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Lauréats sans expérience, reçus-collés et sac d'espoir


calire

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Bonjour tous,


 


Vos échanges vont bien trop vite pour moi et le temps que je lise le forum, toute réponses que je pourrais apporter me semble quelque peu obsolète tant il s'est dit de choses entre temps.


Tant pis, je tente, parce que là ça me tient à coeur.


 


Ferris :


J'ai trop expérimenté de bibliothèques trop cloisonnées où la jeunesse dans sa section ignore tout du fonctionnement de la section adulte, non pas qu'elle ne veuille pas mais plutôt qu'on le lui refuse, trop contente parfois d'aller y donner un coup de main pour le prêt-retour mais c'est bien tout ce qu'on leur accorde... où les adultes ignorent tout de la section jeunesse parce qu'il ne veulent rien savoir et vont y donner un coup de main en trainant des pieds. et je ne te parle même pas de la discothèque qui vit en vase clos et veut bien encore savoir ce qui se passe en adulte mais quand même, la jeunesse, faut pas pousser.


et pourtant : les enfants ont des parents qui fréquentent toutes les sections, devraient pouvoir poser des questions et trouver des réponses partout sans être pris pour des balles de ping-pong. Les enfants vont grandir, devenir ado puis adulte. Si on les perd à l'adolescence, n'est ce pas aussi parce qu'un trop grand cloisonnement ne fait rien pour faciliter la transition ? Ces ados, qui effectivement, ne devraient pas être un public des sections jeunesse mais dont les sections adultes ne veulent souvent pas ... ils devraient être l'affaire de toute la bibliothèque et non d'un seul référent dans quelque section que ce soit.


 


A mes yeux, le bibliothécaire est un généraliste. sa principale qualité devrait être la curiosité et l'ouverture d'esprit, parce qu'il en faut pour pouvoir répondre à toutes les questions qu'on lui pose. Ensuite vient la méthode : la veille, la pol doc, la connaissance du public. Je considère que tout cela peut se faire sans connaissance préalable du fonds dont on s'occupe.


Je suis bibliothécaire. j'ai été nommé en jeunesse alors que mes études et mon parcours antérieur n'avait absolument rien à voir. j'ai appris, maintenant, j'adore. J'ai souhaité ensuite travaillé en adulte, parce que quand même je voulais voir. je ne suis pas musicologue mais j'aimerais travailler en discothèque un jour sans qu'on me répondent que je ne suis pas discothécaire.


Pour moi la bibliothèque idéale est décloisonnée au maximum et, en effet si un collègue en adulte a des talents pour lire des histoires aux enfants il doit le faire. Et si la collègue jeunesse a fait de l'histoire de l'art, on devrait lui demander son avis dans les acquisitions en 700.


Encore que, personnellement, je ne souhaiterais pas avoir à m'occuper d'un fonds qui rejoins le domaine de mes études. j'ai trop conscience d'avoir des connaissances pointues, inutiles pour les lecteurs de ma bib, des exigences qui n'ont pas leur place en BM (des coll peut réputées en milieu universitaire mais très populaires en BM, etc...), bref, j'ai plein de biais et, même en en ayant conscience, je ne sais pas si j'arriverai à faire la part des choses en prenant une décision d'acquisition. D'ailleurs, je connais beaucoup de musiciens critiqués en discothèque car considérés comme élitistes... j'aime autant m'occuper d'un fonds dont je ne connais rien, ça demande du travail mais cela garanti plus de neutralité.


 


A propos de décloisonnement, il y a des moyens d'organiser cela de manière à ce que chacun puisse participer selon ses compétences et ces envies mais en maintenant la présence d'un référent. L'organisation de la BM de Viroflay, fut un temps, le permettait (je vais essayer de mettre la main dessus un peu plus tard). Pour moi, c'est une garantie de la qualité de l'accueil parce qu'ainsi, tout le monde peut répondre à des questions de premier niveau, quitte à renvoyer sur un référent en dernier recours... et on évite de prendre l'usager pour une balle de ping-pong en lui faisant comprendre qu'ici on est en discothèque madame alors didier jeunesse ? c'est qui cet éditeur ? il fait de la musique ?


 


voilà ;-)


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On est 100% d'accord Michmaa. Simplement on donne; depuis le débat de cette conversation, les uns et les autres, un sens étrange à "généraliste". Pour moi le genéraliste c'est le porteur de projet d'établissement, celui qui a la vision globale du service. Celui qui sait où va ce train. Et, tu as raison, il n'est pas indispensable qu'il soit chargé d'un secteur.


 


Tu dénonces à juste titre l'accaparement de certains secteurs, publics ou fonds par des "spécialistes". Et au risque de tomber en plus dans l'élitisme si leur secteur correspond à leur formation ou goûts personnels. Mais là on est dans une question de management, simplement. Pas dans une question de recrutement. Je préfère recruter un diplômé de musicologie qu'un inconnu de 22 ans qui aura les goûts des gens de 22 ans et tentera aussi de les imposer au public. Et c'est du vécu, tu peux me croire! Le musicologue devra apprendre ce qu'est le service public et le respect de tous les publics. C'est faisable, avec un bon chef de train aux commandes. Mais au moins il aura toutes les bases. Tandis que le jeune fanatique de metal ou d'electro n'achètera du Vivaldi que pour te faire plaisir. ou pour répondre à des quotas. Mais ce type de discothécaire aura fait fuir pas mal d'usagers avant de comprendre ce que devait être le pluralisme en musique, ou ce que tu appelles la neutralité.


 


En fait tu fais l'apologie de la collégialité en matière de décisions d'acquisition. Et de la transversalité à travers un certain décloisonnement. Et c'est possible. Mais dans des équipes réduites. Et là encore, comme pour "généraliste", cessons d'employer des mots trop larges comme "polyvalence". Le décloisonnement (qui va aussi de pair avec la volonté de faire un espace intergénérationnel) sera une des bases de la future médiatheque. J'envie ceux qui bénéficieront d'espace totalement décloisonnés, et dont les seules cloisons seront constituées par du mobilier entièrement conçu sur roulettes (qui existe déja mais peu et cher). Ce sera un début. Enlève les murs et tu verras que la notion de "secteur" perd déja pas mal de sens.


 


Dans une petite équipe il est parfaitement possible d'associer l'équipe à certaines décisions d'acquisitions. Par exemple : nous allons constituer un secteur ados (parole du chef de train), que veut-on y mettre, veut-on un secteur cloisonné ou "mettre de l'ado partout" ? L'équipe, dans sa totalité peut répondre à cela. L'erreur ce serait de présenter ça d'emblée comme une annexe du secteur jeunesse. Démotivation des autres, secteur confisqué, ados qui n'ont pas leur place partout etc...Est-ce qu'on fait des secteurs troisième âge ? Non, pourquoi ? Idem, on a parlé ailleurs des "contes": c'est totalement intergénérationnel, le conte. Pourquoi en laisser la gestion et la constitution au secteur jeunesse ? De même, on voit bien que les "animations" tournent de plus en plus sur un public captif d'enfants, au point de devenir une activité annexée de plus en plus par le secteur jeunesse. il suffit de regarder les programmes annuels d'animation des bibs en ligne, c'est édifiant. Que fait le chef de train ? Ou est l'homogénéité du service ? Quel est le projet de service ?


 


Valoriser les compétences et les "envies de faire" de chacun dans une certaine pluridisciplinarité, ce n'est pas jouer la carte de la polyvalence, de la légitime curiosité, tel que tu le décris : je fais un petit tour par ici, puis un petit tour par là "pour voir", non. Au bout de la route, et considérant que chacun peut en faire autant, il manquera de l'expertise pour progresser. La polyvalence à ce stade là, c'est amener le train à rester immobile sur les voies. Et si un secteur ou un domaine n’intéresse personne, on fait quoi ?


Les partisans du généralisme" ont la réponse toute trouvée : on y met (de force ?) n'importe qui, il apprendra. Et c'est bouclé.


 


Mais tu as raison : la majorité de nos structure souffrent de cet hyper-cloisonnement structurel. Et ou toute intervention de quelqu'un d'étranger à "mon" secteur est illégitime. Car on s'accapare vite les choses. Je me souviens d'une "collègue" discothécaire à qui je faisais une suggestion d'achat. Elle me répond d'abord sèchement qu'elle est dans les quotas. J'insiste. Et elle me fait la réponse vicelarde : et tu classerais ça où en PCDM ?, sachant que je n'entends rien à ce type de classement. J'ai eu envie de la tuer. Je ne l'ai pas fait. Dommage. Tout est bon pour évincer l'intrus. On se demande ensuite pourquoi les désirs des publics ont si peu de place dans nos politiques d'acquisition....


 


Et je terminerai, chère Michmaa, par un sujet que tu n'abordes pas, mais que tu as peut-être vécu, c'est l'existence d'une hiérarchie sous la hiérarchie : le secteur adulte c'est l'aristocratie, les "jeunesse" sont en dessous, les autres sont carrément annexes. J'ai connu (de loin) d'énormes structures en région parisienne où bibs adultes et bibs jeunesse ne se connaissaient pas et ne se parlaient pas. Non pas qu'ils se détestaient mais simplement parce qu'ils ne jouaient pas dans la même cour...Il se trouve que j'ai recruté une personne "jeunesse", transfuge d'une de ces structures. chez nous elle s'est retrouvée à choisir AUSSI des livres adultes et à les cataloguer. Pour elle c'était une véritable promotion. Pour nous c'était banal, le quotidien. Elle m'a beaucoup appris sur la belle famille de notre beau métier...Y a du ménage à faire dans les têtes.


 


Mais que foutent les chefs de train ? Qui est responsable du convoi ? Y a t-il quelqu'un dans la cabine de pilotage ?


Modifié par Ferris
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Valeryella Ella

Je plussoie à toutes tes affirmations !! et je rajouterai qu'ayant fait moi aussi une suggestion à mon """ami"" discothécaire , il me fut répondu : " ah ! oui c'est trop bien pour que je l'achète !!" moi non plus je l'ai pas tué , mais j'ai envisagé le supplice au pal !


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Normal Barbie, j'ai toujours senti en toi une sorte d'esthétisme, de délicatesse dans l'extrême, un art du raffinement qu'on ne trouve que chez les bibliothécaires les plus cultivés. Excellent choix. Ce supplice qui commence si bien et qui finit si mal... :tongue:


 


C'est pour ça aussi qu'on pourrait devenir cadre A finalement. Pour participer aux recrutements, pour empêcher les imbéciles d’œuvrer tranquillement. Ben tu vois, moi ça ne m'a même pas servi...Ma suggestion n'a pas été retenue. La collègue a continué de gérer son petit espace. En grande spécialiste....


 


Au fait, je ne sais plus trop où on en est, tu l'as tenté ou pas finalement ce concours de bib ?


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Valeryella Ella

Non , trop épuisée , pas préparée , et puis déjà j'ai du mal à m'habituer à avoir eu assistant , il me fallait un temps de pause , mais je commence à me préparer pour dans 3 ans !!! de toute façon ça sert aussi comme tu disais une fois à se tenir au courant , à s'interroger , à voir plus loin .... bon dimanche , profitons de légers rayons de soleil sur nos bras nus ....


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Invité X'Cera

Bonjour Bonjour,


 


Je suis re-là (désolée petits soucis perso qui ne m'ont laissé que peu de temps pour le fofo) du coup je reprends le train en marche!


 


Pour rebondir sur ce que dit Ferris à propos des qualités et connaissances à mettre en avant durant un entretien, je dirai que c'est quand même pas évident pour un lauréat de concours. Déjà, il faut se rendre compte que pour le recruteur, le lauréat c'est celui qui n'est pas opérationnel tout de suite, qui va avoir besoin de plein de formations, qui va faire des conneries au début, bref, on voit plus ses "défauts" (tous temporaires soient-ils) que ses qualités ou ses connaissances propres. A titre perso, lors de mon entretien, la directrice a voulu en savoir plus sur mes deux prix de poésie, sur mes connaissances littéraires, sachant que ça ne me sert strictement à rien puisqu'au mieux j'arrive à faire une voire deux suggestions d'achat par an... Pas que je ne connaisse pas les domaines dans lesquels je fais ces suggestions, juste que ça n'est pas "mon" domaine dans nos structures!


 


Et heureusement que j'ai de bons rapports avec les sections jeunesse, et que je suis volontaire pour aller remplacer chez eux s'ils ont besoin, sinon on se verrait juste une fois par an pour leurs abonnements de périodiques... Du coup je me "tape l'incruste" à l'occasion. 


 


Bref, le décloisonnement, c'est pas évident, d'autant qu'au recrutement on est déjà dans des cases, des prés carrés dont on ne pourra pas sortir...


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Bref, le décloisonnement, c'est pas évident, d'autant qu'au recrutement on est déjà dans des cases, des prés carrés dont on ne pourra pas sortir...

 

Défaitiste ! Dans des petites et moyennes structures, on peut le faire et on le fait déja (mais souvent pour des raisons de pénurie de personnel). Les dés ne sont pas jetés définitivement au moment du recrutement. Et c'est uniquement une question de choix de fonctionnement interne. Les DRH, DGS et élus n'ont rien à y voir. C'est l'excuse facile de ceux qui préfèrent la sectorisation et le "pré carré". Le décloisonnement et la collégialité peuvent parfaitement être présentés comme un mode managérial par le chef de service, et l'établissement des fiches de postes suivra.

Dans les grosses structures, ou certains types de réseaux, c'est effectivement difficile. Et on en est réduit à quémander le droit d'apporter sa petite suggestion au "propriétaire" d'un secteur, comme tu le dis très bien. Ce sont des choix de carrière à faire. Si on postule dans une usine, on doit savoir que certaines choses seront difficiles, effectivement.

Mais qu'on ne vienne pas me raconter que c'est le statut , le concours ou le recrutement qui en sont les causes ! C'est nous !

Modifié par Ferris
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Petite info purement pratique : dans ma bib, on a un fichier partagé de suggestions d'achats pour tous les secteurs. Tous les membres de l'équipe, A, B, C, adulte, jeunesse, disco-vidéo, peuvent faire une suggestion dans n'importe quel secteur. Le responsable des acquisitions du secteur répond oui/non, et quand c'est non, il argumente.


Ca marche.


Dans mon secteur, qui est donc aristocratique :cool: , il y a beaucoup de suggestions de tout le monde. Money is the limit, ainsi que la poldoc, évidemment.


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De sa petite info qu'elle dit purement pratique,


Bouille nous démontre ainsi qu'en sa propre boutique


la collégialité est bien un fait d'équipe


au delà du statut, du cadre bureaucratique !


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La méconnaissance de l’obligation de publicité préalablement à tout recrutement pour pourvoir un emploi vacant ou nouvellement créé par l’organe délibérant d’une collectivité territoriale, est sans incidence sur la légalité de la délibération de l’organe délibérant autorisant l’autorité territoriale à pourvoir à un emploi vacant par un agent contractuel. Cour administrative d’appel de Douai, 13 mars 2014, req. n°13DA01478.


http://www.lagazettedescommunes.com/236528/publicite-prealable-a-tout-recrutement/?utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=03-06-2014-quotidien


 


Je ne sais pas si vous comprenez bien ce que signifie...


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Bonjour Josy.


 


A mon avis, mais je peux me tromper, (parce que le langage juridique est parfois difficile) ça veut dire qu'une collectivité qui n'a pas déclaré un poste vacant (c'est ce qu'ils appellent "méconnaissance de l'obligation de publicité"), pourtant en principe réservé aux titulaires ou sur liste d'aptitude, et a préféré recruter en douce un contractuel quelconque pour occuper le poste, peut le faire : le recrutement est valide même si la collectivité peut-être sanctionnée pour n'avoir pas déclaré la vacance de poste. Les deux choses sont bien distinctes. C'est une vilaine collectivité mais le recruté restera en poste.


 


C'est comme ça qu'on se la joue dans la FPT, et les juges administratifs plussoient, apparemment.


 


Et toi, des nouvelles ?


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Donc, ils font ce qu'ils veulent, et ça ne va pas franchement arranger nos affaires ! Quoiqu'au lieu de perdre du temps à faire passer des entretiens alors que le recrutement est déjà fait... C'est peut-être moins hypocrite !


 


Pour moi, rien à signaler, je ne suis embauchée nul part (pour l'instant :) )


 


Et toute ma sympathie aux candidats du cdg 30 .....


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  • 2 weeks later...

Alors, je reviens aux nouvelles, certains ont passé des entretiens ? Ont été recruté ? Ca s'est passé comment ?


 


J'ai eu un entretien qui s'est pas trop mal passé. Ca a duré environ 30 mn, mais je ne sais pas combien de personnes ils recevaient en entretien. J'ai croisé la personne avant moi et aussi la personne après, on était au moins 3 !


Maintenant, j'attends la réponse : ils m'ont dit 2 à 3 semaines par courrier (j'espère que ce n'est pas mauvais signe ???). Je trouve que c'est très long comme délai, c'est pareil partout ? Et par courrier ??? Ils n'appellent pas ?


Je découvre la fpt....

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Non Josy, 15 Jours à trois semaines c'est le délai normal, c'est expliqué là : http://emploi-public.publidia.fr/actualites/processus-recrutement-fonction-publique#.U5qpLvl_sdA. Et par courrier car nous sommes dans l'Administration. Le jour où tu recevras ton avis d'embauche par SMS n'est pas arrivé  :D


Modifié par Ferris
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Bonjour,


 


le lien de Ferris résume bien mon expérience vécue. mais comme j'aime bien rajouter mon grain de sel et que j'ai pitié des paresseux, qui comme moi, rechigne à aller voir les liens externes, la voici :


Après quelques dizaines de candidatures et une bonne dizaine d'entretien, je considère que les délais habituels sont de 15 jours.


- en général on est convoqué pour un entretien dans les 15 jours qui suivent la date butoir d'envoi des candidatures. parfois par téléphone, parfois pas courrier, parfois par mail, parfois un mix des deux. Si pas de nouvelles au bout de 15 jours vous pouvez prendre votre téléphone et appeler. Souvent c'est que vous n'avez pas été retenu pour l'entretien (mais ça en général on ne reçoit une lettre qu'à la toute fin du recrutement pour nous dire qu'on a pas été retenu tout court = ça peut prendre 6 semaines à  2-3 mois). Donc mieux vaut téléphoner au bout de 15 jours que d'attendre sagement le courrier.


- Pour le nombre d'entretien, c'est souvent 1 seul de 30 minutes sauf si poste considéré comme important alors il y aura un 2e entretien ... souvent au bout de 15 jours.


- En général après l'entretien, j'ai souvent reçu ma lettre de refus dans les 15 jours qui ont suivi. Et si ma candidature a été retenue j'ai été rappelée ou contactée par mail plus rapidement. donc si vous n'avez pas de nouvelles dans les 15 jours c'est certainement que la structure a choisi un autre candidat. Sans les harceler, cela peut être bon de se rappeler à eux après une grosse semaine = rappeler sa motivation sans attendre la lettre de rejet (on ne sait jamais si le candidat choisi refuse le poste finalement et que vous n'étiez pas trop mal placé derrière...).


 


bien sûr, il y a des cas particuliers, des entretiens en mai pour des recrutements qui se bouclent en octobre, etc mais ce n'est pas ce que j'ai vu de plus courant. Et puis de toute façon, ce n'est jamais mal de rappeler son existence, surtout quand les recrutements sont longs comme ça.


 


Voilà

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Difficile de faire une généralité de chaque cas vécu. Ce dont je peux témoigner c'est que la candidate retenue reçoit une réponse nettement plus rapide (pare qu'on veut éviter qu'elle nous échappe...), ceci vécu sur trois collectivités à des époques différentes. Par contre j'ai l'exemple inverse, me concernant : une réponse dans les deux jours suivant l'entretien, c'est souvent niet. Téléphoner pour relancer les RH, peut-être, quoique ça les énerve en général parce qu'ils n'aiment pas donner une réponse téléphonique et vous risquez d'avoir une réponse évasive. En tous cas, effectivement, ne le faites pas avant au moins 15 jours. Il n'est pas interdit de demander en fin d'entretien la date approximative à laquelle on recevra une réponse. C'est en général le DRH qui vous répondra. 


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Coucou


 


oui, ça fait un bail que j'ai lâchement abandonné le forum... mais je ne vous oublie pas pour autant.... Je m'étais mise au rythme des municipalités (: "oh on a pris du retard, on va s'en occuper après l'été"... ou 2 mois pour étudier 70 candidatures....)


Bon là j'ai eu un entretien hier, j'en ai un autre la semaine prochaine... J'espère que ce sera bon pour l'un des deux... parce que si c'est pas bon les deux, je suis mal et si c'est bon les deux, je suis mal aussi parce que je suis nulle pour faire des choix et là, les deux sont bons, mêmes les points un peu négatifs ne le sont pas (défi d'un côté, calme de l'autre) et les points positifs le sont (ville chouette d'un côté, poste passionnant de l'autre).


Enfin, rien est fait !


Je me prépare au deuxième entretien et attends la réponse du premier, je croise les doigts (je ne sais même pas quoi souhaiter sauf travailler en septembre et changer de décors).


 


:D :D :D


 


Calire


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Bravo, bravo ! Je te souhaite d.avoir le passionnant, calire ! De mon côté je viens d.être recrutée comme bibliothécaire documentaliste dans une association de la ville ooù je vis avec ma petite famille. :) le sujet est passionnant ! Ça ne se refuse pas. Du coup, je garde mon rêve de travailler en territoriale quelque part au fond de moi mais je fais pédale douce... Démission posée il y a deux jours. Je vais pouvoir aller travailler à vélo :)

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Bravo Ninie : Décidément tu es née avec une étoile ! Quel est ton statut dans cette association, ton type de contrat ? Et ces fonctions de bibliothécaire-documentaliste, ça consiste en quoi au juste ? Dis nous en un peu plus. Les parcours atypiques comme le tien sont toujours passionnants et très enrichissants pour les autres, justement parce qu'ils sont totalement méconnus et quasiment jamais décrits dans la documentation. D'où l'intérêt d'en savoir plus ! Car ce sont bel et bien des opportunités, ces postes existent et ces types de recrutements "à la marge" de la FP aussi. :)


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Pour information, Dominique Lahary a posté un slideshare très intéressant, tiré de son intervention au congrès de l'ABF la semaine dernière, à propos de l'entrée dans le métier de bibliothécaire et des obstacles qui se dressent sur la route des impétrants. Je vous recommande ce document, à voir ici.


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