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Oral d'assistant 2013/2014


calire

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Non !


Ce texte ne se contente pas de nous ressasser les banalités convenues que nous connaissons tous sur les concours (y a pas de place pour tout le monde etc  etc..), il enfonce le clou d'une façon bien plus grave. Il nous dit que finalement, pour certains, ce n'est même pas utile de se présenter à un oral, qu'ils n'y ont aucune chance. C'est pire qu'un entretien de recrutement où, au moins, les inégalités sont mises sur la table et font partie du jeu.


 


Ici nous n'avons aucune égalité des chances, même factuelle  (les vetements, le physique, la façon de parler : a peine entré nous basculons donc déja d'un côté ou de l'autre !). Nous pourrions y ajouter ce que nous avons appris ici : que les jurés avaient le dossier des candidats devant eux.


 


Mais on nous apprend maintenant que la qualité de votre travail de préparation, qui témoigne aussi de votre motivation, n'a pas de valeur, ne sera pas déterminante du tout. Car on "filtre" de toutes façons le candidat sur d'autres critères : effectivement on cherche un encadrant. Et ce n'est pas sur les deux ou trois questions dites "de management" qu'on va se faire une opinion (il aurait très bien pu bosser cet aspect et donner les bonne réponses manageriales, méfions-nous du candidat bosseur, il peut nous induire en erreur, nous pauvre jury), c'est sur d'autres aspects, infiniments plus douteux à répérer dans un oral de 20 minutes : un bon relationnel. Une personnalité.


 


On ne juge donc plus un contenu, un travail, une experience, un vécu, un projet, la qualité d'une préparation, on cherche en 20 minutes, sur des critères totalement subjectifs, et finalement inconnus au bataillon des critères, comment répérer les capacités relationnelles qui feront d'une personne un bon encadrant.


 


C'est impossible. Même un jury de psychologues diplômes n'y arriverait pas en plusieurs heures et aucun ne serait d'accord avec l'autre en fin de journée. Et là, en moins de 20 petites minutes, un élu (?), un administratif (même pas DRH), et un professionnel de type A ou A+, vont y réussir ! Sans coup férir, dans un bel élan unitaire fait d'intuition, d'impressions, de ressentis divers !


 


Et le texte nous dit que c'est normal, il entérine. Désormais un concours ça se joue la-dessus ! Et Yumiko, dans un discours anti-A assez populiste et sommaire (et basé en plus sur une etrange définition des missions des B, où elle oublie que l'encadrement d'équipe est une mission de B et où elle oublie aussi que beaucoup de C dirigent de fait des structures, bref..!) plussoie sur cette nécessaire ségrégation, effectuée dans les conditions que je viens d'énumérer !


 


Au passage, Yumiko, si j'étais juré, un tel discours m'aurait définitivement détourné de cette candidature ! Il véhicule beaucoup trop de négatif. Que peut-on en déduire de ta personnalité ? Mettons-nous à la place de ce bienveillant jury aux critères imparables , mmmh ?


 


Si on prend tout cela au pied de la lettre, Lunalithe n'aura jamais ce concours, et d'autres aussi, sans savoir pourquoi exactement. Leur personnalité ne convient pas, point-barre. Ou peut-être avec un autre jury, evidemment. Car a partir du moment où il n'y a plus de critères objectifs, mesurables, identiques, égalitaires, il ne reste plus que la personnalité des jurés, rien d'autre !


 


Vous êtes avenante, souriante, bien fichue, bien fringuée, vous savez vous mouvoir aisément, vous avez de la spontaneité, le contact facile, bref vous plaisez à ce trio d'inconnus, vous avez vos chances. Vous serez une bonne encadrante.


 


Les mêmes critères que pour faire une rencontre positive sur un site de rencontres !


 


D'autres, même à poil et avec une plume dans le cul, n'en auront aucune !


 


Voilà ce que vous entérinez, bon petits républicains !


 


Bravo pour le 2000° post, j'aurais preféré y dire d'autres choses ....


Modifié par Ferris
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Bernard, j'étais passé à 9h50 du matin le 2e jour, je n'ai même pas souffert la comparaison avec d'autres... Ou ceux de la veille peut-être.


Mais en effet, je pense que "avoir du bagou", c'est peut-être pas l'idéal dans un concours, surtout quand on dit tout haut ce que tout le monde sait... Mais qu'en bon petit fonctionnaire on doit considérer normal. Peut-être que j'ai trop amené mes avis personnels, et que ça a été très mal vu. Peut-être qu'avec un autre jury, j'aurai eu le double de la note, je ne sais pas... Quoiqu'il en soit, à part mes avis personnels, les autres questions que j'ai eu était faciles et je n'ai pas séché sur quoi que ce soit, donc effectivement, le problème ne vient pas d'une absence de connaissances.


Et effectivement, ça fait flipper.


 


Pour la prochaine fois, je dois donc apprendre à fermer ma gu....


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Quoiqu'il en soit, à part mes avis personnels, les autres questions que j'ai eu était faciles et je n'ai pas séché sur quoi que ce soit, donc effectivement, le problème ne vient pas d'une absence de connaissances. Et effectivement, ça fait flipper. Pour la prochaine fois, je dois donc apprendre à fermer ma gu....

 

Lunalithe, tu as parfaitement ciblé le problème, en évacuant les fausses réponses. Et oui, c'est flippant. Mais pour la prochaine fois, il ne suffira pas de fermer ta gueule et d'endosser le costume de la  parfaite petite fonctionnaire. Il faudra te composer de toutes pièces une personnalité et un relationnel positif .

Et ça, c'est plus que flippant, c'est décourageant, parce qu'on ne sait pas ce que c'est.

 

Le seul moyen de s'en sortir se situe peut-être, comme le signale Bernard, dans la capacité à se projeter carrément dans un contexte d'entretien de recrutement : la vente forcée, si je puis dire.

 

Texte déontologique d'un juré, qui situe bien la question à ce niveau : http://concoursfpt.unblog.fr/2007/04/03/informations-sur-les-jurys-de-concours/

 

« Que je lise une copie ou que j’interroge à l’oral, je me pose la question suivante : ai-je envie de travailler avec ce candidat ? Aurai-je besoin de lui, donc de l’embaucher ? Ce que j’aime chez un candidat, c’est non seulement qu’il comprend le sujet et sa problématique, mais encore qu’il s’engage par rapport au sujet et ce à la fois de façon personnelle et professionnelle (...) 

 

Modifié par Ferris
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Je me suis peut-être mal exprimer.


Mais finalement, je comprends la notion de "personnalité et un relationnel positif" (surtout pour les concours de catégorie A et un peu moins pour les B).


 


Je trouve plus important quelqu'un qui :


- sourie, patient, calme dans la pression (->sera bon en accueil du public)


- adopte un raisonnement logique et structuré même si il ne connait pas le sujet (-> inspire la confiance donc bon en méthodologie et gestion de projet et douer en argumentaire pour convaincre la hiérarchie/ les élus)


- ferme et distancier (-> bon en management, ne se laisse pas envahir par les émotions et rationalise les conflits)


 


Plutôt que :


- quelqu'un qui cite par cœur les textes fondateurs, la loi de décentralisation ou le rôle de la CAP dans la structure sans comprendre les implications au quotidien dans la gestion d'une équipe


- quelqu'un qui rougi, détourne la tête, ou baisse les yeux à chaque question qui le met mal à l'aise


- quelqu'un qui dit "je ne sais pas"


 


Bien sûr, ce n'est pas le seul critère d'évaluation pour un jury mais ça en fait parti et je trouve rassurant d'avoir des cadres : qui gèrent les conflits au lieu de les fuir, défendent mes projets en réunion de direction, sont capable de m'orienter si je leur demande comment obtenir une disponibilité pour faire des confitures dans les Alpes...


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Bien tardivement je viens remercier les contributeurs de ce topic car j'ai eu le concours d'assistant en petite couronne et vous lire m'avait bien aidé quand je révisais l'oral.  :flowers:


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Tu mets en comparaison des arguments qui n'ont rien à voir. On peut très bien avoir une bonne connaissance du fonctionnement d'une CAP et être calme face au public etc...je ne vois pas le rapport.


 


D'un autre côté, en situation de "20 mn devant un jury" il est impossible de faire passer des situations vécues réellement, donc très facile de prendre le problème de façon rationnelle et posée, surtout quand on n'a pas été dans ces situations (ce qui est le cas de beaucoup de candidats). Il faudrait donc, pour tes réponses, se situer dans le réel. Or il est beaucoup plus difficile à gérer. Car il y a un contexte, qui est totalement absent devant le jury.


 


A la question  "que faites vous face a un agent qui arrive volontairement en retard", question qui a déja fait débat ici, il est relativement facile de répondre de façon logique, en faisant appel à ses connaissances statutaires sur le cheminement hiérarchique, et d'élaborer une réponse "en paliers" qui paraîtra logique et posée. Sans se mouiller finalement. (Je te rappelle une fois de plus que c'est une question pour B car ce sont les B qui encadrent, pas les A). Dans le réel nous savons tous que le contexte va jouer. Ce qu'on sait ou pas de cet agent, les relations personnelles qu'on a avec lui, bonnes ou pas bonnes, son attitude sur d'autres plans, le fait que ses retards se font aux heures publiques ou aux heures internes, le fait qu'il cherche à les expliciter ou non, ses relations avec ses collègues, ses problèmes personnels etc...tous aspects qui forment "le contexte" et qui sont absents du questionnement du jury.


 


Ta réponse : je me distancie et je rationalise, je ne me laisse pas envahir par mes émotions etc... laisse supposer que tu ne tiendras pas compte de ces aspects, car ils sont implicants aussi pour toi. Tu proposes une réponse-attitude unique et hors contexte. Dans la réalité nous sommes aussi des êtres humains impliqués fortement dans un contexte d'équipe, autrement que par notre statut d'encadrant. Une équipe ce n'est pas des cadres d'emploi C,B,A, c'est des gens qui se côtoient 7 h par jour, et souvent dans un contexte de complémentarité et de polyvalence où les missions statutaires de chaque cadre d'emploi finissent pas se noyer un peu dans le quotidien.


 


Donc tout va devenir plus difficile, plus mitigé, délicat. On est dans l'humain et la proximité relationnelle. On ne rationalise pas sans dégâts. On ne ferme pas la porte à nos émotions sans risques. On ne rejette pas certains aspects personnels sans risques non plus. Chaque cas apparait très vite comme individuel, et nécessitant une réponse individualisée. Or ça, devant un jury (et à condition d'en avoir le temps), ça passera pour des hésitations, un côté "pas sur de soi". Pourtant c'est le réel. Mais ils attendent une réponse statutaire, rationnelle et posée. Donc malhonnête à de nombreux égards, ou du moins très partielle. Et si c'est la-dessus qu'ils décident que tu seras une bonne encadrante, ils se plantent.


 


Le cadre qui hésite, qui se pose des questions, qui est tiraillé entre démarche statutaire et cheminement individuel, qui ne fait pas abstraction de ses sympathies et antipathies personnelles car il sait que ça rentre en jeu, ce cadre là me ressemble, c'est mon ami. Il a toute ma sympathie. Pas celle du jury.


 


Tu dis : je trouve rassurant d'avoir des cadres qui gèrent les conflits au lieu de les fuir. Bien d'accord. C'est dans leurs missions de cadres B. Et puis un conflit que tu fuis finit toujours par te rattraper ou se régler sans toi, entre agents, avec de la casse pour certains agents et/ou de la casse pour toi. Un conflit dormant c'est comme un cancer. Quand on en est aux metastases, c'est foutu. Maintenant si tu le gères de façon trop impersonnelle, il rebondira sur un autre aspect du quotidien. Un conflit c'est toujours compliqué, toujours.


 


Maintenant, je ne connais personne qui ait choisi ce métier pour gérer des gens et des conflits. Des fous peut-être ou des sadiques, d'anciens militaires, des psychologues, je ne sais pas. Ce rôle d'encadrant est une casquette supplémentaire qui ne va pas à toutes les têtes. Nous ne savons pas plus encadrer que gerer un marché public. Nous apprenons sur le tas.


 


Quant aux "A" qui choisiraient d'être A pour des points-retraite, à part quelques rares carriéristes, je n'en connais pas non plus. Des A qui voudraient échapper à certaines obligations de B, par contre ça doit effectivement se trouver. L'encadrement à vie, c'est usant aussi. Et puis défendre un projet soi-même plutôt que de compter sur quelqu'un d'autre pour le faire, c'est motivant, non ?


 


J'ai connu un gars d'une patience infinie au bureau de prêt. Sourire toujours, voix calme, réponses "service-service". On en a causé un jour. J'étais assez admiratif, d'autant plus qu'il n'avait pas d'expérience-public mais quelque chose ne "collait pas" par rapport à ce que je sentais de lui le reste du temps. Intuition du chef de service, va savoir...Sans aucune gêne il m'a donné sa réponse, sa "recette", dirais-je. Epouvantable. En fait il avait réussi à développer une extraordinaire capacité de je m'en foutisme, alliée à une bonne dose de mépris, qui lui permettaient de rester zen. L'accueil était une corvée, il avait intégré ça comme ça. Il fallait faire attention à ce qu'on dit, il avait intégré ça aussi. Il se composait donc aux heures publiques un personnage, tout simplement. Facile dans un sens, car nous n'étions pas dans un contact personnalisé type public rural, peu de gens, tout le monde connaît tout le monde etc...là ça n'aurait pas marché. En tout cas, impossible "statutairement" de lui reprocher quoi que ce soit. Et pourtant on ne peut pas dire qu'il était "bon" à l'accueil.


 


Comme quoi...


 


@Nouknouk


Merci pour ton retour et bravo à toi. Si j'osais une approximation, je dirais que tu es la reine de la petite couronne..   :)


 


PS. Il nous manque encore beaucoup de résultats : Fritex, Panettone, Barberylane etc..voir page 83 


Modifié par Ferris
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À quand un genre de "contrôle continu", où comme pour les profs qui se font inspecter en situation de classe, un jury viendrait nous observer sur le terrain ? C'est vrai que ces concours c'est une plaie, je crois d'ailleurs que c'est la dernière fois que je le tente, après j'arrête les frais ! :/

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Il semblerait qu'on s'oriente davantage vers des recrutements organisés sur la base de tests d’aptitude couplés à des entretiens, ou à partir d’examens professionnels, déjà nombreux on l'a vu, tant pour les recrutements que pour les avancées de grade. Il s’agit de mesurer le savoir-faire ou l’expertise des candidats, notamment par le biais des entretiens personnalisés, qui sont proches, dans l’idée, du recrutement dans les entreprises.


 


Le "concours" actuel (qui de toutes façons ne pourvoit plus qu'un poste sur trois en moyenne et dont la periodicité va de deux ans et demi à quatre ans selon les postes à pourvoir au niveau régional) n'est plus du tout en phase avec les conceptions managériales du privé, conceptions qui sont de plus en plus reprises dans le public.


 


Les textes qui d'ores et déjà introduisent quasi-officiellement les "biais" ou "filtres" que je dénonçais plus haut, ne sont que la partie émergée de l'iceberg : ça veut dire qu'on introduit déjà dans le système "anonyme" et "égalitaire" du concours, comme des vers dans le fruit, des rééquilibrages discrets de type managérial, qui sont perçus comme du recrutement "a la tête du client" pour l'instant mais deviendront probablement la règle.


 


Il est très possible que les concours de mai 2016 (?) soient les derniers du genre. De plus, en Europe, nous sommes les seuls où le concours ait encore cette place prépondérante. Enfin, si le statut de fonctionnaire est supprimé et remplacé par un CDI, le concours tombera de lui-même.


 


De nombreux textes de réflexion vont dans ce sens depuis le début des années 2000.


 


"L’attachement au concours serait le témoignage d’un management public devenu obsolète à l’ère du NPM (traduction de Nouveau management public), de la RLP (rémuneration liée à la performance) et de l’administration électronique. Rien ne garantit que le candidat sélectionné au concours sur des bases théoriques saura « faire ses preuves », ce qui plaide en faveur d’un recrutement par entretiens ou examens professionnels, et d’une ouverture de l’accès, au moins de façon partielle, aux agents du secteur privé. " ( http://colloque-grh.univ-lille2.fr/intervenants/pdf/Texte-Laurent-Percebois.pdf )


 


D'ailleurs les derniers recrutements de professeurs vont très largement dans ce sens... :wink: 


 


Nouveaux métiers, nouvelles compétences...affiche l'ABF. Certes, mais pour cela nouveaux modes de recrutement, et très probablement nouveau statut.


 


Le temps de la performance obligée et du mérite est arrivé. Enfin les "Méritants" verront leurs mérites reconnus. Les autres demanderont peut-être une disponibilité pour aller faire de la confiture dans les Alpes, comme le suggérait Yumiko....Plutôt Olé Olé tout ça, hein, Hello ?  :tongue:

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OK, un métier d'avenir, tu as raison. Mais faut d'abord passer un examen professionnel. On commence le coaching ?

 

Immersion en vallée d'Aspe, on rentre le périscope et on plonge : 

 

La fabrication d’un fromage commence par la traite. Ici nous avons des vaches et des brebis ce qui nous permet de fabriquer du fromage vache, pur brebis et mixte. La traite commence à 7h le matin. Ensuite il faut  compter 2h30 pour la fabrication elle même. 
- Le lait est chauffé à environ 30°. Pour le faire cailler, on y ajoute de la présure ; c’est le caillage 
- Ce caillé est découpé en portions ; on utilise un brise caillé. Dans la méthode traditionnelle, il est en buis. C’est le découpage.
Le caillé finement divisé est réchauffé à 40° pendant 30 mn pour séparer le petit lait des grains de caillé c’est le brassage et chauffage.
- Le caillé est mis dans des moules perforés pour être pressé et égoutté. Le fromage prend alors sa forme définitive c’est le moulage et pressage.
- Le fromage égoutté est salé avec du gros sel ou en saumure afin d'assurer sa conservation et d'affirmer son goût.
- Le fromage séjourne pendant plusieurs semaines ou mois dans le saloir à une température inférieure à 12°C et avec un taux d'humidité supérieur à 80%. C’est l’affinage. Pendant l'affinage, on procède à des retournements et des nettoyages aussi fréquents que nécessaires.

 

Pour devenir fromagère, il existe un Master pro laitier :  http://www.enil.fr/metiers/alimentation/job-alimentaire/fromager.html

 

fabrication-fromages.jpg

Un avenir radieux s'ouvre à toi, te voici, avec ta charlotte, au milieu de ton équipe...

 

As-tu des questions ?

Modifié par Ferris
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De retour de vacances, je retouve le forum...


Hello : j'étais en Ecosse, et ils ont des moutons vraiment trop mignon...si tu veux commencer un élevage pour ton fromage (de brebis, du coup..)


sheepontopofthehill.jpg


 


 


Par contre, je n'ai toujours rien reçu, ni lettre papier, ni information concernant mon inscription sur une liste d'aptitude... y'aurait pas une sorte de liste d'attente ou on est "admis" sans être inscrit sur une liste ? je balise là...

Modifié par Lul
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coucou tout le monde!!


 


moi non plus , toujours pas de lettre pour me dire que je suis sur liste d'aptitude.. et aucune réponse concernant ma demande du relevé de notes..


 


je pense téléphoner au CDG moi ! :poke:


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Ça a l'air compliqué ces histoires d'attestations. J'ai fait un tour des CDG, ça diffère pas mal selon les cas.


Il semblerait qu' Il y ait une différence entre "l'attestation de réussite au concours", que vous devez recevoir (mais qui n'est pas mentionnée partout ou avec la mention "dans un délai raisonnable"), et "l'attestation d'inscription sur liste d'aptitude".


 


Dans certains cas il semble que pour cette dernière  la demande doit être faite par la collectivité recruteuse, formulaires disponibles sur site, par courrier recommandé, dans d'autres il est spécifié que (exemple du  Cdg 47) "Suite au jury d’admission, chaque candidat se voit adresser un courrier de demande d’inscription sur la liste d’aptitude du Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale de Lot-et-Garonne, courrier auquel il est tenu de répondre dans les 15 jours."


 


Cette histoire de délai de 15 jours apparaît très souvent.


 

Je ne comprends pas grand-chose à toutes ces histoires de paperasses...Le mieux, comme dit Miel, c'est de téléphoner. :wacko:

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Ouaw ! Merci pour toutes ces infos Ferris ! Je peux dès à présent préparer ma reconversion. Et puis je suis sûre que la charlotte m'ira à ravir ! ;)

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Oui la vie est un chemin tapissé de roses fromagères, j'avais remarqué. Ah, un détail : les dames en charlotte bleue sont les cheffes, les autres sont celles qui écoutent les cheffes. Donc : objectif pour toi : charlotte bleue ou rien ! :D


 


A part ça, si tu avais des réponses pour Lul et Miel pour ces histoires d'attestation, ça serait bien, parce que là, moi je pédale.


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Je pédale pareil mes pauvres ! Je croyais que l'inscription sur la liste était automatique et ne nécessitait pas de démarche particulière...

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Heuuu vous me faites un peu peur là :sweat:  Pour le cdg 35, il me semblait bien qu'il n'y avait aucune démarche particulière, sauf si on était reçu à deux concours différents, (ce qui n'est pas mon cas !). Les démarches seraient différentes selon le cdg où on a passé le concours :frantics: ??


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L'inscription sur la liste oui, c'est automatique, mais l'envoi d'une attestation d'inscription sur la liste c'est pas évident. Ho, les filles, c'est quand même pas ma vieille pomme qui va prendre son téléphone (filaire) pour appeler l'excellente Mme Cédégé35 au 02 99 23 31 00.  Ou la sublissime  Mme cédégé67 au  03 88 10 34 64 .


Si ?


Ah bon... :blink: 


Modifié par Ferris
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Arrêtez de paniquer : en croisant plusieurs sources sur le net (cnfpt, service-public, différents cdg), j'ai vu qu'a priori tout est normal ! L'inscription sur la liste d'aptitude se fait automatiquement, sans besoin de faire un courrier, et vous n'en recevez pas non plus pour vous prévenir, puisque l'obtention du concours vous garantit que vous y êtes. Le seul courrier que devriez recevoir c'est celui confirmant votre admission au concours. Je pense que chaque cdg s'occupe de publier sa liste d'aptitude, mais quelques temps après résultats. Patience donc... Normalement sur la page de chaque cdg vous pouvez avoir accès aux listes d'aptitude alors n'hésitez pas à aller les consulter régulièrement. Et sinon, le mieux pour être sûr, c'est de les appeler !

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Par contre, pour annuler votre inscription sur la liste il faut faire une demande par courrier. Et surtout n'oubliez pas de renouveler votre demande au bout d'un an (par courrier également), sinon vous serez automatiquement rayés ! Vous pouvez renouveler 2 fois. Bon évidemment, on vous souhaite de trouver du boulot avant les 3 ans hein, mais bon, faut pas oublier que vous cherchez des postes d'assistant de conservation, pas de caissière de supermarché, restons réalistes, ça court pas les rues !

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Bon, j'ai telephoné au cdg67, une dame charmante, voire même rigolote, qui se marre tout le temps, et qui me dit : Que les courriers sont partis aujourd'hui. Chaque lauréate recevra dans ce courrier


 


1) une notification comme quoi elle est bien lauréate du concours (c'est l'attestation de réussite, dont je parlais plus haut)


2) Une attestation d'inscription sur la liste d'aptitude


3) Un petit livret explicatif sur le parcours à suivre (recherche d'emploi etc...)


 


Jusqu'au bout dans le coaching de luxe... :D


 


Et non, je ne téléphonerai pas au Cdg35  :tongue: 


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Ah oki ! Bon bah écoute, Ferris tu restes le roi des coachs, je m'incline (je n'ai dit que des bêtises alors ?? lol)

Mais sérieux les filles, bougez-vous les fesses ! Vous êtes grandes et Ferris ne sera pas toujours derrière votre c** pour faire les choses à votre place ! Alors on prend son téléphone et on appelle son cdg ! Hop hop hop !

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