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Oral d'assistant 2013/2014


calire

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Pas retrouvé, marre de chercher. En plus je bosse seul aujourd'hui, donc débordé. D'autres choses rigolotes, si on peut dire...

Une employée licenciée pour défaut de sourire sur http://www.lefigaro.fr/emploi/2012/09/19/09005-20120919ARTFIG00377-une-employee-licenciee-pour-defaut-de-sourire.php

On pourrait chercher sur la timidité, reconnue comme incompétence professionnelle, la discrimination sexuelle, les femmes étant affectées aux fonctions d'accueil car jugées "plus avenantes".

On recrute sur quel critères, déjà ?

Ah non, pas le physique quand même, faut pas pousser...on n'en est pas là quand même!

Vous êtes sûrs ?

Alors tout va bien. Bon WE.

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Valeryella Ella

Merci de faire avancer le schmiblick, effectivement on ne recrute pas sur le physique , mais si tu es jolie et aimable c'est bien , si tu es moche et super aimable est ce encore mieux ?


et puis c'est vrai ça,  pourquoi que des femmes à l'accueil , sachant que suivant une enquête que j'ai lu récemment elles seraient à l'origine de la désaffection des ado garçons , car trop proche de l'image qu'il se font du maternage , bref c'est pas gagné , on leur rappelle leur mère .


Ce serait bien de tourner à la banque d’accueil  , mais il y a toujours des indévissables de leur fauteuil , qui ne veulent pas bouger , c'est souvent des hommes d'ailleurs , non je rigole , il y'a des femmes aussi, bref c'est pas facile , ça pourrait l'être..... mais bon n’arrêtons pas de sourire pour autant .


Bon week end , pour moi révisions informatique , quel vaste océan!!


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Bien vu. A l'inverse j'ai souvent vu des discussions "de mecs", entre ados et discothécaire mâles. Ce qui n'est pas mieux au fond. Et beaucoup de comportements de type maternage dans les secteurs jeunesse, hyper-féminisés, contact entre mamans, petits bouts de chou etc...j'ai toujours eu l'impression que les mecs étaient plûtôt exclus de ces secteurs. Quant aux animations en crèche, n'en parlons-même pas ! C'est peut-être du à eux aussi, ou aux stéréotypes des recruteurs : enfant = maman = femme ? On retrouve d'ailleurs la même problématique chez les instits de maternelle, et depuis longtemps.

Et "le" facteur" ? Là ça a du changer, notamment avec la motorisation, mais si je me retourne dans tous les sens de mon passé, j'ai l'impression de n'avoir connu que des facteurs hommes. Mais là je véhicule surement un vieux stéréotype éculé, qui doit faire chier les facteurs depuis longtemps.

On véhicule tous des conneries pas possibles, en permanence. :blink:

 

Remarque les psys disent aussi que tous les mecs passent leur vie à rechercher leur mère. Certains se marient même pour ça avec des femmes maternantes. Alors si on peut retrouver maman au bureau de prêt (surtout bien vissée ) c'est mieux. Et si elle est jolie et qu'on peut reluquer dans son décolleté, c'est encore mieux, non ? (on aurait pas osé faire ça avec maman... ) :tongue:

Modifié par Ferris
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Bonjour à tous !


Et voilà, une petite nouvelle de plus sur ce forum  :D J'ai lu toutes les pages de ce sujet (mention spéciale à Ferris et Bernard : qu'est-ce que vous êtes bavards !!), et je remercie tout le monde pour les conseils avisés et les retours d'expérience qu'on y trouve, ça rend vraiment service !


Par contre, petite question : est-ce qu'il y a ici aussi des gens qui passent le concours d'assistant principal, ou c'est uniquement le concours d'assistant ?


Pour ma part, je passe bientôt l'oral d'assistant principal en externe. Je me demande si les questions sont sensiblement les mêmes pour les deux concours, ou s'il y a un niveau d'exigence un peu plus élevé pour le concours principal ?


En tout cas merci pour tous ces échanges constructifs (bon, peut-être pas toujours...  :tongue:), ça aide beaucoup pour se préparer ! 


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Ben j'espère  que les questions seront plus ardues :) C'est "principal" quand même !


 


Mais je n'en sais rien. Quand passes-tu l'oral ? Bon courage !


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Je te comprends, l'attente est longue ! Moi je passe mercredi et j'ai hâte, j'ai hâte.... Je suis prête (enfin j'ai l'impression) je n'attends plus que ça ! Tout ce que j'avais prévu d'apprendre est appris, y'a plus qu'à adopter une attitude décontractée, et ça c'est pas gagné :)

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Tu le passes en externe aussi josiane ? Perso, je ne sais pas si je suis prête, mais de toutes façons il faudra bien y passer ! 


En fait je suis une fausse externe, vu que ça fait déjà 4 ans que je travaille en médiathèque (il me manquait quelques mois de service au moment de l'inscription pour prétendre au concours interne). J'ai déjà les missions d'un assistant, en pratique je suis B, mais pas sur le papier... C'est ce que je n'aime pas dans les concours : devoir justifier de compétences qu'on a déjà, qu'on applique au quotidien et qui sont reconnues par notre hiérarchie. Je me sens parfaitement légitime dans mon travail, mais c'est un jury qui ne me connaît pas, qui ne sait pas ce que je vaux sur le terrain et ne pourra me juger que sur une prestation de 20 minutes (qui ne reflètera sans doute pas mes réelles capacités) qui va décider de ma carrière. 


Ceci dit c'est le jeu, c'est pareil pour tout le monde. J'espère que j'arriverai à faire valoir mes compétences et ma connaissance de la réalité du métier, car je suis surtout une fille de terrain, la théorie ça ne m'intéresse pas tellement... J'aurais préféré passer le concours en interne, beaucoup plus axé sur le parcours et l'expérience. L'externe est plus axé sur les connaissances, et moi le bachotage ça m'ennuie profondément ! (en + j'ai une mémoire de poisson rouge  :wacko: lol)


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@Petit renne


 


C'est principal de 1ere classe ou principal de 2° classe, parce que ça change tout, c'est evident... :D  


 


 

Il semble y avoir un petit plus d'exigences dans les termes des notes de cadrage : 

 

un exposé (...) comportant des questions visant à permettre d’apprécier les facultés d’analyse et de réflexion du candidat, ses connaissances techniques ainsi que sa motivation et son aptitude à exercer les missions du cadre d’emplois et à encadrer une équipe.

 

Donc toi, en plus, on te demande d'être intelligente, et pas seulement motivée, si je comprends bien. C'est sympa pour les autres !

 

Par contre, le passage en externe, on a déja vu que ça comportait le risque de beaucoup de questions de type administratif large, assez casse-gueule, donc fais gaffe quand même.

 

Mais, comme dit Josy, les questions plus ardues ,c'est "principal" quand même" :tongue: 

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Tiens, c'est marrant que tu m'appelles par mon titre (petit renne) et pas par mon pseudo... a t-on l'honneur d'être nommé seulement à partir d'un certain grade ? (faon ? bambi ? cerf ??) Je plaisante bien sûr  :wink: (ceci dit j'y vois un certain lien avec le monde du travail où seuls ceux qui sont en haut de l'organigramme bénéficient d'un "M. Machin", "Mme Truc", alors que ceux du bas de l'échelle ont à peine droit à des "hé, toi là-bas !"). Je vais tâcher d'atteindre le niveau cerf au plus vite alors... :tongue:


Plus sérieusement, pour répondre à ta question : je passe le concours d'assistant principal 2ème classe. Il me semble que le grade 1ère classe n'est accessible que par voie d'avancement / examen pro. 


Et zut alors, s'il faut en plus être intelligente, ça va être coton !


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Excuses moi, pour l'oubli de "Hello", c'est dimanche et je suis tout estourbi par le changement d'heure. Les vieux, c'est très fragile...Donc, je recommence, pouf pouf  : Bonjour Hello !


Ça marche, mais ça fait drôle quand même...


 


Non, de toutes façons, grosso-merdo,  je plaisantais. bon c'est vrai que d'avoir trouvé ça sur une note de cadrage, ça m'a étonné, parce que c'est sur toutes les notes que ça devrait être présent.


 


Ceci dit avec les questions de tutoiement et de vouvoiement qui seraient ou non liées au grade, tu abordes avec une grande faculté d'analyse et de réflexion ( :tongue: ) une question de management qui n'est pas si anodine que ça. Le vouvoiement comme marque de respect ? Comme une reconnaissance d'un pouvoir hiérarchique ? Oui, en ce qui me concerne pour tout ce qui représente l'autorité territoriale et le pouvoir administratif : Elus, DGS, DRH. Par contre, comme quoi ce n'est pas lié au grade mais au pouvoir qui y est rattaché, je tutoie le directeur des services techniques, le directeur financier etc...qui sont pourtant que même grade que les autres. Mais, me diras-tu avec ta finesse d'analyse et de réflexion, est-ce que je ne le fais pas que parce que je suis moi-même un cadre A ?  Compliqué de répondre. Je tutoie et suis tutoyé par des C de toutes filières. Mais est-ce que ce n'est pas parce que je suis estampillé syndicat ? Compliqué. Alors ? Lié au pouvoir, au grade, à l'image personnelle ? Le pouvoir, oui mais lequel ? Uniquement le pouvoir de juger l'autre ? Probablement en premier, oui. Et puis il y a l'âge, l'ancienneté.


D'un autre côté en bib, le chef de service ou le responsable de l'encadrement est en général tutoyé et tutoie, alors qu'il a un pouvoir d'évaluation des agents et d’appréciation de leur travail. Il planifie et distribue les tâches et en surveille la bonne exécution. Et il est censé en référer au chef de service ou directement à l'autorité administrative. Donc il y a bien pouvoir.


 


Et ça se traduit par la question qui tue : comment tutoyer (donc créer de fait une certaine familiarité, appel par le prénom etc...) quelqu'un qui peut être amené le cas échéant à vous sermonner ou a vous sanctionner ? Mais est-ce que cette question archi-classique, est réellement bien posée ? En général on y répond toujours de façon biaisée, en fonction des conditions de travail (oh, tu sais dans une petite équipe, la question ne se pose même pas etc, la solidarité et la polyvalence étant de mise, etc...= fuite devant la question en mettant en avant des conditions locales).


 


En BDP chez nous (car j'y mets quand même les pieds), où il y a profusion de grades, la seule personne qui est vouvoyée et vouvoie tout le monde c'est la Conservatrice, la A++.


 


Et puis, autre aspect des choses : le vouvoiement est-il une marque de respect ? Ne peut-il pas être aussi une marque de mise à l'écart ? Et le tutoiement comme une marque de favoritisme, y compris entre agents de même grade (toi t'es ma copine, toi non) ? Compliqué tout ça, non ? Administrativement, si on se référe aux jurisprudences, les deux arguments sont invoqués. Un chef tutoyeur peut être sanctionné comme irrespectueux ici, ou considéré comme un bon manager ailleurs. Etc...


 


Bon, Hello, tu vas encore dire que je fais long, alors j'arrête et je te/vous laisse sur ces interrogations... :)


(qui en soi ne me semblent pas devoir être des questions de concours mais on ne sait jamais car le sujet du management est très vaste)


Modifié par Ferris
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Détrompe-toi Ferris (tu vois, instinctivement je te tutoie alors que tu es beeaaaauuucoup plus vieux que moi, et que je ne suis qu'adjointe du patrimoine :tongue:), c'est une question qui a été posée à l'une de mes collègues en préparation aux concours, et qui découlait d'une succession de questions sur le management. Si l'on veut instaurer une relation de confiance avec les agents, mieux vaut ne pas faire sentir que l'on est LE chef, froid et distant. Mais si l'on veut se faire respecter, il ne faut pas jouer au bon pote non plus. Ma responsable (conservatrice A+) a trouvé la parade : on l'appelle par son prénom (relation de proximité), mais on la vouvoie (nous ne sommes pas sur le même pied d'égalité, la hiérarchie est respectée). Elle nous vouvoie également (respect mutuel). Je trouve que ça fonctionne.


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Il est parfaitement scandaleux que tu oses me tutoyer alors que tu n'es qu'adjointe :sick:  


 


Ta réponse est intéressante et pourra servir à d'autres au niveau du concours, bravo et merci. Il faut donc trouver un juste milieu dans le mode relationnel afin de conserver une relation de confiance. Pas facile, notamment de vouvoyer en appelant par le prénom. Pour moi le prénom appelle le tutoiement, mais c'est sans doute personnel. Si tu me dis que ça marche chez toi, je te crois, et ça parait créer un équilibre.


 


Par contre tu passes à la trappe la question du pouvoir réel en exercice: Dans le service tu as (auras) un pouvoir d'évaluation du travail des agents, pouvoir dont il sont conscients en tant que B (principale !), donc la nécessité théorique de dire un jour : Josiane, il faudrait que je vous voies, parce que votre travail devient catastrophique ! (eviter le "ma petite Josiane", qui est sanctionnable, mais ça tu t'en doutes). Est-ce que si tu le fais une fois, tes relations prénom +vous avec Josiane ne vont pas changer ? C'est plus facile de dire, Mâame Duchmoll, vous merdouillez à fond, faut qu'on en cause ! Bon, la partie vouvoiement va faciliter un peu les choses, mais le prénom ça fait un peu bizarre, non ?


 


" mieux vaut ne pas faire sentir que l'on est LE chef "(pourquoi necessairement froid et distant ? Vous + nom de famille = froideur et distance ?), certes, mais le jour où on est obligé de prendre sa casquette de chef et de taper du poing sur la table, quel est le meilleur positionnement ?


 


J'ai une réponse, vécue, c'est le mode de management dit "paternaliste" (tiens, Josy, tu peux venir cinq minutes, faut qu'on voie un truc ensemble...). A terme, c'est mauvais, si l'on en croit les DRH, parce qu"on tombe dans une certaine démagogie et qu'en cas de situation conflictuelle à régler, la cheffe a perdu des atouts pour regler le problème : trop de proximité tue la fonction.


 


Ceci dit, perso je suis dans le tutoiement complet et reciproque, mais c'est une question de taille de structure, donc je n'en ferais pas une réponse générale.


 


C'est au pied du mur qu'on voit le maçon. Autrement dit c'est dans les situations à problèmes qu'on juge de la validité d'une méthode.


 


Salut Hello  :) 


 


fausse externe et fausse B, encore une cumularde ! ( :fear: +  :fear:  =  :whistle:  )


 


PS. Les mentions de "Josiane" ou Josy" ne sont qu'un pur effet du hasard, je n'avais que ça sous la main...J'aurais pu dire Monique.


Modifié par Ferris
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@Ferris


Est-ce qu'il y a des formations et stage sur l'art du bien accueillir ? non. 


 


Si, si


 


http://www.formationsetperformances.fr/agent-de-la-fonction-public-bien-accueillir-les-usagers


http://www.demos.fr/fr/stage-bien-accueillir-dans-les-services-sociaux-25541.htm


http://www.agecif.com/formations/1910-bien-accueillir-ses-publics.html


http://www.interactifformation.com/bien-accueillir-malgre-l-agressivite-et-le-stress.html


 


Et encore, ce n'est que les quelques lignes de Formation bien accueillir


 


Nous ne sommes pas les seuls à accueillir le public, et pour certain, c'est même vital surtout quand le service est payant et cher.


 


Comment peut-on mesurer l'efficacité d'un accueil ?


Au nombre de gens satisfaits dans la commune par la bibliothèque. 


Au nombre de personnes qui en parlent en bien.


 


Comment peut-on le détecter en entretien d'embauche ?


Je dirai en posant des questions sur les problèmes en banque d'accueil. Mais le stress du candidat peut jouer en sa défaveur.


 


Là, ça nous ramène un peu à la question du concours. Le jury est un public qui veut avoir des informations. Si on sourit, si on est calme comme face à un lecteur, le jury a déjà un aperçu de l'accueil que le candidat réserve aux lecteurs. Le stress du temps en plus, c'est évident.


 


Le sourire, la façon de s'habiller, ça compte, et la réaction du candidat face au stress aussi. Surtout dans un cadre de management. Manager son équipe, c'est une discipline qui s'apprend. Gérer un lecteur aussi.


 


Mais tu as raison, à quel moment est-ce valorisé ? (et reconnu par la hiérarchie ?)


 


Ce que je trouve aussi paradoxal, c'est que la mission d'accueil soit essentiellement pour les catégories C.


Ceux qui ont le moins de diplômes (en théorie), qui ont le moins de connaissance des collections pour cause de non-acquisition ou le moins de facilité à chercher dans l'OPAC (toujours le pb de l'acquisition et de la cotation) se retrouvent en première ligne.


 


C'est comme si le balayeur dans la rue pouvait répondre à toutes les questions concernant une mairie.


Pas vraiment cool le truc.


  Bernard


 


P.S. Sinon, pour Montpellier, j'ai trouvé ça... ils ont fait grève pour cette raison ? :hyper:

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@Ferris


Il est parfaitement scandaleux que tu oses me tutoyer alors que tu n'es qu'adjointe :sick:


 


Oh ben merde alors !


 


On va devoir te donner du "votre altesse sérénissime Orignal" ou alors du Sire Ferris ? :blink:


 


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Courage Y'Hello subsmiley, bientôt tu n'auras plus qu'à courber un seul genou devant sir Ferris.


 


:D


  Bernard


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J'ai plutôt intérêt à l'avoir ce concours ! D'ailleurs, pour rire, je me suis aussi inscrite au concours de bibliothécaire... on sait jamais, si ça se trouve, je n'aurai même pas à me (ra)baisser devant lui !  :tongue:


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Heureusement que Hello a de l'humour...


 


Bon, Bernard, tes stages c'est du pur jus de management et l'acquisition de techniques. On dévie même vers des trucs de gestion du stress et autres trucs du même tonneau. Pas inutile évidemment mais pas fondamental.  Une phrase " Au-delà des aptitudes naturelles, l’accueil requiert des compétences techniques et conceptuelles." Ouais...Ah, parce qu'au départ il y a donc bien des "aptitude naturelles"? Intéressant ça, ça prouve qu'on tourne en rond. Toutes les techniques du monde ne seront donc valables et applicables que par les gens qui ont déja "les aptitudes naturelles". Et les autres, on les planque en interne à faire de l'équipement ?


 


C'est pourtant toi qui parle "d'humain" en permanence. Je disais que l'humain est partout. Bon. Moi ce que je voudrait savoir c'est si tes madame pete-sec ont aussi le droit de travailler, y compris à l'accueil. Si quelqu'un va se poser la question de savoir pourquoi elles sont devenues comme ça. Si le physique a oui ou non une importance qu'on cherche à camoufler. Si le sourire est une obligation professionnelle. etc..etc..je ne vais pas me répéter. Est-ce que la mère pète-sec a sa place en bibliothèque ? Faut-il tuer la mère pète-sec ? Est-elle humaine ?


 


Ce que je trouve aussi paradoxal, c'est que la mission d'accueil soit essentiellement pour les catégories C.


Ceux qui ont le moins de diplômes (en théorie), qui ont le moins de connaissance des collections pour cause de non-acquisition ou le moins de facilité à chercher dans l'OPAC (toujours le pb de l'acquisition et de la cotation) se retrouvent en première ligne.


 


Exact, et c'est pourquoi mêler les fonctions d'accueil et celles de médiation me fait doucement rigoler. On cherche à se cacher des verités. Une bonne médiation nécessite effectivement un certain bagage, une connaissance des fonds assez pointue, outre la connaissance de l'opac effectivement. Et plus encore pour le numérique. La profession est profondément hypocrite sur cet aspect des choses. N' y ajoutons pas notre pierre...


 


Pour Montpellier, bravo pour l'anecdote, mais c'était pas ça  :D 


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@ Hello :  je le passe en interne ! Mais pas le "principal" :) C'est vrai que les savoirs théoriques, c'est un peu indigeste, mais ça fait du bien de pouvoir théoriser sur ce qu'on fait tous les jours, ça aide à prendre de la hauteur.


 


@Ferris : tutoiement ou vouvoiement, tout est dans la posture, non ? Moi perso je tutoie la directrice (on se tutoie tous) mais on a quand même bien conscience que c'est la directrice, et on ne se permet pas de familiarité. (à part le tutoiement !!!)


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T'as raison Josiane, tout est dans la posture. C'est sans doute pour ça qu'en trente ans pas une de mes agents ne m'a mis la main au cul, ou davantage si affinités, ce que je regrette bien finalement. C'est vrai ça, on tutoie, on est gentil, on crée de la proximité, on fait dans l'humain, on met le paquet sur le relationnel, on crée de la chaleur humaine à en ouvrir les fenêtres, et RIEN. Même pas une moche. J'ai pas une bonne posture, je devrais cambrer les reins davantage et offrir des crottes en chocolat plus souvent...


 


Trois conclusions possibles :


1) Le fait d'être chef crée tout de même une distance, sans qu'on en rajoute.


2) Je suis trop moche, même pour une moche ou même une pête-sec de la génération des EMT  (enfances majouriennes traumatisées)


3 ) Ou les deux : je suis chef et moche. Ou mes fesses sont pas attirantes, remarque, des fesses de chef, c'est normal...


 


Moi aussi j'aurais bien aimé être un jour "la Cecile-de-la-bibliotheque", celle qui raconte à la crèche en chaussettes. Mais je fais pleurer les bébés rien qu'en entrant dans la pièce. J'ai pas de pot...


 


Je suis triste ce soir, j'aurais dû faire Commandant de bord à l'international, avec des hôtesses de l'air, clairement recrutées sur leur physique et une forte envie de devenir hôtesse chef. Ça aide...


 


vil-triste2.gif

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bonsoir à tous!


 


lorsque la directrice a été embauchée, dès les premiers échanges elle m'a proposé le tutoiement, que je préfère aussi.. ça n'empèche pas que je la respecte en tant que supérieure hiérarchique! par contre ma collègue (assistante principale) ne parvient pas à la tutoyer, mais elle arrive pas à tutoyer grand monde...


par contre impossible pour moi de tutoyer un élu, le DGS ou le DRH ! (même si ce dernier le fait..)

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@Josiane, en un sens je suis d'accord avec toi. Mais si je prends quelques exemples de questions que j'ai pu voir défiler sur ce forum et qui ont été réellement posées aux candidats à l'oral, je distingue plusieurs catégories (j'ai choisi volontairement des exemples très différents, mais significatifs) :
 
 

Comment construisez-vous un projet culturel ? Comment motiver un agent ? Que faites-vous face à un agent qui arrive systématiquement en retard ? Comment se construit une poldoc ? Quelles ressources numériques vous pouvez proposer dans votre médiathèque, en prenant en compte un budget serré ? >>>> ça c'est intéressant ! ça c'est ce qu'on veut vraiment savoir : si la personne a ou aura les compétences pour assurer les missions d'assistant. D'ailleurs j'aimerais bien ne tomber que sur des questions comme ça. On est dans le concret, en situation : en tant qu'assistant, qu'est-ce que je fais ? et comment ? (c'est le moment de valoriser ses compétences et de s'appuyer sur des exemples vus, ou mieux : sur sa propre expérience).
 

Que peut-on proposer au public adolescent dans une médiathèque ? Que pensez-vous de l'ouverture des bibliothèques le dimanche ? Quelle est la
place et le rôle des bibliothèques avec le numérique ? Selon vous, quelles sont les qualités requises pour un bon chef de service ? >>>> questions intéressantes aussi, qui font appel à un avis un peu plus personnel mais qui permettent au candidat de se projeter et de s'exprimer sur sa vision du métier, d'argumenter ses choix.
 

Les compétences des communes / départements / régions en matière culturelle ? Comment est élu le maire ? Qui sont vos supérieurs hiérarchiques ? Droits et obligations des fonctionnaires ? Rôle et missions de la DRAC, du CNL, etc. >>>> bon bah celles-là malheureusement, on peut pas y couper, c'est la base. Ceci dit, pas sûr que de ne pas savoir ça, ça empêche de bien bosser en bib et d'être un bon assistant. Bon, passons...
 

Si je vous dis MAPA, vous pensez à quoi ? Citez un essai économique récent ? Qu'est-ce que la RFID ? Qu'est-ce qu'une fiche-domaine ? >>>> questions de connaissance pure, tout droit sorties d'un cours de DUT, dont on se fiche (c'est le cas de le dire) royalement ! Franchement, en quoi savoir ce qu'est une fiche domaine montre qu'on est un bon professionnel sur le terrain ? C'est sûr que ça fait impression le jour de l'entretien, mais bon, ça a ses limites... Je pars du principe que si jamais on est amené dans le cadre de notre travail à connaître telle ou telle définition, on a assez de ressources autour de nous pour combler nos lacunes. Par contre, le savoir-être et le savoir-faire, ça ne s'apprend pas dans une encyclopédie. Et malheureusement, l'épreuve orale du concours ne permet pas toujours de mettre en avant ces qualités. C'est ce que je reproche au concours externe : pas assez professionnel (évidemment, il est ouvert à des candidats n'ayant pas obligatoirement d'expérience dans le domaine).

 

Heureusement, il y a notre petit topo de 5 minutes ! (pourvu que le barème entre l'exposé et l'entretien soit équilibré...)

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Je pars du principe que si jamais on est amené dans le cadre de notre travail à connaître telle ou telle définition, on a assez de ressources autour de nous pour combler nos lacunes. Par contre, le savoir-être et le savoir-faire, ça ne s'apprend pas dans une encyclopédie. Et malheureusement, l'épreuve orale du concours ne permet pas toujours de mettre en avant ces qualités.


 


100% d'accord avec toi ! Tu mets le doigt dessus plein pot. En principe, ils le savent aussi, mais...D'un autre côté en recrutement réel c'est encore pire parce qu'il ne te reste que le savoir-être (ou paraître) à faire passer, vu que les connaissances, pratiques ou théoriques, ça leur passe un peu au dessus.


 


Le problème des externes, si on se réfère aux retours, c'est qu'ils semblent s'éloigner plus du terrain que pour les internes, et que les questions administratives larges prennent le pas sur le reste, en proportion du nombre de questions. Effectivement, comme tu le dis, reste à savoir où ils mettent le curseur. Ce qui a l'air évident, d'après les retour toujours, c'est qu'ils rebondissent pas mal sur ton exposé. Donc on peut penser que tout se joue un peu là là. Et comme disait Bernard, plus tu causes, moins tu leur laisses l'occasion de causer... :) 


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Bon, malgré ma tentative de réorienter la conversation sur le sujet de départ (on s'éparpille, on s'éparpille, recentrons-nous !), je vois que le sujet du vouvoiement / tutoiement suscite pas mal de questionnements. Perso, je ne crois pas que ce détail joue tant que ça dans la relation d'encadrement. Comme on l'a dit, tout est une question de posture. Mes collègues et moi on se tutoie tous (sauf la responsable), et si j'obtiens mon concours il n'est pas question que ça change. Par contre, j'adopterai (j'adopte déjà) une posture d'encadrant (de proximité). On peut parfaitement être humain et chaleureux comme le souligne Ferris, sans pour autant être familier. Tutoiement ou vouvoiement, après tout, c'est selon le ressenti du responsable par rapport à son équipe, de l'ambiance préexistante (s'il y avait déjà une ambiance conviviale, il est inutile de la casser en instaurant des relations tout à coup distantes). Il suffit de définir d'emblée, tacitement, le périmètre de la relation et d'arriver à se faire respecter dans sa position de responsable. Plus facile à dire qu'à faire, mais il n'y a pas de solution idéale. C'est quelque chose qui incombe à chaque personne, selon son caractère et le type de management qu'elle souhaite mettre en place. Il faut cependant bien comprendre qui on a en face de soi pour adopter la meilleure stratégie. C'est l'avantage (et l'inconvénient), de connaître déjà parfaitement l'équipe en place. 


Bon, l'avantage pour moi, c'est que j'ai en + un physique d'hôtesse de l'air, ça aide à se faire obéir ! lol  :tongue:


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Je précise que dans mon équipe il y a plus d'hommes que de femmes, ce qui est pour moi beaucoup plus confortable !


Tiens d'ailleurs, est-il plus facile de diriger une équipe d'hommes ou de femmes quand on est une femme ? (et inversement quand on est un homme). M'enfin, c'est un autre débat...


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