme ça. Et je l'ai vécu. Le public d'abord.

 

Ceci dit il ne s'agit pas de s'envoyer des fleurs. Ni de tout mélanger : les maladies contagieuses et représentant un réel danger pour autrui ne sont pas à mettre sur le même plan que la gastro ou l'angine. Voire les poux ou la gale. Où a t'on vu fermer une école parce qu'un môme a des poux ?

Qu'il me soit tout de même permis de regretter que ce type d'attitude ne soit pas plus présent chez les enseignants, qui s'arrêtent une semaine pour un gros rhume, sachant fort bien qu'ils ne seront pas remplacés. Nous avons tous vécu ces absences en tant qu'élèves. 5 ans parmi eux m'ont permis de me faire une idée précise de leur "logiciel". Nous n'avons pas le même et ne l'aurons jamais.

 

Mes lecteurs sont mes amis. Ils sont là parce que ça leur fait plaisir. Mes élèves non. Ils sont là, c'est tout. Sinon on leur lait sauter les allocs ...

 

Un thé, merci.

 

Si je suis seule et que j'ai simplement un gros rhume, je viens et je passe mes journées à tousser et à me moucher. Si j'ai une gastro carabinée, je ne vois pas comment je pourrais être utile à des lecteurs en passant ma journée au-dessus des WC. Si j'ai le dos complètement bloqué au point de ne pas pouvoir marcher, ben je ne peux pas marcher. 

 

Je ne connais aucun enseignant qui s'arrête pour un rhume. J'en connais plutôt qui viennent avec leur bras dans le plâtre, qui écrivent de la main gauche au tableau alors qu'ils sont droitiers et qui se bourrent de cachets contre la douleur, des qui viennent en béquilles après s'être fait une entorse parce que tombés de cette fichue estrade à la noix, qui viennent travailler presque aphones, qui prennent des tranquillisants avant d'entrer en classe plutôt que de s'arrêter une petite semaine afin de souffler. Je suis allée travailler aphone, j'ai remarqué que de toute façon, vu que je ne pouvais pas me faire entendre, le cours était perdu. Je suis allée travailler avec une gastro, mes collègues ont vu ma délicieuse couleur verte et m'ont renvoyée chez moi, ils ont bien fait. 

Et si, étant bibliothécaire et encadrant une équipe, je vois arriver un agent plié en deux de douleur, ou avec une pâleur cadavérique, ou que sais-je, je le renverrai chez-lui fissa en lui souhaitant un bon rétablissement. Idem s'il est en larmes parce qu'un de ses amis est décédé. Même si on est en plein récolement. Il y a une vie en dehors du travail. Le service public est un métier merveilleux, c'est celui que je veux faire, mais chacun a le droit d'avoir une vie et personne n'a à la sacrifier. 

 

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Il y a 19 heures, Ferris a dit :

Bonjour et bienvenue sur ce forum ! Un café ?

 

Tout d'abord, quand on fait une citation, on la donne complète et on cite son auteur ou présumé tel. En l'occurrence il s'agit d'une phrase de Georges Clemenceau, qui disait: « Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés ».

 

Ensuite il faut replacer le fait d'aller travailler avec la crève dans un certain contexte, que certains d'entre nous ont connu ou connaissent encore : Nombreux sont les collègues des petites bibliothèques, ou des annexes de quartier qui travaillent seuls. En cas d'arrêt maladie, bien souvent, la bibliothèque est fermée et c'est tant pis pour le public. C'est en théorie de moins en moins fréquent avec le phénomène intercommunal où, en principe, le fonctionnement prévoit un remplacement. Idem pour certaines structures avec de rares bénévoles qui ne sont pas non plus corvéables à merci ni toutes capables de faire de l'accueil informatisé. Certains d'entre nous, et j'en suis, ont ainsi au fil du temps, développé une "culture de la présence obligatoire", qui certes ne nous est pas imposée, mais qui fait partie de notre code génétique si l'on peut dire, de notre "logiciel" diraient d'autres. Enfin cela reste vrai pour certains d'entre nous et dans certaines conditions de travail ou un vécu plus ancien dont on ne se débarrasse pas comme ça. Et je l'ai vécu. Le public d'abord.

 

Ceci dit il ne s'agit pas de s'envoyer des fleurs. Ni de tout mélanger : les maladies contagieuses et représentant un réel danger pour autrui ne sont pas à mettre sur le même plan que la gastro ou l'angine. Voire les poux ou la gale. Où a t'on vu fermer une école parce qu'un môme a des poux ?

Qu'il me soit tout de même permis de regretter que ce type d'attitude ne soit pas plus présent chez les enseignants, qui s'arrêtent une semaine pour un gros rhume, sachant fort bien qu'ils ne seront pas remplacés. Nous avons tous vécu ces absences en tant qu'élèves. 5 ans parmi eux m'ont permis de me faire une idée précise de leur "logiciel". Nous n'avons pas le même et ne l'aurons jamais.

 

Mes lecteurs sont mes amis. Ils sont là parce que ça leur fait plaisir. Mes élèves non. Ils sont là, c'est tout. Sinon on leur lait sauter les allocs ...

 

Un thé, merci.

 

Si je suis seule et que j'ai simplement un gros rhume, je viens et je passe mes journées à tousser et à me moucher. Si j'ai une gastro carabinée, je ne vois pas comment je pourrais être utile à des lecteurs en passant ma journée au-dessus des WC. Si j'ai le dos complètement bloqué au point de ne pas pouvoir marcher, ben je ne peux pas marcher. 

 

Je ne connais aucun enseignant qui s'arrête pour un rhume. J'en connais plutôt qui viennent avec leur bras dans le plâtre, qui écrivent de la main gauche au tableau alors qu'ils sont droitiers et qui se bourrent de cachets contre la douleur, des qui viennent en béquilles après s'être fait une entorse parce que tombés de cette fichue estrade à la noix, qui viennent travailler presque aphones, qui prennent des tranquillisants avant d'entrer en classe plutôt que de s'arrêter une petite semaine afin de souffler. Je suis allée travailler aphone, j'ai remarqué que de toute façon, vu que je ne pouvais pas me faire entendre, le cours était perdu. Je suis allée travailler avec une gastro, mes collègues ont vu ma délicieuse couleur verte et m'ont renvoyée chez moi, ils ont bien fait. 

Et si, étant bibliothécaire et encadrant une équipe, je vois arriver un agent plié en deux de douleur, ou avec une pâleur cadavérique, ou que sais-je, je le renverrai chez-lui fissa en lui souhaitant un bon rétablissement. Idem s'il est en larmes parce qu'un de ses amis est décédé. Même si on est en plein récolement. Il y a une vie en dehors du travail. Le service public est un métier merveilleux, c'est celui que je veux faire, mais chacun a le droit d'avoir une vie et personne n'a à la sacrifier. 

 

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Il y a 17 heures, Louve a dit :

@B. Majour

En bib, c'est comme dans une classe, tu es exposé à un paquet de microbes, virus en tous genres... Entre les mouflets, les SDF, les vieux, les jeunes... c'est un vrai bouillon de culture!

 

Tout à fait, Louve, mais en général les scolaires ne restent pas à la bibliothèque toute la journée.

On peut encore passer (? ou espérer passer) au travers, entre deux averses de microbes.

 

Et on peut aérer entre deux passages de classes. Difficile à faire quand tu as trente "mouflets" dans la classe qui sont déjà atteints.

 

 

il y a 27 minutes, Babarette a dit :

Si j'ai une gastro carabinée, je ne vois pas comment je pourrais être utile à des lecteurs en passant ma journée au-dessus des WC.

 

Oh, Babarette, en ayant un trône portatif bien sûr.

Et quelques pinces à linges. :drool:

Plus facile à faire en robe qu'en pantalon, je te l'accorde.  :frantics:

 

Il y a 15 heures, Ferris a dit :

Juste pour faire chier le monde En matière de protection des données personnelles RGDP: dois-je noter que tel ou tel groupe ou individu fréquentant la bibliothèque est régulièrement porteur de maladies parasitaires ?

 

Si c'est pour obtenir des douches de décontamination à l'entrée de la bibliothèque, ce peut être utile effectivement.

 

Mais pas besoin d'invoquer le RGPD, un groupe n'est pas un individu et tant que l'information n'est pas nominale, tu n'as pas à t'ennuyer avec les données personnelles.

 

Tu feras quand même attention aux porteurs sains. Ceux qui sont cleans, propres et tout et tout... mais qui trimballent quand même les microbes.

Une maman dont l'enfant a la scarlatine est porteuse de la scarlatine. Même si elle passe toute seule à la bibliothèque.

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(...)  Pour ce médecin, la situation est simple et presque caricaturale. "Je constate que certains profs, lorsqu’ils ont le nez qui coule et qu’ils ont un peu mal à la gorge, me demandent assez facilement un arrêt maladie. Et quand je leur demande leur profession, ils m’expliquent qu’ils sont profs. Cela concerne tous les niveaux: au collège, au lycée, et ils s’arrêtent le lendemain. Je leur demande ‘mais vous êtes remplacés’ ? Ils me répondent ‘bah non’, et ça ne leur fait ni chaud ni froid", a-t-il décrit.

 

(...) Sans céder à la généralisation, il s’est pour autant montré favorable au rétablissement de ce jour de carence pour les fonctionnaires. "Tous les profs ne s’arrêtent pas pour un oui ou pour un non, mais j’ai quand même l’impression que certains ont une facilité à s’arrêter. Ce jour de carence va les faire un peu aller travailler. Et puis c’est pour le bien de tout le monde".

 

A voir dans un article sur le rétablissement du jour de carence.https://rmc.bfmtv.com/emission/jour-de-carence-certains-profs-qui-ont-le-nez-qui-coule-me-demandent-un-arret-de-travail-1211943.html

 

Et puis le rapport de la Cour des comptes est assez éloquent Contrairement à ce que l’on aurait pu croire, un rapport de la Cour des comptes montre que les enseignants cumulent plus de jours d’absence que leurs élèves. 13,5 millions de journées d’absence !

Ce nombre parait tout bonnement incroyable, même lorsqu’il nous apparaît sous les yeux à la page 70 du rapport. Il convient tout de même de le nuancer puisqu’en 2014, la France comptait 861 000 enseignants. Ce qui donne une moyenne de près de 16 jours d’absence par an par enseignant. A titre de comparaison donc, sur la même année, le taux d’absentéisme chez les élèves n’atteignait que 4,4%, soit environ 4 demies-journées par mois. 

Si la moyenne du secteur est plus basse que la moyenne nationale (11,4 jours par an par professeur contre 13,5 jours en moyenne), elle est beaucoup plus concentrée car le nombre annuel de jours de travail est réduit. Ainsi, ce sont 26,5% des enseignants qui ont pris des congés maladie contre 13,3% dans les autres administrations. 

https://www.entreprise.news/enseignants-cumulent-plus-dabsences-leurs-eleves/

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Il y a 6 heures, Babarette a dit :

Et si, étant bibliothécaire et encadrant une équipe, je vois arriver un agent plié en deux de douleur, ou avec une pâleur cadavérique, ou que sais-je, je le renverrai chez-lui fissa en lui souhaitant un bon rétablissement. Idem s'il est en larmes parce qu'un de ses amis est décédé. Même si on est en plein récolement. Il y a une vie en dehors du travail. Le service public est un métier merveilleux, c'est celui que je veux faire, mais chacun a le droit d'avoir une vie et personne n'a à la sacrifier. 

 

 

Non Barbarette, tu ne le renverras pas fissa chez lui, tu n'en as pas le droit. Tu lui conseilleras peut-être, lui proposeras et surtout tu écouteras ce qu'il souhaite lui parce qu'il faut aussi le prendre en compte.  C'est un équilibre délicat.

Peut-être l'agent qui vient de perdre un être cher voudra-t'il travailler pour être actif, dans le jus, et peut-être cela lui fera t'il du bien. Chacun sa manière de vivre les choses.

Par rapport aux maladies, peut-être l'agent n'aura t'il pas souscrit de prévoyance, peut-être sera t'il proche du demi traitement s'il est en arrêt de travail, peut-être aussi qu'une journée de carence sur son salaire c'est déjà trop.

 

Modifié par Louve
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il y a 11 minutes, B. Majour a dit :

Oh, Babarette, en ayant un trône portatif bien sûr.

 

Ah la bonne vieille chaise percée! 

https://www.careserve.fr/chambre-salon/chaises-percees/chaises-percees-fixes/p/chaise-percee-confort-avec-siege-de-toilette-rembourre?gclid=EAIaIQobChMIycKOt6qz3gIV6b3tCh1orATiEAQYASABEgI1BPD_BwE

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il y a 1 minute, Ferris a dit :

Tout cela est donc une fois de plus purement sexuel. Donc, chers collègues, avec vos lectrices et lecteurs, je prescris des rapports très courts et protégés, totalement habillés, et seulement 3 jours après le début du traitement du partenaire suspect. Les rapports courts feront de plus la joie des éjaculateurs précoces.

 

pffff... si on ne peut plus s'amuser avec le public entre 2 dossiers administratifs, que va t'il nous rester cher Dr Ferris?

Nous allons devoir nous rabattre sur des substituts, utiliser des livres? Moins drôle...

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il y a 5 minutes, Ferris a dit :

L'avenir s'annonce donc radieux.

 

Pas assez tradi, bio, natur pour moi! :ahappy:

Et puis me connaissant, je serai capable de faire dérailler la machine!

Il y a plusieurs années j'étais allée à la cité de la villette à l'expo "La biométrie, le corps identifié". J' ai fait tourner bourrique les médiateurs car avec moi rien ne marchait: rétine, reconnaissance faciale... tout buguait!

 

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il y a 2 minutes, Ferris a dit :

Tout cela est donc une fois de plus purement sexuel

 

C'est vrai !  :wub:

 

Travailler en bibliothèque, c'est sexe !

 

Est-ce que je peux proposer différentes marques de préservatifs sur ma banque d'accueil pour présenter une image plus glamour des bibliothèques ?

 

 

il y a 11 minutes, Louve a dit :

Nous allons devoir nous rabattre sur des substituts, utiliser des livres? Moins drôle...

 

Des magazines, Louve, des magazines, c'est moins dangereux... au moins pour les hommes ! :hyper:

 

La solution de Ferris est intéressante. Au n'empruntera plus seulement des documents, mais des partenaires sexuels à la bibliothèque.

Des partenaires enregistrés ?

 

Sacrée collection d'avenir en perspective !

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il y a une heure, Louve a dit :

 

Non Barbarette, tu ne le renverras pas fissa chez lui, tu n'en as pas le droit. Tu lui conseilleras peut-être, lui proposeras et surtout tu écouteras ce qu'il souhaite lui parce qu'il faut aussi le prendre en compte.  C'est un équilibre délicat.

 Peut-être l'agent qui vient de perdre un être cher voudra-t'il travailler pour être actif, dans le jus, et peut-être sera lui fera t'il du bien. Chacun sa manière de vivre les choses.

Par rapport aux maladies, peut-être l'agent n'aura t'il pas souscrit de prévoyance, peut-être sera t'il proche du demi traitement s'il est en arrêt de travail, peut-être aussi qu'une journée de carence sur son salaire c'est déjà trop.

 

 

Je le lui conseillerai donc très fortement. Cela dit, je suis contre le jour de carence, contrairement à Ferris qui ne rate pas la moindre occasion de taper sur les enseignants et n'hésite pas à citer les grands intellectuels de BFM TV pour appuyer ses propos haineux. 

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Et le rapport de la Cour des Comptes qui est aussi plein de propos haineux, bien entendu :wink:

Pauvre Babarette, tu n'es plus que haine et ressentiment, tu n'as plus la moindre capacité d'objectivité, aucun humour, mais je ne deviendrai pas ton bouc émissaire, trop facile. C'était ta dernière chance. C'est terminé.

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Il y a 19 heures, Babarette a dit :

Je le lui conseillerai donc très fortement. Cela dit, je suis contre le jour de carence, contrairement à Ferris qui ne rate pas la moindre occasion de taper sur les enseignants et n'hésite pas à citer les grands intellectuels de BFM TV pour appuyer ses propos haineux. 

 

Le jour de carence est là, c'est un fait. Cela m'étonnerait que l'on revienne en arrière; quand ils le peuvent certains posent un jour de congé -quoique sacrifier 1 jour de CA sur 25, c'est cher payé-  ou alors un jour de RTT pour ceux qui en ont. 

Sincèrement un malade en plein récolement ce n'est pas un gros souci! Non le souci c'est pendant les vacances scolaires alors que l'effectif est réduit et le public nombreux. Là c'est du sport! 

N'oublies pas non plus que le taux d'absentéisme est un indicateur pris en compte par les RH, la hiérarchie, la cour des comptes... Si tu peux expliquer un taux important par une équipe vieillissante, ou manque de chance une équipe composée de gens très fragiles, tant mieux, sinon c'est le début de grandes discussions!

 

Tu apprendras aussi comment fonctionne l'équipe, les gens. Un nouvel encadrant peut impulser une dynamique différente, toutefois, tu verras que certains fonctionnements ou dysfonctionnements sont ancrés de si longue date que certains pensent que c'est un droit acquis! :ahappy:

 

Dans les exemples de caractère:

  • machinette dont on sait qu'elle sera souffrante pour au moins 15 jours si on lui fait une remarque et qui elle a une prévoyance. Il faut donc doser ses remarques  
  • machin qui est toujours souffrant 6 mois - 1 jour
  • bidule chouette qui considère que SA vie personnelle est le centre de tout et qui veut que l'on organise ses plages de service public en fonction des heures de cours de fifille (grande fifille désormais étudiante mais rien ne change), fifille qui évidemment  jusqu'à ses 16 ans était souffrante 12 jours/an
  • trucmuche qui a de gros soucis, mais le médecin du travail préfère qu'il continue à être en poste et à toi de te démerder pour le faire bosser tout en respectant les restrictions

N'oublies jamais non plus que tu seras face à des adultes, que tu atterriras  peut-être dans une collectivité "pasdevague" où  tu ne seras pas  soutenue si untel est insupportable à moins que tu ne fasses régulièrement des notes de recadrage toujours basées sur du factuel. Pour peu que tes prédécesseurs n'aient jamais rien signalé, voire aient rédigé de bonnes évaluations (c'est tous les ans les évaluations) pour avoir la paix, tu auras du pain sur la planche!

 

Toutes ces questions d'encadrement ne me posent pas de problème, j'aime le faire et je le savais avant même d'avoir eu le concours. 

J'ai aussi mon idée de ce qu'est une bibliothèque, je n'ai jamais eu le désir d'édifier les foules, j'aime que les bibliothèques soient le lieu où des gens très différents se posent, se rencontrent. Je sais que je ne proposerai pas de conférence sur Kierkegaard mais qu'une conférence sur les films d'horreur fonctionnera.  

Modifié par Louve
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Sans doute, Louve. Et je sais très bien qu'on ne reviendra pas sur le jour de carence. Qu'il me soit permis de trouver scandaleux de punir les gens parce qu'ils osent être malades.

 

En plein récolement ou pendant les vacances scolaires pour l'accueil du public, le problème est le même si un agent vient travailler en étant très malade. Est-ce que le collègue qui a le dos bloqué et qui marche avec difficulté peut ranger? Non. Est-ce que c'est une bonne idée qu'il reste assis sur des chaises qui pourraient être bien plus confortables, tout en grimaçant (pas très accueillant n'est-ce pas)? Non plus. Je préfère que quelqu'un se soigne pendant trois jours plutôt qu'il s'absente trois semaines à cause de complications (version cadre) et je préfère que quelqu'un s'impose le moins de souffrance possible (version individu altruiste).

 

Pour ce qui est des emmerdeurs, il y en aura. J'ai déjà connu les emmerdeurs, voire pire que ça (il y a la version pervers Big Brother et la version chef mou qui ne tient pas ses engagements). Mais tu fais bien d'en parler, c'est sûr.

 

Pour l'autre barbon qui, en plus, vient se poser en victime, ma foi, je me fiche de ne pas avoir su saisir ma "chance" (de quoi donc?). J'ai d'autres buts dans la vie que de plaire à quelqu'un que je ne connais pas et qui, manifestement, a posé un jugement définitif (oh, une prof qui se reconvertit? Une planquée, vite, lynchons-là).

Ne te plains pas que les gens ne participent pas au forum si tu traites les membres de cette façon.

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Concernant le jour de carence, l’étude de l'INSEE portant sur la période 2012/2014 a montré que cela a  a modifié la répartition des absences par durée. En particulier, les absences pour raison de santé de deux jours ont fortement diminué, tandis que celles d’une semaine à trois mois ont augmenté. La mesure a également eu des effets hétérogènes : les absences courtes ont davantage baissé chez les femmes, chez les jeunes et chez les employés travaillant peu de jours par semaine. Plus précisément, le jour de carence aurait fait augmenter de 25 % la prévalence des absences d'une semaine à trois mois.

 

Autrement dit, les fonctionnaires sont des petits malins : quitte à s'arrêter et perdre une journée de salaire, autant que ça vaille le coup. Alors on augmente la durée de l'arrêt avec des médecins complaisants. Par ailleurs les médecins prescrivant trop facilement des arrêts de travail sont bien connus dans les villes et peuvent être dénoncés.

 

Mais l'INSEE, comme la Cour des Comptes, ne sont que des petits cercles haineux et méprisables, c'est bien connu.:angel:

Modifié par Ferris
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Il y a 4 heures, Ferris a dit :

EDIT. Enfin, au cas où, j'ai toujours un code barres tatoué sur le poignet. Je suis enregistré comme support "matériel d'animation", quelquefois qu'une lectrice aurait une grosse envie de médiation...Le public d'abord, comme je dis toujours.

 

Et si c'est un lecteur qui veut sa grosse envie de médiation ?  :frantics:

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il y a 14 minutes, B. Majour a dit :

 

Et si c'est un lecteur qui veut sa grosse envie de médiation ?  :frantics:

 

M'enfin l'Abbé, et la poldoc???

Il y en aura pour tous les goûts! :ike:

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